150 ans Gilbarco

Gilbarco et Veeder-Root

GILBARCO et VEEDER-ROOT

Créé en 1865 par Charles Gilbert et John Barker pour construire la « machine à gaz Springfield » avant de devenir l’un des plus important fabricant de pompe à essence.
Chronologie de l'histoire de Gilbarco
Badge 150 ans Gilbarco

Charles Gilbert et John Barker

1865- Charles Gilbert et John Barker

C’est en 1865 que Charles Gilbert et John Barker s’associent pour construire la « machine à gaz Springfield [+] », qui convertissait les distillats de pétrole brut en vapeur de gaz utilisée pour éclairer les bâtiments.

Cette même année, les partenaires ont également conçu des systèmes de distribution pour distribuer en toute sécurité ce carburant d’éclairage (naphta) à des lampes individuelles. Leur première usine était un bâtiment à ossature de bois de 18′ x 42′ [45,72cm x 106,68cm ]. Ce qui donna naissance, 5 ans plus tard à la création de Gilbert & Barker Manufacturing Co. de Springfield (Massachusetts, USA). Sir Hiram Maxim [+] (inventeur de la mitrailleuse Maxim) y fut embauché pour créer des dessins technique.

1884 fut marquée par l’acquisition de Gilbert & Barker Manufacturing Co. par la Standard Oil Company (Standard Oil Company deviendra plus tard Exxon), près de 20 ans après sa création. Gilbert & Barker était devenu le plus grand détaillant d’essence aux États-Unis.

Premières pompes à essence

La popularité croissante de l’ampoule de Thomas Edison (1880) représentait un nouveau défi en matière d’innovation, obligeant Gilbert & Barker à rechercher une utilisations différentes du pétrole.

Gilbarco 1910

41 ans après sa création (1910), Gilbert & Barker conçoit et fabrique sa première pompe à essence, la T-1, qui utilise un mouvement « push-pull » pour extraire l’essence d’un réservoir souterrain servant à faire le plein d’automobiles. La première pompe à essence à mesure est introduite peu après (1911).

La société déménage dans une usine plus grande située à West Springfield, dans le Massachusetts, afin de faire face à la forte demande de pompe à mesure visible (1912).

Le début d’une aventure à l’internationale

À mesure que les automobiles deviennent plus sophistiquées, G & B continue d’améliorer ses pompes. Les premières pompes électriques et informatiques seront proposées.

1929 marque un tournant pour l’entreprise. Bien que la société reste la Gilbert & Barker Manufacturing Co., c’est la première fois que l’on parle de « Gilbarco », une marque qui sera déposée auprès du « US Patent & Trademark Office » en 1935.

Mais cette année 1929 marque surtout la création de Gilbarco Australia, le début d’une aventure à l’internationale.

Gilbarco 1929-1935

La première pompe à compteur électrique est annoncée un an plus tard. Elle sera suivi par la pompe équipée d’un calculateur (1935).

Seconde Guerre mondiale :

Gilbarco est la Seconde Guerre Mondiale
Gilbarco est la Seconde Guerre Mondiale

Au début de la Seconde Guerre mondiale, Gilbarco doit produire pour plus de cent millions de dollars d’équipements destinés à l’armée et à la marine des États-Unis.

Pour faire face à la demande de production avec une main-d’œuvre épuisée, le nombre de femmes employées par Gilbarco Manufacturing augmente à environ 40%.

En raison de leur record de production pendant la Seconde Guerre mondiale, Gilbert & Barker est invité à poursuivre la fabrication d’équipements pour l’armée et la marine. Au cours des quatre années suivantes, ils produisent plus de trente-neuf millions de dollars d’équipements.

Gilbarco années 50
Gilbarco dans les années 50

10 ans ont passés. Depuis plusieurs sites près de Londres, G & B commence ses ventes et services au Royaume-Uni.

Toujours à la conquête du monde, c’est en 1955 que des licenciés se lancent dans la fabrication des pompes Gilbarco au Brésil, en Allemagne, en Italie, au Danemark, aux Pays-Bas, en Inde et en France.

En 1961 Gilbarco opérera en Afrique du Sud, un an avant de consolider et ouvrir des bureaux au Royaume-Uni.

Au revoir Gilbert et Barker…
Bonjour Gilbarco…

En 1965, Gilbert et Barker Manufacturing Company change officiellement de dénomination sociale, pour devenir Gilbarco et déménage le siège social et l’usine américaine à Greensboro (Caroline du Nord / USA).

Un petit cadeau pour une future vie d’artiste…

Gilbarco est pionnier des technologies concernant la pompe à essence (1976-1986). Des pompes comportant des affichages électroniques du prix et du volume, des technologies de distribution multi-produits et de paiement à la pompe sont inventées et commercialisées.

