Découvrons ICI l'histoire d'une des plus ancienne marque Française de pompes et autres équipements electriques et électroniques
Histoire d’une société créée en 1921 et qui proposa bien plus que des pompes.
Découvrons ICI l'histoire d'une des plus ancienne marque Française de pompes et autres équipements electriques et électroniques
La « Société Anonyme pour Tous Appareillages Mécaniques » fut créée le 23 juin 1921 (Registre du commerce de la Seine n°194435), son activité était largement diversifiée. La SATAM fera partie d’un groupe fondée en 1908 par deux ingénieurs polytechniciens français, Alexandre Giros et Louis Loucheur, la SGE (Société générale d’entreprise, future VINCI).
Elle allait de la fabrication de distributeurs d’essence, d’huile et de lait, de pompes, de compresseurs rotatifs, de matériels et installations frigorifiques, d’accessoires et pièces détachées d’automobiles et d’aviation, à la construction de voitures électriques sous sa propre marque.
Sont usine et le siège furent implantés à La Courneuve (63 av du Général Leclerc), en région parisienne. En 1926, son siège social se trouvait (7 rue Ernest Cognacq) à Levallois-Perret et sont capital était de 2,4 millions de francs1. Gaston DUBREUIL en fut le premier dirigeant, Louis RIBSTEIN administrateur à partir de 19282.
Mais qu’elles furent ses activités ?
Si les pompes à essences vont largement marquer l’activité de la « Société Anonyme pour Tous Appareillages Mécaniques », essayons d’en découvrir l’histoire :
Un leadeur dans le monde de la station
Parmi les premières grandes marques françaises et européennes, la société au logo en forme de diable, va très largement marquer l’histoire des pompes, de sa création à nos jours.
La première activité connu de la marque fut la fabrication de pompes à essence.
Grâce à son directeur directeur commercial – le champion de tennis Jean Borotra surnommé le « Basque bondissant » – la SATAM vendait des distributeurs de carburants liquides dans tous les pays où se pratiquait le tennis.
[…] Pantouflard, il a été embauché (en 1924) par la SATAM (pompes à essence) en qualité d’ingénieur commercial, payé à la commission (peut être pas en totalité, mais pour une part importante de sa rémunération). En contrepartie, il était libre d’organiser son programme. Comme il travaillait à l’exportation, il combinait une tournée en Grande-Bretagne avec Wimbledon, ou en Allemagne après Berlin ou Hambourg. Il profitait de sa popularité sportive pour entrer chez les clients et décrocher des contrats.
En outre, les années 20 ont vu un développement considérable de l’automobile, et par conséquent du marché des pompes à essence. Il a bientôt gagné plus que son Président.
Lors du rachat de la SATAM par le groupe de la Générale d’Entreprise (énergie et travaux publics), le plafonnement des appointements de Borotra fit l’objet d’une négociation longue, amicale et délicate entre le nouveau président et l’intéressé. Tous les deux étaient de promotions très voisines (Huvelin X21) . Avant la lettre, Jean Borotra était un « people », un membre de la « jet-set » d’autant qu’il avait beaucoup de charme, et un contact très chaleureux. […]
La société absorbera les marques Hardoll (Suisse) en 1924 et Carbox (France), en 1930 . Cette dernière donnera naissance à un modèle éponyme (voir photos ci-contre).
Rachetée par la Compagnie Générale des Eaux en 1984, la société fut cédée à Tokheim en septembre 1996, lors de l’acquisition de Sofitam pour 107,4 millions de dollars. Cette dernière comprend le prestataire de services de Sofitam, Sogen SA, ainsi que les deux marques distinctes – EIN et Satam.
SATAM devient la division Comptage Industriel du groupe Tokheim, fabriquant des compteurs volumétriques pour le comptage transactionnel des hydrocarbures.
Pour la petite histoire une société, la société anglo-française Avery-Hardoll, vie le jour en 1932 (averyhardoll.com). En décembre 2015, Liquid Controls acquis la gamme de produits Avery-Hardoll et devient le fabricant des produits de mesure Avery-Hardoll.
