AVIA France : Thevenin & Ducrot et Picoty

AVIA, une organisation unique dans le monde de la station service européenne.

Carte AVIA (France)

Pour aller plus loin :

AVIA France : le premier réseau INDÉPENDANT de l'hexagone.

Sommaire

Carte AVIA (France)

Une Présence Nationale

Exploitent la marque
0 sociétés
pétrolier indépendant national
0 er réseau
Nombre de points de distribution
Plus de 0

Source : www.avia-france.fr. Données au 7 août 2023

Jauge à essence

Carburants

différents en station (essences / gaz...)
Jusqu'à 0 carburants
Stations GNV en France
0

Source : www.avia-international.com et www.avia-france.fr. Données au 2 juillet 2021, mise à jour août 2023

Énergies alternatives

Énergies alternatives proposées par des membres
0
bornes électriques chez AVIA en France
Plus de 0

Source : www.avia-international.com et www.thevenin-ducrot.fr. Données au 2 juillet 2021, mise à jour en août 2023

Face aux géants TotalEnergies ou Carrefour, c’est un Petit Poucet qui revendique ses racines rurales et sa culture familiale… tourné vers l’avenir.

A la tête du troisième réseau de stations-service de l’Hexagone et premier réseau pétrolier indépendant national, l’enseigne Avia, sous laquelle opèrent deux sociétés indépendantes, cultive sa différence.

Avia est engagé dans la transition énergétique. AVIA se veut acteur majeur dans les nouvelles énergies.

Création d'AVIA France

Avia France fut créée le 21 décembre 1950 à Paris sous la houlette de 8 sociétés familiales spécialisées dans l’importation et la distribution de produits pétroliers finis.

Un groupe AVIA

Profiter des avantages d’une collectivité internationale, tout en conservant son indépendance. Une formule unique dans le domaine pétrolier qui prouve son originalité et son efficacité depuis 1927.

La marque Avia fut créée en Suisse en 1927 par des sociétés indépendantes afin de constituer une alternative aux groupes pétroliers internationaux.

Ce regroupement d’entreprises exploitant une marque commune montre vite ses avantages : identité commerciale unique, économies d’échelle, partage d’expertises, amélioration de la représentativité. Avec de tels arguments, le concept fait des émules. A partir des années cinquante, d’autres sociétés indépendantes se sont ainsi regroupées dans de nombreux pays européens.

Logos historiques AVIA
Logos historiques AVIA

AVIA en France

A l’origine de l’implantation française de la marque AVIA, 8 sociétés familiales.

C’est en 1950 qu’AVIA France sera créée par Guy Picoty et des indépendants français. En 1941, André Picoty, fut arrêté sous le régime de Vichy, en octobre son fils Guy assumera la direction de l’entreprise familiale Picoty.

En 1952, c’est au tour de Thevenin & Ducrot de rejoindre le groupement, une entreprise familiale de distribution de produits pétroliers créée en 1929.

L’idée de regrouper des entreprises familiales pour lutter contre le monopole des raffineurs multinationaux tout en restant indépendantes faisant des émules en Suisse, Allemagne, France, Pays-Bas elle donnera naissance à l’entité AVIA International sera créée en 1957. Près de 64 entreprises indépendantes seront concernées par cette association.

Aujourd’hui

Aujourd’hui, en France, Avia France est portée par deux entités : les deux groupes familiaux indépendants et français Picoty SA et Thévenin & Ducrot SAS.

AVIA France aujourd'hui

Avia France (la société) a comme activités la coordination et la promotion générale de la marque AVIA en France.

Le réseau AVIA est devenu l’un des principaux acteurs pétroliers de France dans le domaine des stations-service, la distribution de fiouls et de lubrifiants.

Deuxième enseigne nationale de stations-service, tous réseaux pétroliers confondus, hors et sur autoroutes, la marque Avia est déployée via près de 900 points de distribution.

Les activités

L’enseigne est présente sur 3 réseaux : 71 stations autoroutières ; près de 800 stations routières et urbaines ; des stations marines. Elle complète l’activité par la distribution de Fioul…

Station Avia (© avia-france.fr)
Les stations autoroutières

Le réseau AVIA est très présent sur tous les grands axes autoroutiers et poursuit sa croissance régulière sur le territoire avec des stations-service offrant une très large gamme de prestations pour des pauses agréables avant de reprendre le volant reposé.