Des avancés technologiques :

La société présente, en 1979, le « Multi-Product Dispenser® (MPD®) », offrant aux automobilistes un confort inégalé pour faire le plein en un lieu unique. Une gamme de produit toujours produite dans les années 2000 (MPD98)
Illustration Gilbarco 1976-1986
Illustration Gilbarco 1976-1986
1986, la société, est la pionnière dans les technologies de paiement à la pompe et comprenant un système de lecteur de carte de crédit / débit intégré appelé CRIND®. Cette même année l’italien Logitron lance sur le marché le Puma Host, un pupitre de gestion des pompes et des points de vente.
Gilbarco Advantage® series
Gilbarco Advantage® series
Encore 510 – typical arrangement
Encore 510 – typical arrangement
D’un point de vue technique, 1988 marquera l’arrivé de nouveautés avec l’introduction d’une technologie de mélange avancée remplaçant le matériel de mélange mécanique par une technologie de mélange électronique plus récente. Deux ans plus tard ce sera l’introduction des distributeur de la série Advantage® (par Gilbarco Inc.) en Amérique du Nord et Euroline™ au Royaume-Uni (par Gilbarco Ltd). Suivra (en 1993) VaporVac® le système de récupération des vapeurs d’essence émises lors du remplissage, Infoscreen® (1994) l’écran couleur interactif pour les distributeur de la série Advantage®.Le système de point de vente Gilbarco® G-SITE® capable de gérer les pompes, une boutique, la fidélité, du lavage… sera lancé en 1995. Il intégrera la gestion du ravitaillement sans surveillance deux ans plus tard.Une étape est franchie avec TRIND®, le premier système de payement sans argent et sans fil (radiofréquence / RFID) créé par la société, en 1997. L’année 1998 sera marquée par l’arrivée en Europe, Amérique du Sud et en Asie du pupitre Pumapro™ et l’introduction, par Gilbarco Germany (Salzkotten), des distributeurs SK98™ et Enterprise™.
POS Gilbarco Passport®
Pupitre (pos) Gilbarco Passport®
www.gilbarco.com La fin de cette décennie sera marquée par l’arrivée d’internet et des technologies web… Un pupitre, le (POS) Passport®, arrive avec une interface utilisateur intuitive et graphique. S’ajoute à cela la création du « merchandising » interactif sur pompe à essence, des diagnostics à distance et des mises à niveau logicielles… seront possible grâce à cette nouvelle technologie. Les distributeurs Encore® proposeront une nouvelle génération d’électronique également compatibles web.

Créations / acquisitions :

Tous comme SATAM quelques années auparavant (en 1984) avec la Général des Eaux [], Gilbarco est acquis par la société britannique General Electric Company plc (1987), un autre géant de l’énergie. Gilbarco China (partenariat historique avec la société d’équipement de station-service Beijing Chang Gi) verra le jour en 1990 en République populaire de Chine. 1997 marquera l’acquisition du premier fabricant allemand d’équipements de distribution de pétrole, Tankanlagen Salzkotten, ainsi que Logitron, le principal fournisseur italien de services de terrains de stationnement, d’équipements de distribution de carburant et de produits d’automatisation de la vente au détail. Acquisition et fusion annoncées avec Logitron Latin America, désormais connue sous le nom de Gilbarco Latin America, et ouverture de bureaux au Mexique, en 1999.

Unifier pour devenir un leader mondial

Les années 2000 marque le regroupement de fabricants au sein de grands groupes. Dovers reprend Wayne et Tokheim [+].

La marque et les sociétés Gilbarco® sont acquises par Danaher Corporation, société mère de Veeder-Root® et de Red Jacket®. L’année 2002 sera également marqué par l’union entre Gilbarco et Veeder-Root unissant ainsi leurs forces sous une marque unique formant ainsi un leader mondial des produits et services pétroliers pour le commerce de détail, des pompes à turbine immergées et des systèmes d’automatisation de la vente au détail.

Logos groupe Gilbarco - Veeder-Root
Logos groupe Gilbarco – Veeder-Root
DOMS : PSS 5000
DOMS : PSS 5000

2003 sera l’année de l’acquisition, par Danaher Corporation, de Gasboy International Inc. (« Gasboy ») à Tokheim Inc []. Ses activités seront délocalisées à Greensboro (siège mondial), en Caroline du Nord, et fusionnées avec Gilbarco Veeder-Root. L’usine qui si trouve sera présentée dans « Made In America » de The Travel Channel, en 2008. Suivra, un an après Gasby, l’acquisition de DOMS (basés au Danemark), l’un des principaux fournisseurs européen de contrôleurs de stations (2004).En 2008 le groupe Autotank de Tampere, en Finlande, premier fabricant de terminaux de paiement extérieurs, utilisés dans toute l’Europe, rejoindra le groupe. Pour la petite histoire, c’est au milieu des années 60 que la société Ericsson AB Autotank lança une innovation mondiale: une machine à essence permettant de payer avec des billets directement dans la machine.

Deux ans plus tard Gilbarco acquiert la Petroleum Dispensing Pump Business Unit de Larsen & Toubro Limited, Mumbai, Inde. C’est également à cette période que le groupe conclu l’acquisition de Fafnir GmbH, spécialiste du développement de capteurs et de systèmes de surveillance et de mesure du niveau de liquide et du débit de vapeur.

Gilbarco Veeder-Root Europe finalise l’acquisition d’Acis, l’un des principaux fournisseurs de stations et de centres de maintenance en Europe centrale et orientale, en 2012.