Silea Liquid Transfer annoncera, le 11 janvier 2021, qu’un accord était signé pour acquérir la marque Avery Hardoll de Liquid Controls LLC (IDEX Group).
La société fabriquait des pompes à essences classique avant de se spécialiser dans les technologies de pointes en fabricant des débitmètres ultra précis (0,1%).
La SATAM et l’Union française de crédit feront partie d’un groupe fondé par le polytechnicien Alexandre Giros, la SGE (Société générale d’entreprise, future VINCI). L’un des ses fils, François, PDG de la SATAM, sera administrateur avec Borotra d’une de ses filiale, la société britannique Avery-Hardoll Ltd19.
Fini le distributeur (et divers équipements) que l’on croise sur nos stations services. Depuis 1996 la société sera spécialisée dans le domaine industriel.
En 2009 la société Meci se mariera à Satam, pour contrôler le marché.
La holding COUNTUM S.A.S regroupera les sociétés SATAM et MECI, leaders dans le secteur du comptage industriel de type transactionnel pour les hydrocarbures liquides et les gaz. Ce regroupement permit de répondre aux besoins en solutions de comptage des sociétés pétrolières tout le long de la chaîne logistique de transport des produits pétroliers et gaziers ; un savoir faire exercé dans plus de 50 pays. 130 personnes, 20M€ de CA.
MECI rejoindra la société CLEMESSY (Groupe Eiffage). En mai 2018 Meci changera de dénomination sociale et deviendra Eiffage Énergie Systèmes – Meci.
Désormais SATAM, dont le siège social et l’usine se trouve à Falaise (FR -14), est experts en comptage transactions commerciales et développe, fabrique, commercialise, maintien et rénove les compteurs volumétriques et les systèmes de comptage destinés à la chaîne logistique des hydrocarbures.
Depuis le 02 avril 2007, l’entreprise deviendra une SASU (Société par Actions Simplifiée à Associé Unique). Son effectif est compris entre 20 et 49 salariés. Sur l’année 2021 elle réalisera un chiffre d’affaires de 7 825 900,00 €. Le total du bilan aura diminué de 2,24 % entre 2020 et 2021. Societe.com recensera 5 établissements ainsi que 4 mandataires depuis le début de son activité, le dernier événement notable de cette entreprise datant du 05-01-2021. L’entreprise COUNTUM est président de l’entreprise SATAM.[6]
(Photo : Groupe de comptage horizontal ZCE5-H © satam.eu)
Parallèlement à sont activité dans la distribution de carburant, l’on trouve quelques traces de la fabrication d’équipement pour baie de services (partie garage), ainsi que pour le lavage des véhicules : pont-élévateurs, équipement de graissage, lave-auto, distributeurs d’air et d’eau…
Malheureusement pour nous, il nous est impossible d’en trouver quelque exemplaire en photo.
Parmi les nombreuses activités qui marqueront la marque SATAM il y eu la fabrication et l’installation de matériel frigorifique. Une activité qui durera au moins jusque dans les années 60 sous son nom propre.
L’activité froid de la marque, après affiliation et rachat, rejoindra divers groupes ( Thompson, EPTA, Carrier…).
L’entreprise fabriquera et entretiendra une large gamme d’équipement pour professionnel et particulier.
(Photo : Publicité pour les réfrigérateurs SATAM ©delcampe.net)
L’histoire d’Epta France naît avec la fusion de marques françaises historiques de la réfrigération commerciale.
Epta : Des systèmes complets pour la réfrigération commerciale.
