HUILE IGOL

Déjà 70 ans de passion et l’histoire continue
Badge IGOL : marque française depuis 1949
Pin-up IGOL, 1949

Sommaire

Bandeau 70 ans d'IGOL
1949

1949 : NAISSANCE D’IGOL

C’est en 1949 que 6 industriels visionnaires, spécialisés dans les lubrifiants, les graisses et leurs dérivés se regroupent et mettent au monde IGOL. Dans un premier temps, Robert PIERRONE à Carvin, Maurice VAST à Amiens, PIERRE QUAIRE à Caen, Léon GALLOIS à Nevers, Armand FEBVRE à Nancy et Maurice CAHINGT à Nantes crèent la S.O.N.I.G. (Société Nationale des Industriels du Graissage) et dans un second temps sa marque IGOL «I.G.O.L.» comme Industriels du Graissage Oil (sans le «i»). Sur la suggestion de Maurice VAST, le coq devient l’emblème d’IGOL.
La société nationale IGOL France – propriétaire de la marque, responsable de la politique technique et commerciale nationale et servant de centrale d’achat est, en effet, la filiale commune des sociétés régionales qui exploitent la marque IGOL dans le cadre d’un contrat de franchise.

Marcher avant de courir …

Tout est à créer : organisation, répartition des compétences, définition d’une stratégie commerciale, d’une structure. Chaque entreprise conserve son indépendance juridique et toutes fabriquent, commercialisent et promeuvent la marque IGOL. Ils nomment un président du groupement, Robert PIERRONNE, qui installe le siège de la marque dans son propre appartement dans le 19ème arrondissement de Paris. Messieurs André JUREDIEU et Michel GALLOIS lui succèdent et, depuis 1993, Monsieur Joël LECLERCQ occupera la fonction de Président d’IGOL. Après quelques adresses successives à Paris, à la fin de l’année 2000, IGOL installe son siège définitivement à Amiens, rue de Cagny.

Pendant plusieurs années, chaque entreprise évolue, progresse et se développe. Image et stratégie s’affinent au fil des années avec un objectif commun : faire connaître la marque auprès des professionnels utilisateurs de lubrifiants à travers des gammes de produits homologués par bon nombre de constructeurs. Pour compléter son offre, IGOL propose des lubrifiants répondant à des spécifications techniques particulières, gage de sécurité et de garantie pour tous types de matériels.

Présent sur le terrain à travers ses forces de ventes et son réseau de clients, il faut, pour encore progresser, investir dans l’image d’IGOL au-delà du commerce pur des lubrifiants. La renommée de la marque doit alors passer par la voix du sponsoring. C’est dans les sports mécaniques, la moto plus particulièrement, que se font les premières présences remarquées par les professionnels. En complément des partenariats au niveau local, IGOL, à la fin des années 70, frappe fort et construit sa notoriété en devenant partenaire du Paris-Dakar.

C’est en 1978 que tout commence avec ce Rallye-raid qui va faire rêver petits et grands, passionnés de sports mécaniques et amateurs éclairés. L’épreuve compte alors 60 concurrents dont les camions PERLINI, des motards et, côté voiture, LADA POCH et ses buggys. Chaque soir, dans le cadre des reportages du journal du DAKAR, on peut voir à l’écran de très nombreux logos IGOL sur tous ces véhicules. La marque est désormais connue du grand public.

En parallèle, IGOL se frotte aux prestigieux Grands Prix de Formule 1 en soutenant 2 écuries, LAROUSSE avec comme pilote Philippe ALLIOT et l’écurie PACIFIC, pilotée par Paul BELMONDO.

La passion du Président d’IGOL, Joël LECLERCQ pour les sports automobiles contribue à pousser encore et toujours IGOL vers l’excellence, la performance et la réussite. IGOL bénéficie de terrains de jeux grandeur nature, pour tester ses produits dans des conditions extrêmes.
1950-1959

Igol et la « réclame » – 1950

Construction de la notoriété : la « réclame » Pour se faire connaître aux yeux du grand public dans les années 50, IGOL s’associe à l’image séduisante de Miss France 1953. Égérie de la marque, Sylviane CARPENTIER fait la promotion d’IGOL 2 Temps Sport pour les scooters et moteurs 2 Temps, puis IGOL Sport, lubrifiant pour les voitures de tourisme. « Rien n’égale IGOL… » dit-elle dans ses nombreux messages de « réclame ». Enfin, rien de mieux que d’exposer à des salons professionnels pour rencontrer les professionnels de la réparation et les utilisateurs. En 1955, IGOL est présent au salon de la Moto à Paris.

Les publicités IGOL – 1955

Apparition des premières publicités IGOL sur les pistes
Joyeux anniversaire… IGOL a 10 ans !
1960-1969

Des évolutions techniques – 1960

Les années 60 imposent à IGOL une évolution technique de ses lubrifiants. Le temps des huiles « monogrades » n’est pas encore terminé mais apparaît une génération de produits dits « multigrades ».

C’est une révolution dans le monde des lubrifiants et des constructeurs.