AVIA : port Vauban Antibes
Les stations marines

Distributeur de carburants marins AVIA a développé sa présence très appréciée des professionnels et des plaisanciers sur les façades Méditerranéenne et Atlantique.

Arrière-plan station Avia
Les stations routières et urbaines

Elles constituent un réseau de proximité dense au sein des grandes métropoles et sur les routes jusqu’au cœur des campagnes, avec des horaires d’ouverture étendus.

Camion-citerne AVIA (© picoty.fr)
Distribution de fioul

AVIA dispose d’une logistique efficace permettant de livrer en moins de 48 heures, au meilleur prix et à partir de 80 points de vente tout type de fioul aux sociétés, aux collectivités ou aux foyers français même les plus reculés.

Deux groupes

Carte AVIA FRANCE (© avia-france.fr)
Carte AVIA FRANCE (© avia-france.fr)

Aujourd’hui, Avia France est portée par deux entités : les deux groupes familiaux indépendants et français Picoty SA et Thévenin & Ducrot SAS.

A l’ouest d’un méridien Lille – Perpignan, les stations autoroutières sont la propriété de Picoty ;
A l’est de ce méridien, elles sont la propriété de la société Thevenin & Ducrot.

(Image : carte de répartition d’AVIA France)

Avia , un pétrolier pas comme les autres

Publié le 16 nov. 2009 à 1:01Mis à jour le 6 août 2019 à 0:00

C’est une frontière qui coupe la France en deux. Un peu biscornue, elle part de Lille, traverse Paris, serpente à travers la Nièvre, le Massif central et la Lozère pour relier Perpignan, dans les Pyrénées-Orientales. A l’ouest de cette ligne se trouvent les stations-service de la famille Picoty. A l’Est, celles de la famille Thevenin et Ducrot. Dans le pétrole depuis les années 1920, chaque famille gère son entreprise de distribution de carburants de façon strictement indépendante. Il n’y a pas d’achats ni de logistique en commun mais le nom des stations est le même des deux côtés de la frontière : Avia. Sous cette enseigne, les deux groupes possèdent le troisième réseau de stations-service de l’Hexagone, derrière Total et Carrefour.

Les deux entreprises cultivent la discrétion. Mais leurs revenus sont à l’aune de leur réussite. Picoty a réalisé un chiffre d’affaires de 1,6 milliard d’euros en 2008, tandis que Thevenin & Ducrot affichait des revenus de 2,4 milliards d’euros sur la même période.

Sous la houlette de ces deux familles, le réseau Avia est en train de monter en puissance en France. Entre les mois de novembre et juin, 163 stations Shell vont peu à peu passer aux couleurs de la marque et s’ajouter aux 664 sites déjà existants.

Picoty et Thevenin & Ducrot ont racheté ces stations pour environ 30 millions d’euros au mois de juin 2009. « C’est la plus grosse acquisition de réseau jamais réalisée par les deux entreprises », explique Michel Picoty, le PDG du groupe éponyme. Avec le rachat des stations Shell, Avia se dote d’une belle couverture du territoire et complète un maillage déficient dans le Nord, les ­Ardennes, la Bretagne et l’Ile-de-France.

« Comme des frères »

Mais le processus n’a pas été simple. Les négociations ont débuté en octobre 2008, pour s’arrêter immédiatement. Contactées par la Société Générale, les deux familles ne donnent pas suite. Pas question de passer par un banquier. Elles entendent parler directement avec Shell. Les discussions débutent réellement en mars, lorsque le pétrolier anglo-néerlandais envoie un poids lourd du siège. Shell est pressé. Mais il y a fort à faire. Il faut négocier, non seulement le prix de chaque station, mais aussi la prise en charge des coûts de dépollution si le diagnostic environnemental du site pose problème. « Dans ces cas-là, la facture peut parfois dépasser le million d’euros », explique Michel Picoty. Le devenir de la carte de paiement de Shell est également étudié car, avec cette transaction, Shell n’aura quasiment plus que des stations autoroutières en France. Pour le pétrolier, il est donc indispensable que sa carte de paiement soit reconnue et acceptée par le réseau Avia.