Les anciens se souviennent surtout de Bonnet-Névé, le nom d’avant Carrier. Il faut dire que l’entreprise du quartier Saint-Marc en a eu un certain nombre, au gré des rachats successifs : Linde, ABC Synergie ou encore Froid Satam Brandt, qui résonne particulièrement dans les mémoires. A commencer dans celle de Philippe Genies. Six jours après l’annonce de la fermeture de son site, le secrétaire du comité d’entreprise se baladait, hier midi, tel un fantôme en blouse bleue dans un atelier au point mort. « Moi, quand je suis arrivé en 1984, c’était Froid Satam Brandt, il y avait plus de 400 salariés et on avait aussi les bâtiments de l’entreprise Itab aujourd’hui », confiait-il en passant sous le grand panneau numérique qui continue malgré tout à indiquer le nombre de commandes prévues et à réaliser par les 88 salariés d’ici juillet.[…]
Quant aux salariés, ils continueront leur grève, devant les grilles, décidés à ne pas quitter l’usine sans sauver ce qui peut l’être. Les primes et l’espoir d’un repreneur, que l’État, qui va piloter la procédure, appelle de ses vœux. En attendant, chez Carrier, on a ressorti une plaque de firme gravée au nom de la société Satam, en 1951, à La Courneuve, quelques années avant la fabrication des premiers meubles réfrigérés locaux dans les années soixante. Un passé à la fois lointain et proche de mémoire de salariés et de Romorantinais.
Parmi les nombreuses activités qui ne marqueront pas la marque SATAM il y eu la fabrication d’un véhicule électrique. Une activité qui débutera dans les années 40 pour s’achever a peine quelques années plus tard.
Avant la guerre, la société SATAM (Société Anonyme pour Tous Appareillages Mécaniques) , située dans la ville française de La Courneuve, Seine, se consacrait à la fabrication de pompes à essence.
Pendant l’occupation allemande, l’essence se fait rare et l’entreprise est obligée de rechercher de nouveaux secteurs d’activité, si bien qu’en 1940 elle commence l’étude et le développement d’une petite voiture électrique appelée SATAM. La SATAM a été construit sous la direction du champion de tennis Jean Borotra.
La SATAM avait deux portes et deux sièges, et était capable de parcourir plus de 100 km sans recharge s’il était conduit sur un terrain plat et conduit à une vitesse d’environ 35 km/h. Le 16 septembre 1941, en présence de chefs d’entreprise et sous le contrôle de l’Automobile Club de France, une stricte série SATAM électrique, équipée de batteries Tudor, effectue un essai sur une piste qui entoure l’hippodrome de Longchamp. Le test s’est déroulé sans incident, la voiture a roulé pendant 37 tours, réalisant un record de 134,384 km sans s’arrêter, à une vitesse moyenne de 32,279 kilomètres par heure.
La SATAM a été construit en série, mais on ne sait pas avec certitude combien d’unités ont été fabriquées. Elle aurait été construite entre 1941 et 1943.
(Photo : Publicité pour SATAM ELECTRIQUE)
L’aventure de la marque SATAM sera un énorme succès dans les années 30 (Leader européen) et les années qui suivirent, dans le domaine de la distribution d’essence. Les autres activités restant plus confidentielles.
Le temps faisant, le groupe séparera ses divers activités avant de les céder à divers groupes internationaux.
Le site de l'actuelle société SATAM
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Sélection de voitures; de camions et de bus de tous les pays. 67599 véhicules; 5143 marques ( constructeurs - carrossiers et concepteurs ) de 91 pays.
Compteurs de carburant Avery-Hardoll...
L’article «Bref historique de la vente d’essence en France», de la revue Route Nostalgie
le Premier fournisseur mondial d’équipements pour les réseaux de distribution d’énergie (carburants traditionnels, gaz naturel, électricité, hydrogène…). TSG est présent en Europe et en Afrique...
EPTA France, une histoire française dans la réfrigération commerciale.
Bonnet Névè, spécialisée dans la réfrigération commerciale.
Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme
Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme
Les catégories de permis de conduire, telles qu’elles résultent de la nouvelle organisation à partir de 2013, sont définies dans le tableau suivant :
Catégorie de permis | Type de véhicule | Âge minimum requis52 | Durée de validité53 | Diplôme requis54 | Équivalences55,Note 2 |
---|---|---|---|---|---|
AMNote 3 | Cyclomoteur | 14 ans | Pour tout conducteur né après le 31 décembre 1987 : Brevet de sécurité routière ou titre européen équivalent ou tout permis de conduire d’une autre catégorie qu’AM | ||
Motocyclettes avec ou sans side-car, d’une cylindrée maximale de 125 cm3, d’une puissance n’excédant pas 11 kW et dont le rapport puissance/poids ne dépasse pas 0,1 kW/kg ; | 16 ans | 15 ans | |||
Tricycles à moteur d’une puissance maximale de 15 kW. | |||||
Motocyclette avec ou sans side-car d’une puissance n’excédant pas 35 kW (47,5 ch) et dont le rapport puissance/poids n’excède pas 0,2 kW/kg. De plus, la puissance ne peut résulter du bridage d’un véhicule développant plus de 70 kW (95 ch)56. | 18 ans | 15 ans | |||
Motocyclettes avec ou sans side-car ; | >20 ans | 15 ans | Permis A2 + 2ans | Les titulaires du permis A peuvent conduire cyclomoteurs, motocyclettes légères, motocyclettes, tricycles à moteur et quadricycles légers à moteur. | |
Tricycles à moteur d’une puissance supérieure à 15 kW. | |||||
Véhicules de la catégorie L7e (véhicule à moteur à quatre roues dont la puissance maximale nette du moteur est inférieure ou égale à 15 kW, le poids à vide n’excède pas 550 kg pour les quadricycles affectés au transport de marchandises et 400 kg pour les quadricycles destinés au transport de personnes, et qui n’est pas de catégorie L6e) | 16 ans | 15 ans | |||
* Véhicules automobiles ayant un poids total autorisé en charge (PTAC) qui n’excède pas 3,5 tonnes, affectés au transport de personnes et comportant, outre le siège du conducteur, huit places assises au maximum ou affectés au transport de marchandises ainsi que les véhicules qui peuvent être assimilés aux véhicules précédents et dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de la sécurité routière. * Véhicules mentionnés à l’alinéa précédent attelés d’une remorque lorsque le PTAC de la remorque est inférieur ou égal à 750 kg. * Mêmes véhicules attelés d’une remorque lorsque le Poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kg, sous réserve que la somme des PTAC (véhicule + remorque) n’excède pas 3 500 kg. Si le PTAC cumulé est égal au plus à 4 250 kg pas de nécessité du permis BE mais nécessité de la formation B96 (mention 96 obtenue après une formation de sept heures)57,58A noter : il était exigé avant 1998, que le poids à vide du véhicule tracteur soit inférieur au PTAC de la remorque (lorsque son PTAC était supérieur à 750 kg) pour que le conducteur ne passe pas en catégorie E (désormais BE cf. infra) cette condition est supprimée. | 18 ans | 15 ans | Pour tout candidat né à compter du 1er janvier 1988, l’attestation scolaire de sécurité routière de second niveau ou l’attestation de sécurité routière est obligatoire | Les titulaires du permis B peuvent conduire les cyclomoteurs et les quadricycles à moteur (véhicules des catégories L6e et L7e).
Mention 96. Véhicules relevant de la catégorie B auxquels est attelée une remorque le Poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kg, sous réserve que la somme des PTAC de l’ensemble n’excède pas 4 250 kg. (formation « B96 » : d’une durée de sept heures, en auto-école, sans visite médicale, sans examen théorique ou pratique) Mention 78. Véhicules à changement de vitesse automatique59 |
|
* Véhicules automobiles autres que ceux de la catégorie D et D1 dont le PTAC est supérieur à 3 500 kg sans excéder 7 500 kg et qui sont conçus et construits pour le transport de huit passagers au plus outre le conducteur. Le permis C1 code 97 est pour la conduite des véhicules non affectés au transport de marchandises (donc l’examen est simplifié). Ce permis C1 code 97 est pour restreindre la conduite des ambulances, des véhicules adaptés pour les personnes à mobilité réduite et des camping-cars dont le PTAC est supérieur à 3 500 kg. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. | 18 ans | 5 ans | Permis B | Les permis C1 obtenus entre le 20 janvier 1975 et le 31 décembre 1984 autorisent la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60. | |
Véhicules automobiles autres que ceux des catégories D et D1, dont le PTAC excède 3,5 tonnes et qui sont conçus et construits pour le transport de huit passagers au plus outre le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. | 21 ans | 5 ans | Permis B | Le permis C obtenu avant le 20 janvier 1975 ou entre le 1er janvier 1985 et le 1er juillet 1990 autorise la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60. Les permis C obtenus avant le 19 janvier 2013 autorisent la conduite de véhicules automobiles isolés autres que ceux de la catégorie D et dont le poids total autorisé en charge (PTAC) excède 3,5 tonnes60. | |
Véhicules automobiles conçus et construits pour le transport de personnes comportant, outre le siège du conducteur, seize places assises maximum et d’une longueur n’excédant pas huit mètres. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. | 21 ans | 5 ans | Permis B | ||