L’année suivante, ce sera l’acquisition du groupe AFS, un fournisseur de premier plan de technologies et de services de gestion du carburant sur le marché sud-africain.

2014 marquera l’acquisition d’ANGI Energy Systems, LLC, à Janesville, dans le Wisconsin et Outcast Media, à Santa Monica, en Californie.

Gilbarco Veeder-Root acquiert Odysii en Israël, en 2015 et Orpak Systems Limited en 2017.

Gilbarco Veeder-Root passe, en 2016, de Danaher Corp à Fortive Corporation, une société créé pour se séparer d’une partie de ses activités [].

Et d’un point de vu technique

Le terminal de paiement extérieur Gilbarco FlexPay™ reçois les certifications EuroPay MasterCard Visa (EMV) et Visa International pour une utilisation en Europe (2004). Il s’agit là de l’ouverture du marché pour tout une gamme de produits qui ne cesseront d’évoluer et intégreront le premier lecteur de cartes à puces sans contact (approuvé par MasterCard PayPass, ExpressPay d’American Express et Visa en 2005).

Gilbarco présentera en 2007, Express Ordering™, le système de restauration rapide en libre-service. Au même moment sortira Applause ™ un système performant, équipé d’un écran et d’une imprimante…, permettant de fournir des coupons et autres informations utiles aux clients.

Le premier et le meilleur site Web du secteur, www.AskAboutPCI.com, fait ses débuts en 2008. Il informe les détaillants de la conformité des paiements.

Les clavier NIP à cryptage Gilbarco® FlexPay™ ont remporté le prix du meilleur nouveau produit de Retailers Choice de CSP Magazine cette même année. Il s’agit du premier moyen économique pour les détaillants de se conformer aux exigences de l’industrie des cartes de paiement.

Pour Allez Plus Loin

Retrouver ici une petite selection de documents pour aller plus loin

Rachat de SATAM

Rachat par la Compagnie Générale des Eaux de SATAM

Dover Corporation

Le site de Dover Corporation

Wayne Fueling Systems Ltd

Dover va acquérir Wayne Fueling Systems Ltd ...

Vente de Tokheim

Tokheim a conclu un accord avec le groupe Dover relatif à la vente de ses divisions conception et fabrication de distributeurs et de systèmes

Gasboy

Histoire de l’entreprise Gasboy.

FORTIVE CORPORATION

DANAHER CORPORATION complète la séparation de FORTIVE CORPORATION

Sources et références

www.gilbarco.com (US)

Histoire de l’entreprise.

www.gilbarco.com (EU)

Histoire de l’entreprise.

L’histoire du SPT

« La société Ericsson AB Autotank lance une nouvelle mondiale » : L’histoire du SPT

GILBER ET BARKER / GILBARCO

Retrouvez la marque sur le site

Le palmarès de J-C Daunat

1962 - amateur Helyett

11 victoires dont :
  • 1er de l'éliminatoire régionale du Premier Pas Dunlop du Limousin
  • 1er de l'éliminatoire du Premier Pas Dunlop de la Dordogne
  • 1er à Garat
  • 1er à Saint-Cyr la Roche
  • 1er à Gouts-Rossignol
  • 1er à Villetoureix
  • 1er à Ruffec
  • 1er à Limoges

1963 - amateur Helyett

13 victoires dont :
  • 1er à Garat
  • 1er à Ladiville
  • 1er à Fouquebrune
  • 1er à La Roche-Chalais
  • 1er à Saint-Alvère
  • 1er à Saint-Lheurine
Passe 2ème Catégorie le 14 septembre

1964 - amateur

  • Champion d'Aquitaine
Passe 1ère Catégorie le 7 juin

1965

  • Championnat du Poitou des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et H.Parinet
  • 1er à Sireuil
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Meuzac
  • 1er à Palais
  • 1er à Saint-Sulpice des Feuilles
  • 1er à Milhac-de-Nontron
  • 1er à Couze-St Front
  • 2ème à Vigeois
  • 2ème aux Salles-Lavauguyon
  • 2ème à Archiac
  • 2ème du Prix de Sardent
  • 2ème du Prix du Mas-Neuf à Limoges
  • 2ème à Séreilhac
  • 3ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 3ème à Marsac
  • 4ème à Goûts-Rossignol
  • 4ème du Prix Toubard à Tulle
  • 5ème à Saint-Mathieu
  • 5ème à Rochechouart
  • 5ème à Grand-Bourg
  • 6ème à Brive
  • 6ème de Limoges-St Léonard
  • 6ème du Championnat de France des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et J.P.Senamaud
  • 6ème du Prix Charles Clément à Limoges
  • 7ème du Tour du Jura
  • 7ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 2ème étape (b)
  • 8ème du Tour du Languedoc
  • 9ème à Cenon

