Pompes à essence Bowser : Catalogue des années 1920.

Traduction d’un article du site www.oldclassiccar.co.uk
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Pompe à essence Vintage Bowser

La naissance d’une icône

Pompe à essence Vintage Bowser
Pompe à essence Vintage Bowser

J’ai acheté ce catalogue (reproduction ci-dessous) des premières pompes à essence en 2007, ainsi que d’autres documents qui figureront en temps voulu dans la section des objets de collection pour l’automobile. Ce catalogue Bowser fut affranchi le 19 avril 1922 plié en trois afin de pouvoir être rangé facilement dans la boîte aux lettres. Il était adressé aux frères Tucker , qui se trouvait au garage Excelsior, East Street, à Bovey Tracey, dans le Devon. Cette brochure porte la date du 27/3/1922 à l’arrière, sous un résumé de leurs produits:

« Les systèmes de stockage souterrain d’essence Bowser occupent la première place dans le monde entier. Trente-six ans d’expérience ont incarné la supériorité, la sécurité, la meilleure qualité de travail et l’économie.

BREVETS ORIGINAUX de la pompe de mesure par piston, tant en bordure de trottoir qu’à l’intérieur, et introduites pour la première fois dans ce pays. Bowser a toujours était en route vers le PROGRES.

Première en Grande-Bretagne à obtenir l’approbation du Board of Trade.
METTEZ VOTRE GARAGE À JOUR.

La première page complète indique au garagiste qu’il y avait plus de 1 500 000 utilisateurs satisfaits des systèmes à carburant Bowser dans le monde, dont 5 000 ici en Grande-Bretagne. La précision des instruments de mesure était également garantie et totalement approuvée par le service des normes du gouvernement. L’essence était distribuée à une vitesse de 10 à 20 gallons par minute, directement depuis le réservoir souterrain au véhicule. Un élément de sécurité intégré aux pompes à essence Bowser garantissait que la pompe ainsi que les tuyaux étaient toujours remplis de carburant, réduisant ainsi le risque d’accumulation de vapeurs inflammables dans les espaces vides.

La page suivante contient également des arguments convaincants quant au bien-fondé d’équiper son garage ou son magasin d’automobiles en bordure de trottoir avec des pompes Bowser :

« Un bon service d’essence pour le propriétaire d’un véhicule doit être proposé par tout garagiste en ces temps de concurrence; l’homme qui obtient chaque jour de nouveaux clients ne peut le faire qu’en gagnant leur CONFIANCE. Sans cette confiance, il y a toujours une suspicion injustifiée concernant le vendeur, et cela prive l’acheteur de ce sentiment de satisfaction si nécessaire au métier de garagiste. Le nom Bowser sur les pompes de mesure à piston est gage de confiance et de qualité du service. Ce label de qualité nous permet d’occuper aujourd’hui la première place dans le monde entier. En tant que premiers titulaires de brevets et pionniers de la pompe à piston, nous avons été les premiers à introduire ce système en Grande-Bretagne, en Inde, en Australie, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud, en fait, le soleil ne se couche jamais sur le système Bowser.

Si après avoir lu cette brochure une proposition non traitée se présente à vous, écrivez-nous immédiatement sans engagement ; nous sommes toujours à votre service.

SF Bowser & Co. Inc., 32, rue Victoria, Londres SW1. »

La brochure s’ouvre et présente les différentes pompes disponibles. Tout d’abord, deux pompes adaptées au garage sont d’abord disponibles, « où une pompe de trottoir n’est pas autorisée, ou au grand garage commercial où la rapidité de remplissage combinée à la précision est essentielle. L’essence est pompée directement vers le moteur à partir du réservoir souterrain …… Vous n’avez pas besoin d’un comptable; le compteur vous indiquera exactement ce qui a été aspiré, et lorsqu’elle n’est pas utilisée, la pompe peut être verrouillée en toute sécurité par le simple fait d’appuyer sur un bouton. » Aucune de ces pompes à essence n’a des globes lumineux sur le dessus.