Picoty et Thevenin & Ducrot ne s’intéressent pas à tout. Les deux groupes ne rachètent pas les stations corses de Shell, par exemple, qui sont reprises par Rubis. « La Corse, j’y ai une maison et cela me suffit », sourit Michel Picoty. « C’est un marché que l’on maîtrise mal », souligne prudemment Jean-Michel Ducrot, PDG de Thevenin & Ducrot.

Négocier une transaction à deux n’est jamais facile mais Michel Picoty et Jean-­Michel Ducrot se connaissent depuis plus de trente ans. Les deux hommes ne se considèrent pas seulement comme des « amis »mais comme « des frères ». « Quand ils négocient, c’est une mécanique bien huilée, une sorte de pièce de théâtre », confie un professionnel.

Cette complicité n’empêche pas les différences. La sensibilité politique des deux patrons n’est pas la même. L’un se positionne à gauche, l’autre à droite. Leurs choix managériaux sont différents. Le groupe Picoty utilise des filiales pour revendre son fioul tandis que Thevenin & Ducrot le fait en direct. Le premier s’approvisionne en pétrole sur la façade atlantique, le second sur la Méditerranée. Mais les cultures sont identiques. Les deux entreprises sont à la fois familiales et très attachées à leurs racines. Picoty est installé à La Souterraine, dans la Creuse. Thevenin & Ducrot a son siège opérationnel à Chevigny-Saint- Sauveur, près de Dijon. « Nous revendiquons notre côté rural, c’est l’origine de l’entreprise », explique Jean-Michel Ducrot. Les deux sociétés sont nées dans l’entre-deux-guerres et ont surfé chacune sur l’essor des produits pétroliers. Surtout, les deux patrons sont l’un et l’autre viscéralement attachés à l’indépendance de leur entreprise. « On y tient comme à la prunelle de nos yeux », martèle Michel Picoty. Mais ­comment s’en sortir sur un marché ultraconcurrentiel et en déclin, face à des géants comme Carrefour, Leclerc et Total ? Le leader tricolore dispose de près de 4.700 stations sur le marché français sous les marques Total, Elf et Elan. Carrefour assure à lui seul l’approvisionnement de plus de 1.200 sites.

« Leur résistance nous a surpris »

Pour survivre, les deux entreprises savent tout d’abord se contenter de marges réduites. En 2008, Thevenin & Ducrot a dégagé un résultat net de 5,6 millions d’euros, pour des revenus de 2,4 milliards. Les deux groupes sont ensuite plutôt suiveurs dans leurs politiques de prix, mais ils misent sur la proximité avec le client, la fidélité et les valeurs humaines pour se différencier. « Certains clients – des distributeurs de fioul ou des gérants de stations, NDLR – n’hésitent pas à nous téléphoner lorsqu’ils traversent une période difficile. Ils nous demandent un coup de main, un conseil », raconte Michel Picoty. Les deux sociétés veulent être une solution de rechange face aux raffineurs et à la grande distribution. Leur poids continue d’ailleurs d’étonner la profession. « Leur résistance nous a agréablement surpris », reconnaît un cadre de Total.

Avec le rachat des stations Shell, leur marque, Avia, va franchir une nouvelle étape. L’enseigne va s’implanter pour la première fois à Paris, en déboulant sur des sites prestigieux comme l’avenue Foch ou le boulevard Haussmann. Tout un symbole pour une marque dont l’image reste floue ou se voit associée aux stations de bord de route un peu vieillottes. « Il peut y avoir une difficulté pour cerner la marque Avia. Certains clients croient que l’on est suisse, français ou bien encore italien… », reconnaît Jean Reinhardt, directeur général d’Avia France, l’entité en charge de la marque dans l’Hexagone.