1966 - amateur senior HC - Peugeot

  • 1er du Tour du Béarn
    _ 5ème de la 2ème étape
  • 1er de la 2ème étape de la Route des Cîmes
  • 1er à Treignac
  • 1er à La Tour-Blanche
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Pestrin-Payan
  • 1er à Gerzat
  • 1er à Chaniers
  • 1er à Egletons
  • 1er à Feniers
  • 1er à Marsac
  • 1er des 3 jours du VC La souterraine
    _ 1er de la 2ème étape
  • 1er à Aigueperse
  • 1er à Hennebont
  • 1er à Querrin
  • 2ème du Championnat du Limousin
  • 2ème à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Lafat
  • 2ème à Châteaugay
  • 2ème à Meuzac
  • 2ème à Ciry-le-Noble
  • 2ème à Auch
  • 2ème du Prix Philips à Brive
  • 3ème à Lavaveix-les-Mines
  • 3ème du Critérium de Flavignac
  • 3ème à Mérinchal
  • 3ème à Bellan
  • 3ème à Merlines
  • 4ème du Championnat de France senior
  • 4ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 4ème à Meymac
  • 5ème à Saint-Amandin
  • 6ème à Grand-Bourg
  • 6ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 1ère étape
  • 7ème de la finale des Trophées Peugeot à Valentigney
  • 7ème à Pleaux
  • 8ème du G.P de la Route des Vins
    _ 1er de la 1ère étape
  • 8ème du Prix Martini à Felletin

Passe professionnel le 9 octobre chez PEUGEOT
  • 2ème à Gourin
  • 5ème à Puteaux
  • 5ème à Rouffignac
  • 31ème du Giro di Lombardia
  • 55ème de Paris-Tours

1967 - Peugeot

  • 1er du Critérium de Saint-Brieuc
  • 4ème du G.P d'Aix
  • 4ème à Saint-Cloud
  • 7ème des Boucles du Bas-Limousin
  • 18ème du G.P du Midi Libre
  • 22ème des Boucles de la Seine
  • 26ème du G.P de la Bicicleta Eibaresa :
    _ 9ème de la 4ème étape
  • 46ème du Giro di Sardegna
  • 47ème de Paris-Luxembourg
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • 62ème

1968 - Peugeot

  • 1er de la Ronde d'Issoire
  • 1er à Plemet
  • 2ème à Meymac
  • 2ème du G.P de Menton
  • 2ème à Hennebont
  • 2ème à Pléherel
  • 2ème à Massiac
  • 3ème au Faouet
  • 3ème à Saint-Amandin
  • 3ème à St Caradec-Trégomel
  • 4ème à Saint-Claud
  • 12ème du Critérium National
  • 12ème du Championnat de Zürich
  • 23ème de Gênes-Nice
  • 24ème du Tour de l'Hérault
  • 34ème du G.P de Fourmies
  • 45ème de Liège-Bastogne-Liège
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • abandon
Championnat de France :
  • 16ème

1969 - Peugeot

  • 2ème à La Couronne
  • 2ème à Pluvigné
  • 2ème à Callac
  • 2ème à Pleyber-Christ
  • 2ème à Saint-Clet
  • 3ème à Curac
  • 3ème à Châteauneuf-la-Forêt
  • 3ème à Valence-sur-Baïse
  • 4ème à Lagorce-Laguirande
  • 6ème du Tour du Morbihan
  • 15ème du G.P de Monaco
  • 15ème des Boucles de la Seine
  • Abandon au Critérium National
Championnat de France :
  • 16ème
Tour d'Espagne (Vuelta a España) :
  • hors délais (12ème étape)

1970 - Peugeot

  • 1er à Querrien
  • 2ème à Huelgoat
  • 2ème à Maël-Carhaix
  • 2ème à La Clayette
  • 2ème à Meymac
  • 4ème des Boucles de la Seine
  • 4ème du G.P de Nantes
  • 9ème du Tour du Var
  • 10ème du G.P de Plouay
  • 12ème de Paris-Camembert
  • 13ème du Critérium National
  • 14ème de Nice-Seillans
  • 18ème du G.P d'Isbergues
  • 34ème du Tour du Nord
Championnat de France :
  • 22ème

1971 - Hoover - De Gribaldy

  • 1er à Plélan-le-Petit
  • 3ème du Circuit de l'aulne à Châteaulin
  • 3ème à Bourbriac
  • 3ème à Plancoët
  • 3ème à Plumeliau
  • 3ème à Pleyber-Christ
  • 5ème des Boucles de la Seine
  • 6ème du G.P de Plouay
  • 6ème à Bessèges
  • 9ème du Championnat de France
  • 16ème du Championnat de Zürich
  • 18ème de Nice-Seillans
  • 18ème de Paris-Bourges
  • 24ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • 24ème du Tour de Corse :
    _ 3ème de la 1ère étape (a)
  • 30ème de Paris-Camembert
  • 33ème de l'Etoile des Espoirs
  • 33ème du Critérium National
  • 35ème du G.P du Midi Libre
  • 54ème des 4 jours de Dunkerque
Tour de France :
  • 46ème

1972 - Gitane

  • 1er à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Excideuil
  • 3ème à Bain-de-Bretagne
  • 3ème à Lamballe
  • 3ème au Quillio
  • 3ème à Plélan-le-Petit
  • 4ème du G.P de Plouay
  • 8ème du Trophée des Grimpeurs
  • 16ème de la Polymultipliée
  • 21ème de Paris-Camembert
  • 23ème de la Route Nivernaise
  • 36ème du Critérium National
  • 38ème du G.P du Midi Libre
  • 51ème du Tour d'Indre-et-Loire
  • 66ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • Tour de France :
    • 72ème
    Paris-Nice :
    • 76ème