Véhicules automobiles conçus et construits pour le transport de personnes comportant plus de huit places assises outre le siège du conducteur ou transportant plus de huit personnes, non compris le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. | 24 ans | 5 ans | Permis B | Les permis D obtenus avant le 20 janvier 1975, lorsque l’examen a été subi sur un véhicule d’un poids total autorisé en charge (PTAC) de plus de 3,5 tonnes, autorise la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60. Les permis D obtenus avant le 19 janvier 2013 autorisent la conduite de véhicules automobiles affectés au transport de personnes comportant plus de huit places assises outre le siège du conducteur ou transportant plus de huit personnes, non compris le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le poids total autorisé en charge (PTAC) n’excède pas 750 kg60. | |
Véhicules relevant de la catégorie B auxquels est attelée une remorque (ou une semi-remorque) dont le PTAC est supérieur à 750 kg et inférieur ou égal à 3 500 kg lorsque le cumul des PTAC du véhicule tracteur et de la remorque (ou semi) est supérieur à 4 250 kg (entre 3 500 kg et 4 250 kg, B avec mention 96 suffisant cf. permis B) Les droits acquis des détenteurs d’un permis de la catégorie EB obtenu avant le 19 janvier 2013 sont maintenus par l’apposition de la mention additionnelle 79.06 (permettant de tracter une remorque d’un PTAC supérieur à 3 500 kg)61. | 18 ans | 15 ans | Permis B | ||
* Véhicules relevant de la catégorie C1 ou C1 code 97 attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 750 kg ; * Véhicules relevant de la catégorie B attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 3 500 kg. Le PTRA des ensembles de véhicules relevant de la catégorie C1E ne peut excéder 12 000 kg. | 18 ans | 5 ans | Permis C1 | Les titulaires du permis C1E peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE et ceux de la catégorie D1E, sous réserve d’être titulaire du permis D1. | |
Véhicules relevant de la catégorie C attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 750 kg. | 21 ans | 5 ans | Permis C | Les titulaires du permis CE peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie DE, sous réserve d’être titulaire du permis D. | |
Véhicules relevant de la catégorie D1 attelés d’une remorque dont le PTAC excède 750 kg. | 21 ans | 5 ans | Permis D1 | Les titulaires du permis D1E peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE. | |
Véhicules relevant de la catégorie D attelés d’une remorque dont le PTAC excède 750 kg. | 24 ans | 5 ans | Permis D | Les titulaires du permis DE peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE. |
Par ailleurs, une Voiture sans permis est soit AM (50 cm3), soit B1 (< 550 kg, pour un usage normal, < 400 kg pour un usage professionnel). C’est-à-dire qu’une « Voiture sans permis » nécessite soit le Brevet de sécurité routière, soit le permis B1.
Georges Sarre, né le à Chénérailles (Creuse) et mort le à Paris 18e, est un homme politique français.
Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.
Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. […]
Pour aller plus loin :
Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.
Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.
Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.
Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. […]
Pour aller plus loin :
Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.
Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.
Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.
Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.
En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de Gaulle, Georges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.
Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.
Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.
Source : Wikipédia
Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.
Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.
Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.
Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.
Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.
Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.
Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.
Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.
Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).
Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.
En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.
L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.
Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.
Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.
Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.
Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).
Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.
En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.
L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.
Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.
Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).
Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.
Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.
En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.
L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.
Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).
Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.
Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.
En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.
L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.
L’éther de pétrole (appelé aussi gazoline, benzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.
L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :
Avec les mentions de danger :
L’éther de pétrole (appelé aussi gazoline, benzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.
L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :
Avec les mentions de danger :