En fait, Avia, c’est tout cela à la fois. L’enseigne regroupe aujourd’hui plus de 80 sociétés sur le Vieux Continent, toutes propriétaires de la marque sous laquelle elles opèrent. Mais elle est née en Suisse en 1927. A l’époque, plusieurs pétroliers indépendants se regroupent afin de constituer une alternative aux grands groupes internationaux. Ils veulent un nom simple et lisible dans toutes les langues. Le mot, qui fait référence à l’aéronautique, fait alors moderne. Dans les années 1950, le logo Avia va même jusqu’à arborer une hélice puis une fusée.

L’enseigne arrive en France en décembre 1950 et va compter jusqu’à une douzaine de sociétés membres. Avec la montée en puissance des réseaux de Total et d’Elf dans les années 1970 et 1980, la couverture de l’enseigne se réduit néanmoins comme peau de chagrin. Des problèmes de succession poussent certaines sociétés familiales à vendre. D’autres craignent d’être confrontées à de sérieux problèmes d’approvisionnement, à l’issue d’un nouveau choc pétrolier. En 1991, Avia ne compte plus que deux membres en France : les sociétés Picoty et Thevenin & Ducrot. Le mariage d’Elf et Total va leur donner l’occasion d’acquérir une nouvelle dimension.

Des ambitions affichées

En 2001, l’Union européenne force le nouveau groupe issu de la fusion à revendre une partie de ses stations autoroutières. Opportunistes, Picoty et Thevenin & Ducrot rachètent 21 sites. Leur candidature plaît à une Commission européenne soucieuse de renforcer la concurrence sur les routes françaises. Vient ensuite le rachat, en 2003, d’une partie du réseau de BP, puis deux acquisitions successives de stations Shell en 2004 et 2006. La troisième opération, le rachat des 163 stations Shell, vient d’être validée ce mois-ci par la DGCCRF.

Mais les deux groupes familiaux n’entendent pas en rester là. « Nous voulons continuer de nous renforcer sur les autoroutes. Or, entre 2010 et 2013, la moitié des sites autoroutiers en sous-concession vont être remis en jeu », souligne Jean-Michel Ducrot. Soucieux de l’avenir, les deux patrons préparent également la relève. La prochaine génération de dirigeants de Picoty et de Thevenin & Ducrot travaillent déjà dans l’entreprise. Il faut dire qu’Avia dispose d’un outil formidable pour cela : les meetings Avia Juniors. Tous les trois ou quatre ans, ces voyages d’agrément rassemblent pendant plusieurs jours les enfants des dirigeants des sociétés membres d’Avia afin de leur faire visiter des sites pétroliers en Europe. Cela permet de faire découvrir le métier à ces adolescents, voire de forger des liens d’amitié entre les futurs dirigeants des sociétés membres. « Chez les jeunes, le métier de pétrolier n’a pas forcément bonne réputation. Ces rencontres permettent de contrebalancer ces idées », explique Mathias Schild, le neveu de Michel Picoty. La prochaine est prévue pour 2010. Avec cette approche, Avia tente de surmonter les problèmes de succession, si souvent fatals aux entreprises familiales. Le système a l’air de fonctionner. En 1979, Michel Picoty était de la partie. Il avait visité le site pétrochimique de Grandpuits (Seine-et-Marne) lors d’un des tout premiers Avia Juniors. Aujourd’hui, il est à la tête de l’entreprise familiale.

EMMANUEL GRASLAND

AVIA France : 2 entreprises
Aujourd'hui la marque AVIA et portée par deux groupes familiaux.
AVIA 1998 (www.avia.ch)

L'évolution du Logo AVIA

Des années 30 aux années 2000, le logo d'AVIA à évolué plusieurs fois. En voici une petite présentation.
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AVIA :
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Thevenin & Ducrot, entreprise française, familiale et indépendante au service de vos besoins en énergies, dans toute la partie Est de la France, depuis plus de 90 ans.

1929, Eugène Thevenin et Roger Ducrot…

C’est le 6 novembre 1929 qu’Eugène Thevenin et son gendre Roger Ducrot créent la société Thevenin & Ducrot, à Pontarlier. Ils furent persuadés du développent rapide du parc automobile alors naissant, et donc de celui de la consommation de produits pétroliers. Un pari risqué en cette année de krach boursier (« Jeudi noir », 24 octobre 1929qui allait plonger le monde en plein chaos.

