LES JOUETS, MINIATURES ET DIORAMAS
Retrouvez ici une sélection de jouets, miniatures et divers dioramas… reprenant le thème de la pompe à essence et de la station services, plus largement appelé PETROLINA (terme anglais).
Cliquez sur les images pour plus d'informations
Pompe « Power » par Adydon Diecast, années 40.
Cette pompe a un air de famille avec la Timpo Toys, mais c’est une Adydon (?) Diecast. Le moulage apparait plus fin.
La marque est portée d’un côté, et l’inscription « Made in England » est sur la face opposée.
Volucompteur « Dominion » par Barrett and Sons (GB), des années 50.
Ce volucompteur possède un joli globe a section carrée terminant en pointe sur le dessus.
Une aiguille mobile permet à l’enfant d’indiquer la quantité de carburant livrée…
Barrett & Sons était installé à Londres.
Pompe « Dominion » par Barrett and Sons (GB) des années 1950.
Volucompteur « National » par Barrett and Sons (GB), des années 50.
Cette pompe aux couleurs de « National Benzole Mixture » possède une aiguille indicatrice mobile, et ce grâce à un petit levier situé à l’arrière de la pompe. Les graduations vont de 1 à 8 gallons.
De belle facture, le modèle a le corps bicolore.
Pour en savoir plus sur Barrett & Sons.
Voir la version « Dominion ».
Voir la version « Shell ».
Pompe « National » par Barrett and Sons (GB) des années 1950.
Volucompteur « Shell » par Barrett and Sons (GB), des années 50.
Cette pompe au globe « Shell » possède une aiguille indicatrice mobile, et ce grâce à un petit levier situé à l’arrière de la pompe. Les graduations vont de 1 à 8 gallons.
De belle facture, le modèle a le corps bicolore.
Pompe « Shell » par Barrett and Sons (GB) des années 1950.
Volucompteur « BP » par Britains LTD (GB), des années 50.
Pompe « BP Premium » moulée en deux parties métalliques rivetées.
Le support de tuyauterie pivote sous le globe marqué « BP Super ». Le volume est indiqué en Gallons.
Volucompteur « National » (avec globe) par Britains LTD (GB), des années 50.
Le globe porte l’inscription « National Benzole Mixture » et est à trois faces.
On retrouve le même décalco sur la Barrett & Sons
Les mêmes inscriptions se retrouvent sur les deux faces, au dessus du cadran du volucompteur.
Bijaugeur bleue par Cofalu, des années 50.
Bijaugeur en alu coulé.
Le globe est dans l’axe de la pompe.
Existe aussi en rouge, globe blanc, ou en jaune, globe argent.
Bijaugeur bleue par Cofalu des années 1950.
Bijaugeur « Esso » par Cofalu, dans les années 50.
Bijaugeur en alu coulé.
Le globe est perpendiculaire à l’axe de la pompe.
On peut distinguer le marquage « ESSO » sur le globe.
A aussi existé en bleu marine et blanc – inscription Esso en rouge.
Volucompteur Boutillon « ESSO » par Cofalu, des années 55.
Le volucompteur bleu porte l’inscription « Esso Extra », le rouge porte simplement « Esso ».
Lorsque l’on tourne la manivelle, un petit tambour en bois, visible sur une seule des faces, indique le « prix à payer ».
Les deux portes sont maintenues sur le corps de pompe à l’aide d’une vis et d’un écrou. Les pièces constitutives sont en aluminium moulé.
Bijaugeur « Diesel » par Cofalu – Aldo, dans les années 50.
Bijaugeur en alu coulé.
Le globe est perpendiculaire à l’axe de la pompe.
On peut distinguer le marquage « Diesel » sur le globe.
A aussi existé en rouge avec l’ inscription « Auto ».
Se fixait sur un socle à l’aide d’un rivet. L’ensemble comprenait la pompe bleue, la pompe rouge et un gonfleur.
Bijaugeur « Diesel » par Cofalu – Aldo, années 1950.
Bijaugeur Satam par Cofalu – Aldo, dans les années 50.
Très beau modèle en aluminium injecté. L’arrière des deux globes est finement représenté.
L’ensemble est imposant et le grand levier en fil d’acier rajoute à la hauteur de la pompe.
Bijaugeur Satam par Cofalu – Aldo, années 1950.
Distributeur SATAM MO 4 par Cofalu, dans les années 50.