1973

17 victoires dont :
  • 1er des Boucles du Trégor à Lannion
  • 1er à Rostrenen
  • 1er à Saint-Caradec
  • 2ème à Plélan-le-Petit
  • 7ème de l'Etoile des Espoirs
  • 1re étape du Tour d'Émeraude
  • Deux Jours cyclistes de Machecoul (Trophée Gitane) :
    _ 1er au classement général
    _ 2ème étape
  • 2ème du Grand Prix de Fougères
  • 3ème du Tour d'Émeraude
  • 3ème du Grand Prix de la Trinité

1974 - amateur senior HC

23 victoires dont :
  • 1er à Broon
  • 1er à Moncontour
  • 1er à Evreux
  • 1er à Gourin
  • 1er à Juillac
  • 1er à Querrien
  • 1er du Circuit de la Saint-Michel à Quimperlé
  • 1er du Trophée du Granit à Louvigné-du-Désert
  • 2ème à Saillat
  • 3ème du Circuit de la Bretagne Sud
  • Grand Prix des Foires d'Orval
  • 3ème du Prix des Vins Nouveaux

1975

37 victoires dont :
  • 1 er du Circuit de la Bretagne Sud :
    _ 1er de la 1ère étape
    _ 1er de la 3ème étape (b)
  • 4ème étape du Tour d'Ille-et-Vilaine
  • 3ème des Deux Jours cyclistes de Machecoul

1976 - amateur senior HC

  • 1er de la Flèche finistérienne
  • 1er à Trégastel
  • 1er à Trélevern
  • 1er du Trophée du Meilleur Grimpeur
  • 6ème du Tour d'Armor
    _ 2ème de la 2ème étape (a)
  • 11ème de Manche-Atlantique

1977 et 1978 - amateur senior HC

Suspendu pour dopage.

1979 - amateur senior HC - Meubles Le Berre-Marcarini

12 victoires dont :
  • 3ème du Circuit de Bretagne Sud

Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme

Le palmarès de J-C Daunat

1962 - amateur Helyett

11 victoires dont :
  • 1er de l'éliminatoire régionale du Premier Pas Dunlop du Limousin
  • 1er de l'éliminatoire du Premier Pas Dunlop de la Dordogne
  • 1er à Garat
  • 1er à Saint-Cyr la Roche
  • 1er à Gouts-Rossignol
  • 1er à Villetoureix
  • 1er à Ruffec
  • 1er à Limoges

1963 - amateur Helyett

13 victoires dont :
  • 1er à Garat
  • 1er à Ladiville
  • 1er à Fouquebrune
  • 1er à La Roche-Chalais
  • 1er à Saint-Alvère
  • 1er à Saint-Lheurine
Passe 2ème Catégorie le 14 septembre

1964 - amateur

  • Champion d'Aquitaine
Passe 1ère Catégorie le 7 juin

1965

  • Championnat du Poitou des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et H.Parinet
  • 1er à Sireuil
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Meuzac
  • 1er à Palais
  • 1er à Saint-Sulpice des Feuilles
  • 1er à Milhac-de-Nontron
  • 1er à Couze-St Front
  • 2ème à Vigeois
  • 2ème aux Salles-Lavauguyon
  • 2ème à Archiac
  • 2ème du Prix de Sardent
  • 2ème du Prix du Mas-Neuf à Limoges
  • 2ème à Séreilhac
  • 3ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 3ème à Marsac
  • 4ème à Goûts-Rossignol
  • 4ème du Prix Toubard à Tulle
  • 5ème à Saint-Mathieu
  • 5ème à Rochechouart
  • 5ème à Grand-Bourg
  • 6ème à Brive
  • 6ème de Limoges-St Léonard
  • 6ème du Championnat de France des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et J.P.Senamaud
  • 6ème du Prix Charles Clément à Limoges
  • 7ème du Tour du Jura
  • 7ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 2ème étape (b)
  • 8ème du Tour du Languedoc
  • 9ème à Cenon

1966 - amateur senior HC - Peugeot

  • 1er du Tour du Béarn
    _ 5ème de la 2ème étape
  • 1er de la 2ème étape de la Route des Cîmes
  • 1er à Treignac
  • 1er à La Tour-Blanche
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Pestrin-Payan
  • 1er à Gerzat
  • 1er à Chaniers
  • 1er à Egletons
  • 1er à Feniers
  • 1er à Marsac
  • 1er des 3 jours du VC La souterraine
    _ 1er de la 2ème étape
  • 1er à Aigueperse
  • 1er à Hennebont
  • 1er à Querrin
  • 2ème du Championnat du Limousin
  • 2ème à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Lafat
  • 2ème à Châteaugay
  • 2ème à Meuzac
  • 2ème à Ciry-le-Noble
  • 2ème à Auch
  • 2ème du Prix Philips à Brive
  • 3ème à Lavaveix-les-Mines
  • 3ème du Critérium de Flavignac
  • 3ème à Mérinchal
  • 3ème à Bellan
  • 3ème à Merlines
  • 4ème du Championnat de France senior
  • 4ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 4ème à Meymac
  • 5ème à Saint-Amandin
  • 6ème à Grand-Bourg
  • 6ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 1ère étape
  • 7ème de la finale des Trophées Peugeot à Valentigney
  • 7ème à Pleaux
  • 8ème du G.P de la Route des Vins
    _ 1er de la 1ère étape
  • 8ème du Prix Martini à Felletin