C’est pourtant ce pari fou, incroyable à l’époque, et pourtant parfaitement sensé lorsqu’on le met en perspective avec notre époque, que prennent le commerçant pontissalien Eugène Thevenin (né en 1880 à Champagnole) et son gendre, Roger Ducrot (né en 1903 à Levier) qui a travaillé ces deux dernières années comme ingénieur chez Peugeot, à Sochaux. Les deux hommes, qui représentent les deux premières générations de l’entreprise familiale (même si c’est la première et dernière fois qu’un Thevenin dirigera le groupe), vont poser les fondations de cette réussite hors-norme.

 Ils furent délégataire du Monopole de l’État, avec des carburants en provenance la Compagnie Industrielle des Pétroles (CIP) (dont la Raffinerie de Frontignan fut un lieu de production). La société distribue alors les produits sous la marque Danyline, clin d’œil à Daniel, le fils de Roger, né cette même année 1931.

1934, L’organisation de la distribution

Pour l’entreprise, une nécessité apparait : organiser le transport et la vente. C’est ainsi que Thevenin & Ducrot va partir à la conquête d’un marché naissant et participer à la création des premières stations-service.

Très rapidement, Thevenin-Ducrot s’émancipe et crée deux nouveaux dépôts : à Saint-Jean-de-Losne et à Lyon-Vaise. Le développement de l’unité bourguignonne est tel que Roger Ducrot s’en ira résider sur place.

Brûler ses réserves pour mieux résister

Bien sûr, la Seconde Guerre mondiale va brutalement freiner l’activité et le développement du groupe. « Roger Ducrot a été résistant et il n’a pas hésité à mettre le feu au dépôt de Saint-Jean-de-Losne afin que les Allemands ne mettent pas la main sur notre carburant », rappelle Emmanuel Ducrot, l’actuel directeur général du site historique de Pontarlier.

Pendant la guerre, l’activité de T&D continuera… avec la fabrication de charbon de bois.

Adieu Danyline, bonjour AVIA

L’après-guerre verra cependant le groupe reprendre son essor.

Nouvelle étape dans la stratégie développement de l’entité pontissalienne, Thevenin-Ducrot intègre la marque Avia, en 1952.

« La marque, c’est une image, une puissance », souligne Emmanuel Ducrot qui sait qu’aujourd’hui, la société est plus visible sous ces quatre lettres qu’avec les deux noms familiaux. En tout cas auprès du grand public, puisque pour la distribution de fioul domestique, Thevenin-Ducrot demeure plus connu.

La société Thevenin & Ducrot est enregistrée au RCS depuis le 1er Juin 1954 à Chevigny Saint Sauveur dans le département de la Côte d’Or mais elle est bien plus vieille que ça.

Une croissance régulière et l’acquisition de nombreuses stations

Des années 60 à nos jours, AVIA, et tout particulièrement T&D, va devenir un acteur majeur.

Roger Ducrot devient Président de Thevenin & Ducrot, en 1963.

Pour la marque aux lettres rouges la logistique reste une arme d’indépendance.

Les capacités de stockages, comme au dépôt de Lyon (photo de gauche, 1965) et de distribution ne vont continuer d’évoluer jusqu’à nos jours.

L’acquisition d’une participation dans le dépôt de Puget sur Argens (83), en 2015, permettra d’améliorer à nouveau le maillage (Photo ci-contre).

En 1969, Daniel Ducrot prendra la succession de son père.

Stocker et distribuer ne sert à rien sans produit.

Ainsi en 1970, l’atelier de fabrication d’origine deviendra usine ; l’activité lubrifiants se professionnalisera.

Les carburants et les lubrifiants Avia sont formulés pour répondre aux normes environnementales. Le Gazole Plus sera lancé en 2008.

Avec l’acquisition de la station d’Havricourt (Pas-de-Calais), en 1972, le groupe se lancera à la conquête des autoroutes.

C’est ainsi qu’en 2005, après avoir remporté plusieurs appels d’offres pour des sous-concessions autoroutières, AVIA T&D marquera 29 axes de sa présence.