Jouet moulé en plusieurs pièces, deux pour le corps, une pour le globe et son support. Les deux « jaugeurs » sont des tubes translucides rapportés.
Sur le modèle à corps jaune, le support de globe reste rouge. L’inscription « essence » est légèrement différente.
Volucompteur à globe oval par Crescent toys LTD. (GB), dans les années 1955.
A aussi existé en BP, Fina, National, etc…
La série 49, par Dinky Toys / Meccano Dinky Toys, proposée de 1935 à 1953 existe en plusieurs versions.
On trouve une série comprendra 4 pompes complétée par un bac à huile (oil bin).
Une seconde série (Meccano Dinky Toys) comprend également 4 pompes et un « char romain ».
Pompe « Bowser » par Dinky Toys, des années 1935 à 1953.
Référence 49A d’une série de 4 pompes et un distributeur d’huile.
Voir la référence 49 B.
Voir la référence 49 C.
Voir la référence 49 D.
Pompe « BOWSER » par Dinky Toys (GB).
Pompe « Wayne » par Dinky Toys, dans les années 1935 – 1953.
Référence 49B d’une série de 4 pompes et un distributeur d’huile.
Voir la référence 49 A.
Voir la référence 49 C.
Voir la référence 49 D.
Pompe « WAYNE » par Dinky Toys (GB).
Pompe « Théo » par Dinky Toys, dans les années 1935 – 1953.
Référence 49C d’une série de 4 pompes et un distributeur d’huile.
Voir la référence 49 A.
Voir la référence 49 B.
Voir la référence 49 D.
Pompe « Shell » par Dinky Toys, dans les années 1935 – 1953.
Référence 49D d’une série de 4 pompes et un distributeur d’huile.
Voir la référence 49 A.
Voir la référence 49 C.
Voir la référence 49 D.
Pompe « SHELL » par Dinky Toys (GB).
Pompe double débit « Ville de Paris » par Dinky Toys, dans les années 1936 – 1953.
Référence 49C d’une série de 2 pompes fixes et une mobile. Beau modèle français qui possède deux fines manivelles.
Pompe « VILLE DE PARIS » par Dinky Toys (F).
Pompe GEX « L’Aster » par Dinky Toys, dans les années 1936 – 1954.
Dinky Toys a reproduit ici, un bijaugeur grillagé.
Référence 49A d’une série de 2 pompes fixes et une mobile.
A existé dans de multiples couleurs.
Il existait un coffret composé de deux référence 49A, deux référence 49C et une référence 49B (pompe mobile). Les coloris étaient alors tous différents.
Station service « ESSO » par Dinky Toys, 1955 – 1965.
Les deux pompes, respectivement aux couleurs de Esso et Esso Extra sont démontables du socle. Le panneau central et son mat le sont également.
Le sigle Esso du panneau est peint. Ceux des globes sont en décalcomanie.
La référence est 781.
Bijaugeur « Shell » modèle Satam MO 4, réalisé en 2007.
Réalisation personnelle en résine faite à partir du modèle de volucompteur Satam d’époque (modèle des années 50) auquel a été greffé une coquille Shell.
Pompe « Power Ethyl » par F.G. Taylor & Sons (GB) de 1945.
Très beau modèle dont le globe est en forme de main ! L’inscription « Power » avec une lettre par doigt, surplombe le mot « Ethyl ».Le pistolet est serti sur le tuyau. Cet exemplaire porte la marque FGT & S (F.G. Taylor & Sons).
Le même modèle de couleur verte a existé sous la marque Taylor & Barrett. Cette entreprise londonnienne sera scindée, après guerre, en F.G. Taylor & Sons, et Barrett & Sons.
Daf XF 105 Super Space avec logo Air1® et remorque aux couleurs de l’AdBlue®
Mercedes-Benz MB L311 aux couleurs d’Aral
Reanult Galion Citerne aux couleurs d’Avia
Camion BERLIET GLR 8 R avec citerne « AZUR »
Renault Galion citerne aux couleurs de BP
Saviam SM 8 aux couleurs BP, de 1974
Remorque Heavy Fuel Tank Trailer « TOPAS », pour le pétrolier BP
Modèle réalisé avec l’autorisation de la Fondation Berliet Notice explicative dédicacée par Monsieur Paul Berliet.