Si le garagiste souhaitait une pompe éclairée de manière distincte, la Red Bowser Curb Pump était l’outil idéal (“ci-contre”): “… La pompe elle-même est une publicité saisissante qui peut être vue très loin et grâce à la fixation d’un globe électrique, elle est tout aussi visible la nuit … Le temps, c’est de l’argent ; c’est pourquoi il a une voiture. Donnez donc 10 à 20 gallons par minute de bonne essence pure et filtrée, qui à été mesurée avec précision, sans renverser sur sa voiture, et vous vous êtes fait un nouvel ami qui reviendra chercher de nouvelles fournitures et le dira également à ses amis. Réfléchissez à cette affirmation et vous trouverez que l’affirmation est correcte ».

Le filtrage précis de l’essence automobile fait également l’objet d’une grande attention :« Après des années d’expérience, nous avons pu appliquer un tel filtre à l’équipement Bowser – un filtre qui empêche les problèmes de carburateur ou autres, et augmente le kilométrage … Ainsi, seul l’esprit pur est livré à la voiture. »

Pompe à essence des années 1920/1930

Pompe à essence des années 1920/1930

De nos jours, les pompes à essence de ce type qui ont survécu sont rarement retrouvées à leur emplacement d’origine. Je connais une pompe de trottoir similaire, datant des années 1920 ou 1930, semblable à celle montrée ci-dessus, qui se trouve à une dizaine de kilomètres d’ici. Celle-ci a été photographié en 2005 et est, heureusement, préservée. En raison de leur forme, on les appelle les pompes à essence Fat Boy, parmi les collectionneurs de ces intéressantes pompes à essence et à pétrole. Les globes en verre qui caractérisaient les pompes à essence jusque dans les années 1970 sont également très recherchés.

Une photo de garage, prise dans les années 1930 et visible dans la section photographies d’époque (sur le site www.oldclassiccar.com.uk), présente une sélection de pompes et de globes visibles, semblables à ceux que Bowser aurait fournis. Un autre fournisseur de pompes bien connu était Avery Hardoll, et en 2012, j’ai eu la chance d’acquérir un exemplaire de leurs brochures des années 1950, que l’on peut maintenant trouver sur la page originale. Avant l’introduction de la pompe de garage et de bord de route, les propriétaires d’automobiles comptaient sur des fournitures de carburant livrées en bidons de 2 gallons, directement par les producteurs de carburant. Ces bidons de carburant de 2 gallons sont également appréciés aujourd’hui ! Un article sur la collecte de souvenirs liés à l’essence et au pétrole est disponible sur la page petroliana (du site original).

Le palmarès de J-C Daunat

1962 - amateur Helyett

11 victoires dont :
  • 1er de l'éliminatoire régionale du Premier Pas Dunlop du Limousin
  • 1er de l'éliminatoire du Premier Pas Dunlop de la Dordogne
  • 1er à Garat
  • 1er à Saint-Cyr la Roche
  • 1er à Gouts-Rossignol
  • 1er à Villetoureix
  • 1er à Ruffec
  • 1er à Limoges

1963 - amateur Helyett

13 victoires dont :
  • 1er à Garat
  • 1er à Ladiville
  • 1er à Fouquebrune
  • 1er à La Roche-Chalais
  • 1er à Saint-Alvère
  • 1er à Saint-Lheurine
Passe 2ème Catégorie le 14 septembre

1964 - amateur

  • Champion d'Aquitaine
Passe 1ère Catégorie le 7 juin

1965

  • Championnat du Poitou des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et H.Parinet
  • 1er à Sireuil
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Meuzac
  • 1er à Palais
  • 1er à Saint-Sulpice des Feuilles
  • 1er à Milhac-de-Nontron
  • 1er à Couze-St Front
  • 2ème à Vigeois
  • 2ème aux Salles-Lavauguyon
  • 2ème à Archiac
  • 2ème du Prix de Sardent
  • 2ème du Prix du Mas-Neuf à Limoges
  • 2ème à Séreilhac
  • 3ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 3ème à Marsac
  • 4ème à Goûts-Rossignol
  • 4ème du Prix Toubard à Tulle
  • 5ème à Saint-Mathieu
  • 5ème à Rochechouart
  • 5ème à Grand-Bourg
  • 6ème à Brive
  • 6ème de Limoges-St Léonard
  • 6ème du Championnat de France des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et J.P.Senamaud
  • 6ème du Prix Charles Clément à Limoges
  • 7ème du Tour du Jura
  • 7ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 2ème étape (b)
  • 8ème du Tour du Languedoc
  • 9ème à Cenon