Passe professionnel le 9 octobre chez PEUGEOT
  • 2ème à Gourin
  • 5ème à Puteaux
  • 5ème à Rouffignac
  • 31ème du Giro di Lombardia
  • 55ème de Paris-Tours

1967 - Peugeot

  • 1er du Critérium de Saint-Brieuc
  • 4ème du G.P d'Aix
  • 4ème à Saint-Cloud
  • 7ème des Boucles du Bas-Limousin
  • 18ème du G.P du Midi Libre
  • 22ème des Boucles de la Seine
  • 26ème du G.P de la Bicicleta Eibaresa :
    _ 9ème de la 4ème étape
  • 46ème du Giro di Sardegna
  • 47ème de Paris-Luxembourg
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • 62ème

1968 - Peugeot

  • 1er de la Ronde d'Issoire
  • 1er à Plemet
  • 2ème à Meymac
  • 2ème du G.P de Menton
  • 2ème à Hennebont
  • 2ème à Pléherel
  • 2ème à Massiac
  • 3ème au Faouet
  • 3ème à Saint-Amandin
  • 3ème à St Caradec-Trégomel
  • 4ème à Saint-Claud
  • 12ème du Critérium National
  • 12ème du Championnat de Zürich
  • 23ème de Gênes-Nice
  • 24ème du Tour de l'Hérault
  • 34ème du G.P de Fourmies
  • 45ème de Liège-Bastogne-Liège
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • abandon
Championnat de France :
  • 16ème

1969 - Peugeot

  • 2ème à La Couronne
  • 2ème à Pluvigné
  • 2ème à Callac
  • 2ème à Pleyber-Christ
  • 2ème à Saint-Clet
  • 3ème à Curac
  • 3ème à Châteauneuf-la-Forêt
  • 3ème à Valence-sur-Baïse
  • 4ème à Lagorce-Laguirande
  • 6ème du Tour du Morbihan
  • 15ème du G.P de Monaco
  • 15ème des Boucles de la Seine
  • Abandon au Critérium National
Championnat de France :
  • 16ème
Tour d'Espagne (Vuelta a España) :
  • hors délais (12ème étape)

1970 - Peugeot

  • 1er à Querrien
  • 2ème à Huelgoat
  • 2ème à Maël-Carhaix
  • 2ème à La Clayette
  • 2ème à Meymac
  • 4ème des Boucles de la Seine
  • 4ème du G.P de Nantes
  • 9ème du Tour du Var
  • 10ème du G.P de Plouay
  • 12ème de Paris-Camembert
  • 13ème du Critérium National
  • 14ème de Nice-Seillans
  • 18ème du G.P d'Isbergues
  • 34ème du Tour du Nord
Championnat de France :
  • 22ème

1971 - Hoover - De Gribaldy

  • 1er à Plélan-le-Petit
  • 3ème du Circuit de l'aulne à Châteaulin
  • 3ème à Bourbriac
  • 3ème à Plancoët
  • 3ème à Plumeliau
  • 3ème à Pleyber-Christ
  • 5ème des Boucles de la Seine
  • 6ème du G.P de Plouay
  • 6ème à Bessèges
  • 9ème du Championnat de France
  • 16ème du Championnat de Zürich
  • 18ème de Nice-Seillans
  • 18ème de Paris-Bourges
  • 24ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • 24ème du Tour de Corse :
    _ 3ème de la 1ère étape (a)
  • 30ème de Paris-Camembert
  • 33ème de l'Etoile des Espoirs
  • 33ème du Critérium National
  • 35ème du G.P du Midi Libre
  • 54ème des 4 jours de Dunkerque
Tour de France :
  • 46ème

1972 - Gitane

  • 1er à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Excideuil
  • 3ème à Bain-de-Bretagne
  • 3ème à Lamballe
  • 3ème au Quillio
  • 3ème à Plélan-le-Petit
  • 4ème du G.P de Plouay
  • 8ème du Trophée des Grimpeurs
  • 16ème de la Polymultipliée
  • 21ème de Paris-Camembert
  • 23ème de la Route Nivernaise
  • 36ème du Critérium National
  • 38ème du G.P du Midi Libre
  • 51ème du Tour d'Indre-et-Loire
  • 66ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • Tour de France :
    • 72ème
    Paris-Nice :
    • 76ème

1973

17 victoires dont :
  • 1er des Boucles du Trégor à Lannion
  • 1er à Rostrenen
  • 1er à Saint-Caradec
  • 2ème à Plélan-le-Petit
  • 7ème de l'Etoile des Espoirs
  • 1re étape du Tour d'Émeraude
  • Deux Jours cyclistes de Machecoul (Trophée Gitane) :
    _ 1er au classement général
    _ 2ème étape
  • 2ème du Grand Prix de Fougères
  • 3ème du Tour d'Émeraude
  • 3ème du Grand Prix de la Trinité