Les moteurs, de plus en plus performants, exigent de nouvelles catégories d’huiles, détergentes, fiables, permettant de maintenir la propreté des organes lubrifiés.La pétrochimie commence à proposer de nouvelles pistes issues de la recherche sur les additifs permettant d’améliorer les performances des lubrifiants.

Le sélénium, le molybdène, les huiles graphitées… voilà l’avenir qui se dessine en terme de nouveaux produits.

Salon de l’agriculture – 1965

Salon de l’agriculture à PARIS.

Rallye Vercors-Vivarais – 1969

L’OPEL Kadett de l’équipe GAUTRON prend la première place dans sa catégorie au Rallye Vercors-Vivarais

1970-1979

Ah, les 70’s ! – 1970

Ah, les 70’s ! C’est la période des grandes avancées techniques partout en France et dans les secteurs d’activité. IGOL lance la SUPER SEMO. Mise sur le marché en 1968, elle trouve sa véritable place dans le monde des lubrifiants et devient la référence dans les années 70. Issue des propres recherches de la marque et fer de lance de la gamme des huiles destinées aux moteurs automobiles, la SUPER SEMO va permettre à IGOL de passer un nouveau palier dans la reconnaissance de la fiabilité des lubrifiants de cette gamme.

Grâce à son laboratoire intégré, IGOL se tourne de plus en plus vers des « formulations maison ».

Des huiles testées et homologuées par les constructeurs : c’est ce savoir-faire souvent avant-gardiste qui va contribuer à doter IGOL d’une image technique, fiable et performante.
Lot bidons d'huiles Igol des années 70
1980-1989

Les lubrifiants de 4ème génération – 1980

Les lubrifiants de 4ème génération : les lubrifiants semi-synthétiques. A la pointe de la technologie et en collaboration avec les constructeurs les plus exigeants, Igol innove sans cesse et développe sa gamme de lubrifiants semi-synthétiques fortement sollicités pour répondre aux besoins des nouveaux moteurs.

Les huiles minérales monogrades aux spécificités restreintes ne correspondent plus aux dernières technologies moteurs. Les espacements de vidange s’allongent et passent à une vidange toutes les 100 heures pour un tracteur agricole et pour l’automobile à 10.000 ou 15.000 km. Alors, pour pouvoir supporter ce délai plus long entre deux vidanges, préconisé par les constructeurs, il faut des lubrifiants adaptés. IGOL propose pour le transport une toute nouvelle huile : la TRANSTURBO 4 E. Accompagnée de sa technique de suivi, l’Electrocartergramme, IGOL propose la solution à de nombreux transporteurs en quête de gain de temps, limitant l’indispensable et incontournable étape du passage au garage, pour vidanger ses camions, en réduisant le nombre d’entretiens.

Les années DAKAR

Les années DAKAR et IGOL SYMBOL CERAMIC : le lubrifiant qui triomphe de l’enfer ! Deux ans après son lancement, l’esprit du Rallye-raid attire non seulement de plus en plus de concurrents mais aussi les médias qui s’y intéressent de très près. L’épreuve prend de l’ampleur pour les partenaires, tels qu’IGOL, c’est l’occasion d’être associés à un évènement très attendu par un large public et de devenir un axe de communication important. C’est également un excellent laboratoire pour expérimenter les lubrifiants semi-synthétiques de 4ème génération comme la rallye ZS et la SYMBOL CERAMIC. IGOL SYMBOL CERAMIC est élaborée avec des particules de céramique sous forme de microbilles pour apporter un effet surfaçant à l’intérieur des moteurs. IGOL développe plus que jamais une gamme de produits testés grandeur nature dans des conditions extrêmes.
1990-1999

Evolution technique et nouveau packaging – 1990

IGOL SYMBOL CERAMIC. Évolution technique et nouveau packaging. Après les huiles semi-synthétiques apparaissent les 100% synthèse. Pour accompagner le lancement de ce tout nouveau lubrifiant de 5ème génération, la SYMBOL CERAMIC, le packaging évolue d’une façon radicale.

Le plastique vient définitivement remplacer le bidon tôle.

1ère pub comparative des huiles

50 ans – 1999

IGOL fête ses 50 ans !

2000-2009

Respect de l’environnement – 2000

L’environnement est important, IGOL en prend soin. IGOL, déjà très sensible au respect de l’environnement, décide d’ouvrir la voie vers des lubrifiants biodégradables. Face à une explosion du prix des ressources fossiles, le marché s’interroge sur les difficultés d’approvisionnement de matières premières, d’additifs, etc.

Quel est le devenir des lubrifiants demain, en France, en Europe, dans le monde?

IGOL prend la décision alors de présenter les travaux de son bureau de recherches et de développements, une gamme de produits élaborée avec de l’huile de tournesol, un oléagineux qui trouve de nouveaux débouchés dans l’industrie des lubrifiants. La nature a fait des graines de tournesol, IGOL a fait AGRIGOL. En plus de créer une nouvelle génération de lubrifiants, la filière agricole a trouvé un débouché pour une culture jusque-là peu génératrice de revenus.