1966 - amateur senior HC - Peugeot

  • 1er du Tour du Béarn
    _ 5ème de la 2ème étape
  • 1er de la 2ème étape de la Route des Cîmes
  • 1er à Treignac
  • 1er à La Tour-Blanche
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Pestrin-Payan
  • 1er à Gerzat
  • 1er à Chaniers
  • 1er à Egletons
  • 1er à Feniers
  • 1er à Marsac
  • 1er des 3 jours du VC La souterraine
    _ 1er de la 2ème étape
  • 1er à Aigueperse
  • 1er à Hennebont
  • 1er à Querrin
  • 2ème du Championnat du Limousin
  • 2ème à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Lafat
  • 2ème à Châteaugay
  • 2ème à Meuzac
  • 2ème à Ciry-le-Noble
  • 2ème à Auch
  • 2ème du Prix Philips à Brive
  • 3ème à Lavaveix-les-Mines
  • 3ème du Critérium de Flavignac
  • 3ème à Mérinchal
  • 3ème à Bellan
  • 3ème à Merlines
  • 4ème du Championnat de France senior
  • 4ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 4ème à Meymac
  • 5ème à Saint-Amandin
  • 6ème à Grand-Bourg
  • 6ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 1ère étape
  • 7ème de la finale des Trophées Peugeot à Valentigney
  • 7ème à Pleaux
  • 8ème du G.P de la Route des Vins
    _ 1er de la 1ère étape
  • 8ème du Prix Martini à Felletin

Passe professionnel le 9 octobre chez PEUGEOT
  • 2ème à Gourin
  • 5ème à Puteaux
  • 5ème à Rouffignac
  • 31ème du Giro di Lombardia
  • 55ème de Paris-Tours

1967 - Peugeot

  • 1er du Critérium de Saint-Brieuc
  • 4ème du G.P d'Aix
  • 4ème à Saint-Cloud
  • 7ème des Boucles du Bas-Limousin
  • 18ème du G.P du Midi Libre
  • 22ème des Boucles de la Seine
  • 26ème du G.P de la Bicicleta Eibaresa :
    _ 9ème de la 4ème étape
  • 46ème du Giro di Sardegna
  • 47ème de Paris-Luxembourg
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • 62ème

1968 - Peugeot

  • 1er de la Ronde d'Issoire
  • 1er à Plemet
  • 2ème à Meymac
  • 2ème du G.P de Menton
  • 2ème à Hennebont
  • 2ème à Pléherel
  • 2ème à Massiac
  • 3ème au Faouet
  • 3ème à Saint-Amandin
  • 3ème à St Caradec-Trégomel
  • 4ème à Saint-Claud
  • 12ème du Critérium National
  • 12ème du Championnat de Zürich
  • 23ème de Gênes-Nice
  • 24ème du Tour de l'Hérault
  • 34ème du G.P de Fourmies
  • 45ème de Liège-Bastogne-Liège
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • abandon
Championnat de France :
  • 16ème

1969 - Peugeot

  • 2ème à La Couronne
  • 2ème à Pluvigné
  • 2ème à Callac
  • 2ème à Pleyber-Christ
  • 2ème à Saint-Clet
  • 3ème à Curac
  • 3ème à Châteauneuf-la-Forêt
  • 3ème à Valence-sur-Baïse
  • 4ème à Lagorce-Laguirande
  • 6ème du Tour du Morbihan
  • 15ème du G.P de Monaco
  • 15ème des Boucles de la Seine
  • Abandon au Critérium National
Championnat de France :
  • 16ème
Tour d'Espagne (Vuelta a España) :
  • hors délais (12ème étape)

1970 - Peugeot

  • 1er à Querrien
  • 2ème à Huelgoat
  • 2ème à Maël-Carhaix
  • 2ème à La Clayette
  • 2ème à Meymac
  • 4ème des Boucles de la Seine
  • 4ème du G.P de Nantes
  • 9ème du Tour du Var
  • 10ème du G.P de Plouay
  • 12ème de Paris-Camembert
  • 13ème du Critérium National
  • 14ème de Nice-Seillans
  • 18ème du G.P d'Isbergues
  • 34ème du Tour du Nord
Championnat de France :
  • 22ème