1974 - amateur senior HC

23 victoires dont :
  • 1er à Broon
  • 1er à Moncontour
  • 1er à Evreux
  • 1er à Gourin
  • 1er à Juillac
  • 1er à Querrien
  • 1er du Circuit de la Saint-Michel à Quimperlé
  • 1er du Trophée du Granit à Louvigné-du-Désert
  • 2ème à Saillat
  • 3ème du Circuit de la Bretagne Sud
  • Grand Prix des Foires d'Orval
  • 3ème du Prix des Vins Nouveaux

1975

37 victoires dont :
  • 1 er du Circuit de la Bretagne Sud :
    _ 1er de la 1ère étape
    _ 1er de la 3ème étape (b)
  • 4ème étape du Tour d'Ille-et-Vilaine
  • 3ème des Deux Jours cyclistes de Machecoul

1976 - amateur senior HC

  • 1er de la Flèche finistérienne
  • 1er à Trégastel
  • 1er à Trélevern
  • 1er du Trophée du Meilleur Grimpeur
  • 6ème du Tour d'Armor
    _ 2ème de la 2ème étape (a)
  • 11ème de Manche-Atlantique

1977 et 1978 - amateur senior HC

Suspendu pour dopage.

1979 - amateur senior HC - Meubles Le Berre-Marcarini

12 victoires dont :
  • 3ème du Circuit de Bretagne Sud

Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Les catégories de permis de conduire, telles qu’elles résultent de la nouvelle organisation à partir de 2013, sont définies dans le tableau suivant :

Catégorie de permis Type de véhicule Âge minimum requis52 Durée de validité53 Diplôme requis54 Équivalences55,Note 2
AMNote 3 Cyclomoteur 14 ans Pour tout conducteur né après le 31 décembre 1987 : Brevet de sécurité routière ou titre européen équivalent ou tout permis de conduire d’une autre catégorie qu’AM
Permis-France-2013-A1.svg Motocyclettes avec ou sans side-car, d’une cylindrée maximale de 125 cm3, d’une puissance n’excédant pas 11 kW et dont le rapport puissance/poids ne dépasse pas 0,1 kW/kg ; 16 ans 15 ans
Tricycles à moteur d’une puissance maximale de 15 kW.
Permis-France-2013-A2.svg Motocyclette avec ou sans side-car d’une puissance n’excédant pas 35 kW (47,5 ch) et dont le rapport puissance/poids n’excède pas 0,2 kW/kg. De plus, la puissance ne peut résulter du bridage d’un véhicule développant plus de 70 kW (95 ch)56. 18 ans 15 ans
Permis-France-2013-A.svg Motocyclettes avec ou sans side-car ; >20 ans 15 ans Permis A2 + 2ans Les titulaires du permis A peuvent conduire cyclomoteurs, motocyclettes légères, motocyclettes, tricycles à moteur et quadricycles légers à moteur.
Tricycles à moteur d’une puissance supérieure à 15 kW.
Permis-France-2013-B1.svg Véhicules de la catégorie L7e (véhicule à moteur à quatre roues dont la puissance maximale nette du moteur est inférieure ou égale à 15 kW, le poids à vide n’excède pas 550 kg pour les quadricycles affectés au transport de marchandises et 400 kg pour les quadricycles destinés au transport de personnes, et qui n’est pas de catégorie L6e) 16 ans 15 ans
Permis-France-2013-B.svg * Véhicules automobiles ayant un poids total autorisé en charge (PTAC) qui n’excède pas 3,5 tonnes, affectés au transport de personnes et comportant, outre le siège du conducteur, huit places assises au maximum ou affectés au transport de marchandises ainsi que les véhicules qui peuvent être assimilés aux véhicules précédents et dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de la sécurité routière. * Véhicules mentionnés à l’alinéa précédent attelés d’une remorque lorsque le PTAC de la remorque est inférieur ou égal à 750 kg. * Mêmes véhicules attelés d’une remorque lorsque le Poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kg, sous réserve que la somme des PTAC (véhicule + remorque) n’excède pas 3 500 kg. Si le PTAC cumulé est égal au plus à 4 250 kg pas de nécessité du permis BE mais nécessité de la formation B96 (mention 96 obtenue après une formation de sept heures)57,58A noter : il était exigé avant 1998, que le poids à vide du véhicule tracteur soit inférieur au PTAC de la remorque (lorsque son PTAC était supérieur à 750 kg) pour que le conducteur ne passe pas en catégorie E (désormais BE cf. infra) cette condition est supprimée. 18 ans 15 ans Pour tout candidat né à compter du 1er janvier 1988, l’attestation scolaire de sécurité routière de second niveau ou l’attestation de sécurité routière est obligatoire Les titulaires du permis B peuvent conduire les cyclomoteurs et les quadricycles à moteur (véhicules des catégories L6e et L7e).