Thevenin & Ducrot accroît son rayonnement commercial dès 1979. Ainsi, l’année suivante, le réseau dépassera les 200 stations-service.

Face à l’important développement du groupe, une réorganisation avec création d’une holding et de filiales opérationnelles (de 1989 à 1994).

Les années 2000 marqueront un nouvelle élan, puisque la filiale Thevenin & Ducrot Distribution, créé en 2001 suite à l’acquisition de stations autoroutières Total, va reprendre une partie des réseaux Shell et BP (en 2003-2004). Mais ce sera à la veille des 90 ans de la société, que la plus importante opération de croissance externe sera lancée, avec la reprise d’une centaine de site du groupe Shell (2009).

Bernard DUCROT, fils de Daniel, deviendra Président du Directoire en 2012. La quatrième génération est à la gouvernance de la société.

En 1992, le groupe participera, pour la première foi, à une opération de conservation du patrimoine.

Danycarte, première carte de paiement

Plus de 75 ans après la naissance de la première carte de paiement par Wester Union [Naissance de la carte de paiement privative dans les années 1960], Thevenin & Ducrot lancera sa carte de paiement « Danycarte », en 1989. Un nom faisant référence à « Danyline », le premier carburant proposé par le groupe.

Aujourd’hui, la carte et remplacé par l’« AVIAcarte », utilisable dans tout le réseau de l’enseigne.

Pour allez plus loin AVIA lancera en 2003 une carte de fidélité : la carte « Fidel AVIA ».

L’AVIAcarte PREPAYEE, « La nouvelle carte pré-payée Avia est conçue pour vous faciliter la vie dans l’ensemble de nos stations-service », sera lancée par le groupe.

L’AVIAcarte prépayée :

  • Carte sur support magnétique
  • Validité de 12 mois- Montant maximum de 250 € (utilisable en une ou plusieurs fois)
  • Non rechargeable
  • Pas de code confidentiel
  • Ne peut pas être utilisée dans les automates 24/24

Thevenin & Ducrot c’est aussi…

La filiale Thevenin & Ducrot Distribution et en charge de la distribution du fioul, plus largement de combustibles et autres produits au particulier (livraison à domicile) et aux entreprises.

En 2002, elle achètera à Shell Direct une partie de son fonds de commerce de fioul au détail.

En 2012, le groupe reprend l’activité d’avitaillement de BP sur la côte méditerranéenne.

En 2023, que ce soit avec le GNV (3 stations à Montélimar, Simandres ou Niederhergheim), l’électricité avec 103 bornes de recharge sur autoroute ou encore l’hydrogène à Orly, Thevenin & Ducrot met à profit son expérience pour vous offrir l’accès à ces nouvelles énergies au travers de stations techniquement maitrisées et fiables.

Grâce à son partenariat avec Shell, Thevenin & Ducrot s’engage en proposant dès à présent une alternative au diesel : le carburant Shell GTL. (Reportage YouTube)

Toujours à taille humaine

Dans cette croissance et ce développement maîtrisés de tous les instants, un leitmotiv revient sans arrêt. « Thevenin-Ducrot, c’est une famille, un concept, une éthique », rappelle Emmanuel. Bernard Ducrot, Pontissalien d’origine, est aujourd’hui le président du comité de direction.

Avec ses cousins Nicolas et Emmanuel, ils viennent de voir la cinquième génération, personnalisée par Adrien, intégrer ledit comité. « On est propriétaires dirigeants et c’est le meilleur moyen pour durer. On est plus forts en famille, avec une stratégie de pérennisation de l’entreprise. Tous les bénéfices sont réinvestis dans l’entreprise », ajoute Emmanuel Ducrot qui explique que la croissance du groupe pontissalien a notamment été rendue possible parce que les géants du secteur (Total, Shell, BP…) « nous ont laissé la place pour grandir en se séparant d’activités qui n’étaient plus rentables pour eux ».

Comme quoi, même à l’ombre des géants, il y a toujours de la place pour grandir.

Thevenin & Ducrot en quelques chiffres

En 2022, la Société Avia Thevenin Ducrot a distribué dans l’ensemble de ses stations-service Avia et de ses agences régionales un volume de carburants et de combustibles de plus de 2 millions 347 milles m³.