Le SIMA – 2007

Le salon SIMA de 2007 (Salon International du Machinisme Agricole) sera le point d’orgue du lancement officiel au grand public de cette gamme de lubrifiants biodégradables.
2010-2020

Compétition et performances ! – 2010

Toujours en quête d’innovation et de performances. Dans la continuité de sa vision et de sa stratégie, IGOL devient en 2014 partenaire officiel de la Fédération Française du Sport Automobile dans la catégorie reine du Championnat de France des Rallyes.
La passion du Président d’IGOL, Joël LECLERCQ pour les sports automobiles contribue à pousser encore et toujours IGOL vers l’excellence, la performance et la réussite. Autant de similitudes avec ce métier d’industriel du graissage que cet homme visionnaire, Joël LECLERCQ, a su faire grandir, évoluer et pérenniser pour les années à venir. Voilà en 7 décades brièvement racontées, l’épopée d’IGOL qui a traversé toutes ces années et a construit, en tirant de ses épreuves, de ses réussites et de ses victoires, une histoire incroyable. Plus que jamais, tourné vers l’avenir et fier de continuer l’histoire, IGOL investit pour relever les défis de demain, participer à l’évolution de la mobilité et proposer à ses clients et consommateurs des produits à la pointe de la technologie.

Du nouveau dans le packaging – 2010

Il y a 50 ans, IGOL proposait déjà un concept innovant pour la fourniture de lubrifiant à ses clients.

L’identité IGOL, un nouveau packaging arrive : le nouveau bidon CUIR ! Un design au grip façon cuir, unique et moderne. Le modèle déposé par et pour IGOL assure au-delà de l’esthétique une bonne prise en main. Ce bidon sera pour les années à venir la nouvelle signature design de la marque.

IGOL Race Factory

Issue de l’expérience des rallyes et testée dans les conditions les plus sévères, cette nouvelle gamme de lubrifiants IGOL RACE FACTORY est destinée à servir l’hyper performance des véhicules sportifs et de compétition.

IGOL Héritage

La gamme des lubrifiants HERITAGE rassemble toute la quintessence de 70 années de recherches et d’expériences techniques au service des performances et de la protection des moteurs. IGOL HERITAGE est la gamme idéale pour les besoins des véhicules historiques ou collection.

Les infrastructures – 2019

IGOL adapte constamment ses installations, ses processus de fabrication, de stockage ou de livraison pour toujours améliorer :

  • la qualité de ses produits
  • la sécurité de ses installations et de ses salariés
  • la protection de l’environnement
  • la satisfaction de ses clients.

Ainsi IGOL, en complément de son site historique de la rue de Cagny à Amiens, se développe pour s’installer à quelques kilomètres sur la commune de Glisy. Un nouveau site de plus de 15 hectares qui accueillera prochainement des installations modernes et à la pointe de la technologie.

FUTUR

Un regard porté vers le futur

Depuis 70 ans (en 2019), IGOL conçoit, fabrique et fournit des lubrifiants et des graisses pour le marché agricole qui a connu de nombreuses évolutions durant ces sept dernières décennies.

Le regard porté vers le futur donne naissance à de nouveaux projets : la recherche sur les fluides hydrauliques biodégradables ou la mise au point d’un lubrifiant réalisé à partir de produits végétaux pour l’industrie agro-alimentaire

Sport

Aujourd’hui, IGOL soutient de nombreux pilotes et teams :

En Rallye

IGOL est partenaire de la FFSA et du Championnat de France des Rallyes.

  • Yoann Bonato et son copilote, Benjamin Boulloud, Champions de France des Rallyes 2017 et 2018.
  • Patrick Rouillard, sur sa mythique Porsche 993 GT CUP avec laquelle il remportera le Trophée Michelin en 2017
  • Le Team 2C et son pilote Sylvain Michel, Champion de France des Rallyes 2016 et Champion de France des Rallyes sur terre en 2018.

En Moto endurance et cross avec les teams

  • IGOL ACADEMY
  • VITAIS IGOL PIERRET
  • TEAM 18 des sapeurs-pompiers
Rendez-vous dans la rubrique PLAQUES ET OBJETS DIVERS… pour découvrir des collections d’objets « IGOL »
Saga Pin-Up

Avec tous nos remerciements à la marque Igol qui nous a autorisé à reproduire les informations du site www.igol.com.

Crédits photos : MAP / Pierre Simenel et Igol.com

BIBENDUM MICHELIN

Retrouvez Bib et Michelin sur le site

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Georges Sarre

Georges Sarre, né le  à Chénérailles (Creuse) et mort le  à Paris 18e, est un homme politique français.

Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.

Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • France bleu : Le Creusois Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat de Mitterrand est mort.
  • lemonde.fr : Mort de Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat aux transports.

Pierre Giraudet

Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.

Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.

Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.

Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • lemonde.fr : Pierre Giraudet, figure du service public.
  • whoswho.fr : Biographie Pierre Giraudet, Ingénieur général honoraire des ponts et chaussées.

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Alain Peyrefitte

Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.

Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.

En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de GaulleGeorges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.

Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.

Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.

Source : Wikipédia

Maurice Maunoury

Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.

Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.

Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.

Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.

Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.

Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.