Camion BERLIET GLR 8 R, de 1957, avec citerne CALTEX
CAMION CITERNE PANHARD TITAN, aux couleurs ESSO. Une miniature Dinky Toys, par Meccano.
Le tracteur Panhard avec sa semi-remorque, citerne Titan, fait son apparition dans les boutiques de jouets en 1954 sous la référence 32C.
Le modèle n’est pas à proprement une nouveauté puisqu’il figure au catalogue Dinky Toys depuis 1952, sous un semi-remorque bâché aux couleurs de la SNCF puis de KODAK.
CAMION CITERNE PANHARD TITAN, aux couleurs ESSO. Miniature Dinky Toys, par Meccano
Le tracteur Panhard avec sa semi-remorque, citerne Titan, fait son apparition dans les boutiques de jouets en 1954 sous la référence 32C.
Le modèle n’est pas à proprement une nouveauté puisqu’il figure au catalogue Dinky Toys depuis 1952, sous un semi-remorque bâché aux couleurs de la SNCF puis de KODAK.
A l’ échelle 1/55, ce véhicule de ravitaillement a fière allure avec ses décalcomanies à l’enseigne de la Standard Oil et sa bande blanchetrès réaliste courant le long de la citerne. Le pare-chocs, décoré à l’argenture, porte la marque du fabricant Titan. La remorque est relié au tracteur par un système d’attache inamovible qui laisse apercevoir la rampe d’accrochage.
La miniature disposait d’un étui individuel jaune illustré. Les détaillants les recevaient en boîtes de carton gris contenant 3 exemplaires.
CAMION CITERNE PANHARD TITAN, aux couleurs ESSO. Miniature Dinky Toys, par les Editions ATLAS
Camion de transport d’essence avec inscription de la marque ESSOLUBE
FIAT 682N aux couleurs de Sacla
Camion Berliet TLM 10 M2 aux couleurs de Shell, de 1961
Berliet GLR 8 aux couleurs de Shell
Semi-remorque citerne Renault Fainéantent, aux couleurs de Shell
Berliet GLR 8 R, avec citerne, aux couleur de Total
Renault Galion citerne, « Tanker Blue White Red » (Tanker Bleu Blanc Rouge), pour Total
Superbe camion citerne (pour produits inflammables) IVECO STRALIS citerne
Citroën 2CV Fourgonnette aux couleurs d’Esso
BERLIET GLR 8 R fourgon « ESSO EXTRA MOTOR OIL »
Renault 1000Kg tôlé, de 1954, aux couleurs Shell (original)
RENAULT FLORIDE BUTAGAZ, « Tour De France 1960 »
Seconde RENAULT FLORIDE BUTAGAZ, « Tour De France 1960 ».
RENAULT FLORIDE PROPAGAZ, « Tour De France 1960 »
Seconde RENAULT FLORIDE PROPAGAZ, « Tour De France 1960 » (2).
RENAULT FLORIDE PROPAGAZ, « Tour De France 1960 » (2)
SIMCA OCEANE BUTAGAZ PROPAGAZ, « Tour De France 1960 ».
Renault Spider aux couleurs d’Antargaz, « Tour De France 2008 ».
Modèle destiné au Tour de France entre 1954 et 1960. Véhicule avec les couleurs de la première série, d’autres véhicules similaires viendront ensuite mais avec des bouteilles en 2 tons de bleus.
Renault 1400 Kg Bi-bouteilles pour Butagaz destiné au Tour de France 1960
Atelier mobile Berliet PLK 8, pour les « Huiles Berliet », issu d’une collection Presse Hachette.
Présentation détaillée :Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme
Georges Sarre, né le à Chénérailles (Creuse) et mort le à Paris 18e, est un homme politique français.
Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.
Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. […]
Pour aller plus loin :
Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.
Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.
Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.
Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. […]
Pour aller plus loin :
Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.
Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.
Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.
Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.
En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de Gaulle, Georges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.
Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.
Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.
Source : Wikipédia
Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.
Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.
Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.
Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.
Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.
Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.
Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.
Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.
Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).
Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.
En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.
L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.
Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.
Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.
Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.
Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).
Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.
En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.
L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.
Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.
Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).
Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.
Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.
En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.
L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.
Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).
Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.
Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.
En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.
L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.
L’éther de pétrole (appelé aussi gazoline, benzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.
L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :
Avec les mentions de danger :
L’éther de pétrole (appelé aussi gazoline, benzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.
L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :
Avec les mentions de danger :