AFFICHES ET PUBLICITÉS
Les affiches et publicités dans le monde de la station-essence.
Les affiches et publicités dans le monde de la station-essence.
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En Alsace, Pechelbronn S.A. Exploitation Minière fonde la Société Alsacienne des Carburants (SOCALINE) qui lance en 1926 l’huile à la marque ANTAR.
C’est en 1928 que la Société des Huiles ANTAR (S.H.A.) est constituée afin de distribuer des lubrifiants fabriqués par Pechelbronn.
L’appellation « ANTAR, l’huile de France » née après la crise économique de 1929 est connue de tous les automobilistes et les slogans sur la préférence nationale fusent. Les constructeurs automobiles tels Delage, Hotchkiss, Mathis et Amilcar préconisent l’huile ANTAR.
« Antar-Gel » : L’huile du rallye de Monté-Carlo.
Affiche d’intérieur, publicité R.L Dupuy à Paris. Publicité promotionnelle des « Huiles Antar » après leur victoire au Rallye de Monte Carlo 1933.
« Antar-Gel » : L’huile du rallye de Monté-Carlo
Affiche promotionnelle « Antar-Gel garantit des départs instantanés » », signée Dormoy, circa 1920
Affiche promotionnelle « BP-ZOOM »
Affiche « BP-ZOOM », mélange pour 2 temps, par SEGUIN
Imprimerie S.A. Courbet, PARIS.
Affiche promotionnelle « BP-ZOOM »
Lot comprenant 47 PHOTOS de publicité BP, en couleurs et toutes différentes
1885 : Fenaille et Despeaux lance une marque d’essence Benzo-moteur et deux lubrifiant: l’Oléonaphtine et le Saxol.
Affiche « Pâques… Printemps… Castrol Assurera la sécurité de vos déplacements. » et bidon « Castrol Huile pour moteur »
Affiche le 4 février 1934 à Montlhéry le « Record du monde de l’heure » porté à 214.064 km par G.E.T. Eyston sur Panhard.
Encore avec l’huile « Castrol ».
Affiche « CITROEN C4 »
Affiche « CITROEN C4 »
Affiche pour … le record de la petite Rosalie (1933), signée Pierre Eugène Louÿs (1894 – 1976).
Affiche pour … le record de la petite Rosalie
Affiches d’intérieur CITROEN
Affiche « Savignac chez Citroën », signée Savignac.
Sous plexiglass. 72X52cm
Affiche « Succursale Citroën Toulouse », signée Pierre Eugène Louÿs (1894 – 1976).
Affiche « La caravane Citroën », 1925, signée Pierre Eugène Louÿs (1894 – 1976).
Tout la gamme Citroën 1925 semble présente sur cette place de marché ; le cartouche en bas permettait d’imprimer les coordonnées du concessionnaire.
Affiche « Pneus Dunlop agraires ».
Affiche Elf partenaire du « Championnat du monde 500 C.C ».
Publicité pour les Huiles Berliet « Le moteur de ton camion a aussi besoin de tendresse ».
Affiche Huile Renault, « La nouvelle huile de surpuissance », signée Félix Masseau.
Reproduction d’une ancienne affiche pour Luciline, le « Pétrole des Salons ».
Affiche promotionelle « Michelin Superconfort, Une révolution », circa 1932.
Affiche promotionnelle « Michelin Superconfort, Une révolution »
(Reproduction) Affiche « Pneu Michelin ».
Affiche originale de la « Socony-Vacuum Italie » (1952), avec de rares images de « lait » mobilube et mobilgrease.
Quelques renfort / réparation à l’arrière avec du ruban adhésif.
(Reproduction) Affiche « Mobiliol ».
Reproduction d’affiche ancienne pour « Motricine », l’« Essence pour automobiles»
Affiche pour l’essence MOTRICINE, l’« Essence pour automobiles»
Affiche pour l’essence MOTRICINE, « Essence pour automobiles»
Affiche Naphta-Cycle « Essence pour moteurs ».
Reproduction d’ancienne affiche publicitaire (1900) pour le « Pétrole de sureté Saxoléine »
Reproduction d’ancienne affiche publicitaire (1900) pour le « Pétrole de sûreté Saxoléine »
Affiche pour le « Pétrole de sureté Saxoléine »
Reproduction d’ancienne affiche publicitaire (1900) pour le « Pétrole de sûreté Saxoléine »
Bidon 2l shell « triple » et authentique affiche de 1930.
Bidon et affiche Shell de 1930
Affiche publicitaire pour l’huile TEXACO, 1924.
Publicité Tokheim de 1926 pour pompes visible 600/605.