Mention 96. Véhicules relevant de la catégorie B auxquels est attelée une remorque le Poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kg, sous réserve que la somme des PTAC de l’ensemble n’excède pas 4 250 kg. (formation « B96 » : d’une durée de sept heures, en auto-école, sans visite médicale, sans examen théorique ou pratique)

Mention 78. Véhicules à changement de vitesse automatique59

Permis-France-2013-C1.svg * Véhicules automobiles autres que ceux de la catégorie D et D1 dont le PTAC est supérieur à 3 500 kg sans excéder 7 500 kg et qui sont conçus et construits pour le transport de huit passagers au plus outre le conducteur. Le permis C1 code 97 est pour la conduite des véhicules non affectés au transport de marchandises (donc l’examen est simplifié). Ce permis C1 code 97 est pour restreindre la conduite des ambulances, des véhicules adaptés pour les personnes à mobilité réduite et des camping-cars dont le PTAC est supérieur à 3 500 kg. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 18 ans 5 ans Permis B Les permis C1 obtenus entre le 20 janvier 1975 et le 31 décembre 1984 autorisent la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60.
Permis-France-2013-C.svg Véhicules automobiles autres que ceux des catégories D et D1, dont le PTAC excède 3,5 tonnes et qui sont conçus et construits pour le transport de huit passagers au plus outre le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 21 ans 5 ans Permis B Le permis C obtenu avant le 20 janvier 1975 ou entre le 1er janvier 1985 et le 1er juillet 1990 autorise la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60. Les permis C obtenus avant le 19 janvier 2013 autorisent la conduite de véhicules automobiles isolés autres que ceux de la catégorie D et dont le poids total autorisé en charge (PTAC) excède 3,5 tonnes60.
Permis-France-2013-D1.svg Véhicules automobiles conçus et construits pour le transport de personnes comportant, outre le siège du conducteur, seize places assises maximum et d’une longueur n’excédant pas huit mètres. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 21 ans 5 ans Permis B
Permis-France-2013-D.svg Véhicules automobiles conçus et construits pour le transport de personnes comportant plus de huit places assises outre le siège du conducteur ou transportant plus de huit personnes, non compris le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 24 ans 5 ans Permis B Les permis D obtenus avant le 20 janvier 1975, lorsque l’examen a été subi sur un véhicule d’un poids total autorisé en charge (PTAC) de plus de 3,5 tonnes, autorise la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60. Les permis D obtenus avant le 19 janvier 2013 autorisent la conduite de véhicules automobiles affectés au transport de personnes comportant plus de huit places assises outre le siège du conducteur ou transportant plus de huit personnes, non compris le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le poids total autorisé en charge (PTAC) n’excède pas 750 kg60.
Permis-France-2013-BE.svg Véhicules relevant de la catégorie B auxquels est attelée une remorque (ou une semi-remorque) dont le PTAC est supérieur à 750 kg et inférieur ou égal à 3 500 kg lorsque le cumul des PTAC du véhicule tracteur et de la remorque (ou semi) est supérieur à 4 250 kg (entre 3 500 kg et 4 250 kg, B avec mention 96 suffisant cf. permis B) Les droits acquis des détenteurs d’un permis de la catégorie EB obtenu avant le 19 janvier 2013 sont maintenus par l’apposition de la mention additionnelle 79.06 (permettant de tracter une remorque d’un PTAC supérieur à 3 500 kg)61. 18 ans 15 ans Permis B
Permis-France-2013-C1E.svg * Véhicules relevant de la catégorie C1 ou C1 code 97 attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 750 kg ; * Véhicules relevant de la catégorie B attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 3 500 kg. Le PTRA des ensembles de véhicules relevant de la catégorie C1E ne peut excéder 12 000 kg. 18 ans 5 ans Permis C1 Les titulaires du permis C1E peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE et ceux de la catégorie D1E, sous réserve d’être titulaire du permis D1.
Permis-France-2013-CE.svg Véhicules relevant de la catégorie C attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 750 kg. 21 ans 5 ans Permis C Les titulaires du permis CE peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie DE, sous réserve d’être titulaire du permis D.
Permis-France-2013-D1E.svg Véhicules relevant de la catégorie D1 attelés d’une remorque dont le PTAC excède 750 kg. 21 ans 5 ans Permis D1 Les titulaires du permis D1E peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE.
Permis-France-2013-DE.svg Véhicules relevant de la catégorie D attelés d’une remorque dont le PTAC excède 750 kg. 24 ans 5 ans Permis D Les titulaires du permis DE peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE.

Par ailleurs, une Voiture sans permis est soit AM (50 cm3), soit B1 (< 550 kg, pour un usage normal, < 400 kg pour un usage professionnel). C’est-à-dire qu’une « Voiture sans permis » nécessite soit le Brevet de sécurité routière, soit le permis B1.

Georges Sarre

Georges Sarre, né le  à Chénérailles (Creuse) et mort le  à Paris 18e, est un homme politique français.

Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.

Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • France bleu : Le Creusois Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat de Mitterrand est mort.
  • lemonde.fr : Mort de Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat aux transports.

Pierre Giraudet

Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.

Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.

Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.

Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • lemonde.fr : Pierre Giraudet, figure du service public.
  • whoswho.fr : Biographie Pierre Giraudet, Ingénieur général honoraire des ponts et chaussées.

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Alain Peyrefitte

Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.

Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.

En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de GaulleGeorges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.

Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.

Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.

Source : Wikipédia

Maurice Maunoury

Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.

Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.

Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.

Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.

Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.

Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.