1971 - Hoover - De Gribaldy

  • 1er à Plélan-le-Petit
  • 3ème du Circuit de l'aulne à Châteaulin
  • 3ème à Bourbriac
  • 3ème à Plancoët
  • 3ème à Plumeliau
  • 3ème à Pleyber-Christ
  • 5ème des Boucles de la Seine
  • 6ème du G.P de Plouay
  • 6ème à Bessèges
  • 9ème du Championnat de France
  • 16ème du Championnat de Zürich
  • 18ème de Nice-Seillans
  • 18ème de Paris-Bourges
  • 24ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • 24ème du Tour de Corse :
    _ 3ème de la 1ère étape (a)
  • 30ème de Paris-Camembert
  • 33ème de l'Etoile des Espoirs
  • 33ème du Critérium National
  • 35ème du G.P du Midi Libre
  • 54ème des 4 jours de Dunkerque
Tour de France :
  • 46ème

1972 - Gitane

  • 1er à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Excideuil
  • 3ème à Bain-de-Bretagne
  • 3ème à Lamballe
  • 3ème au Quillio
  • 3ème à Plélan-le-Petit
  • 4ème du G.P de Plouay
  • 8ème du Trophée des Grimpeurs
  • 16ème de la Polymultipliée
  • 21ème de Paris-Camembert
  • 23ème de la Route Nivernaise
  • 36ème du Critérium National
  • 38ème du G.P du Midi Libre
  • 51ème du Tour d'Indre-et-Loire
  • 66ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • Tour de France :
    • 72ème
    Paris-Nice :
    • 76ème

1973

17 victoires dont :
  • 1er des Boucles du Trégor à Lannion
  • 1er à Rostrenen
  • 1er à Saint-Caradec
  • 2ème à Plélan-le-Petit
  • 7ème de l'Etoile des Espoirs
  • 1re étape du Tour d'Émeraude
  • Deux Jours cyclistes de Machecoul (Trophée Gitane) :
    _ 1er au classement général
    _ 2ème étape
  • 2ème du Grand Prix de Fougères
  • 3ème du Tour d'Émeraude
  • 3ème du Grand Prix de la Trinité

1974 - amateur senior HC

23 victoires dont :
  • 1er à Broon
  • 1er à Moncontour
  • 1er à Evreux
  • 1er à Gourin
  • 1er à Juillac
  • 1er à Querrien
  • 1er du Circuit de la Saint-Michel à Quimperlé
  • 1er du Trophée du Granit à Louvigné-du-Désert
  • 2ème à Saillat
  • 3ème du Circuit de la Bretagne Sud
  • Grand Prix des Foires d'Orval
  • 3ème du Prix des Vins Nouveaux

1975

37 victoires dont :
  • 1 er du Circuit de la Bretagne Sud :
    _ 1er de la 1ère étape
    _ 1er de la 3ème étape (b)
  • 4ème étape du Tour d'Ille-et-Vilaine
  • 3ème des Deux Jours cyclistes de Machecoul

1976 - amateur senior HC

  • 1er de la Flèche finistérienne
  • 1er à Trégastel
  • 1er à Trélevern
  • 1er du Trophée du Meilleur Grimpeur
  • 6ème du Tour d'Armor
    _ 2ème de la 2ème étape (a)
  • 11ème de Manche-Atlantique

1977 et 1978 - amateur senior HC

Suspendu pour dopage.

1979 - amateur senior HC - Meubles Le Berre-Marcarini

12 victoires dont :
  • 3ème du Circuit de Bretagne Sud

Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Georges Sarre

Georges Sarre, né le  à Chénérailles (Creuse) et mort le  à Paris 18e, est un homme politique français.

Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.

Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • France bleu : Le Creusois Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat de Mitterrand est mort.
  • lemonde.fr : Mort de Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat aux transports.

Pierre Giraudet

Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.

Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.

Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.

Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • lemonde.fr : Pierre Giraudet, figure du service public.
  • whoswho.fr : Biographie Pierre Giraudet, Ingénieur général honoraire des ponts et chaussées.

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Alain Peyrefitte

Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.

Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.

En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de GaulleGeorges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.

Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.

Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.

Source : Wikipédia

Maurice Maunoury

Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.

Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.

Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.

Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.

Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.

Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.