On peut y lire que le modèle 600 dispose d’une pompe à bras et que le modèle 605 dispose d’un moteur.
Affiche publicitaire « Total Altigrade GT », l’huile pour l’hiver, « Sur les routes d’hiver… TOTAL votre bon génie », de 1954.
Affiche « Total Altigrade GT »
Affiche publicitaire « Total Altigrade », l’huile détergente, « TOTAL altigrade, c’est l’huile de jeunesse du moteur », de 1953.
Affiche « Total Altigrade »
Affiche publicitaire « Super Total Antigivre », « Plus d’hiver pour votre voiture », de 1960.
Affiche « Super Total Antigivre »
Affiche publicitaire, « Chez TOTAL … détente à l’étape », de 1961.
Affiche publicitaire « Total carburant le plein de Super » , « TOTAL … va de l’avant », de 1962.
Affiche publicitaire « Total Altigrade », « Performance TOTAL, performance pour vous », de 1960.
Affiche publicitaire « Performance TOTAL, sécurité pour vous », de 1960.
Affiche publicitaire « Performance TOTAL, économie pour vous », de 1960.
Affiche publicitaire « Total se fait transporteur … pour vous », 1965.
Affiche publicitaire « Total se fait conducteur de camions-citernes … pour vous ».
Affiche publicitaire « Sur votre route vers le plus grand amphithéâtre de France… à votre service », de 1966.
Affiche publicitaire « Sur votre route vers le plus grand aqueduc de France… à votre service », de 1966.
Affiche « Sur votre route vers la plus grande cathédrale de France… à votre service »
Affiche publicitaire TOTAL « Sur votre route vers la plus grande forêt de France… à votre service », de 1966.
Affiche publicitaire TOTAL « Sur votre route vers le plus grand lac de France… à votre service », de 1966.
Affiche publicitaire TOTAL « Sur votre route vers le plus grand phare de France… à votre service », de 1966.
Rare bidon de 5l d’huile Veedol accompagné d’une publicité originale, de 1925.
« YACCO, l’huile records du monde ».
Xavier Chauvin
Affiche Yacco, « La petite Rosalie », 8CV Citroën, détient toujours le record du monde de 300 000 Kms.
Restaurations. Entoilée.
Dimensions : 77 x 56 cm.
Repris par Xavier Chauvin, pour son livre Yacco : L’huile des records du monde, cette publicité montre l’ambition de Yacco dans les année 1920 / 1930.
Publicité « Les YACCOLINES ».
Affiche de la ville de Paris (1914) : école « Economisons le pétrole l’essence »
Lithographies en couleur, réalisée par Marie Louise Jeanningros (13 ans). Créé et publié pour le Comité national de prévoyance et d’économie (Paris).
Pour aller plus loin : www.loc.gov / gallica.bnf.fr
« Prudence ! les vapeurs d’essence sont inflammables »
Affiche éditée par la cie d’Orléans.
Armoricaine Nantes.
« Si on ne surveille pas l’essence se perd »
Affiche de 1967, entoilée et en bon état.
« Si on perd le contrôle l’essence s’écoule »
Affiche « Automobiles Motobloc », « Les meilleures grimpeuses de côtes »
Affiche « Automobile Club de France », avant la lettre signée Henri Privat- Livemont et datée 1902, utilisée pour le 5ème Salon de l’Automobile à Paris.
Affiche « Glacoide : Chauffeurs !!! ».
Affiche de calendrier pour les « Pneus Vigor ».
Affiche « Les alliés ont besoin de ces bidons. Aidez-nous à les ramasser »
Campagne de la seconde guerre mondial, pour récupérer les bidons d’essence, dans le but de les réutiliser après les avoir abandonnés sur le bord des routes…
Affiche « PETIT,
cycles & automobiles ».
Reproduction d’une affiche vintage en vente chez Posters And Co
Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme
Georges Sarre, né le à Chénérailles (Creuse) et mort le à Paris 18e, est un homme politique français.
Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.
Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. […]
Pour aller plus loin :
Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.
Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.
Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.
Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. […]
Pour aller plus loin :
Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.
Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.
Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.
Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.
En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de Gaulle, Georges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.
Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.
Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.
Source : Wikipédia
Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.
Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.
Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.
Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.
Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.
Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.
Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.
Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.
Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).
Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.
En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.
L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.
Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.
Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.
Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.
Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).
Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.
En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.
L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.
Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.
Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).
Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.
Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.
En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.
L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.
Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).
Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.
Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.
En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.
L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.
L’éther de pétrole (appelé aussi gazoline, benzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.
L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :
Avec les mentions de danger :
L’éther de pétrole (appelé aussi gazoline, benzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.
L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :
Avec les mentions de danger :