Effectif : 420 personnes

Les réseaux : 409 stations-service AVIA
Stations-service AVIA officielles autoroutières : 46 sites
Stations-service AVIA officielles routières : 102 sites

Stations-service AVIA partenaires : 257
Agences commerciales de vente aux détails : 50

Flotte de véhicules : 386
Camions de distribution : 193
Camionnettes : 102
Semi-remorques : 59
Tracteurs : 32

Établissements :
6 Directions Régionales sont réparties dans l’Est de la France et permettent d’être au plus près de nos clients et de répondre à leurs demandes de façon très réactive.

Production :
La société Thevenin Ducrot possède sa propre Usine de production de lubrifiants à Lyon . Une gamme complète de lubrifiants à marque Avia y est élaborée dans le respect des normes les plus élevées.

La société est composée de 20 sociétés filiales dont les trois plus importantes sont TD DISTRIBUTION, TD LUBRIFIANTS et TD AUTOROUTES. Elle possède également des participations dans des dépôts pétroliers, des sociétés de pipelines et des filiales de distribution.

> Indexe d’égalité homme-femme : ici <

Created with Highcharts 9.1.2L'arbre généalogique de la famille Ducrot
Eugène Thevenin

Membre fondateur
1ere génération

Roger Ducrot

Membre fondateur
2e génération

Daniel Ducrot
Jean-Michel Ducrot
Bernard Ducrot

Président du groupe

Marie-Christine Ducrot

Pharmacienne

Nicolas Ducrot

13 ans à Pontarlier

Emmanuel Ducrot

Directeur général du site de Pontarlier

Vincent Ducrot

Entrepreneur

Adrien Ducrot

L’histoire de Picoty, c’est celle d’une entreprise familiale de la Creuse dédiée aux énergies. En l’espace de 100 ans, les quatre générations qui se sont succédé ont bâti une société innovante et responsable, solidement ancrée dans les territoires. Voici en quelques dates clés l’histoire du groupe Picoty d’aujourd’hui à sa fondation.

1922, André Picoty

Picoty : Notre histoire 1922 (© picoty.fr)

Picoty, entreprise familiale française, sera fondée en 1922 à La Souterraine, en Creuse, par André Picoty.

A l’époque il rachète pour 64 461francs (7 825 723,78 € en 2022) l’affaire de matériaux de construction de son père, dont une partie concerne la vente de bois de chauffage.

 André Picoty (ici à gauche) orientera très vite l’entreprise vers les produits pétroliers dont il pressent l’essor et l’importance, notamment pour accompagner les agriculteurs creusois et leur rendre la mécanisation accessible en leur fournissant le carburant nécessaire pour répondre à leur besoin.

En août 1932, l’entreprise obtient l’autorisation d’exercer le commerce d’importation de produits pétroliers et a l’obligation de constituer un stock de réserveà La Souterraine (entre1932 et 1936). L’entreprise possèdera les bacs 20 et 21, d’une capacité de 900 m³ chacune.

André Picoty créera également la marque Guyvoline, en 1933, il l’utilisera afin de commercialiser son fioul et ses carburants.

Le saviez-vous ?

La marque Guyvoline est née en 1933 et n’est plus utilisée aujourd’hui.

Elle est composée de deux mots : Guy en l’honneur du fils d’André Picoty et de « Ine » qui suggérait quelque chose de très moderne à l’époque.

En avril 1939, André Picoty changera le nom de sa société au registre du commerce de Guéret, qui passe de « matériaux de construction » à « produits pétrolifères et dérivés ».

Avec Guy, Picoty rejoint AVIA

André Picoty est arrêté sous le régime de Vichy et interné à Fort Barraux en Isère du 18 août au 6 novembre 1941. En octobre 1941, il donne tous les pouvoirs à son fils Guy pour assumer la direction de l’entreprise à sa place. C’est le 28 novembre 1953, au décès d’André, que Guy (30 ans), ses deux sœurs ainsi que sa mère reprendrons l’entreprise. Il créeront l’indivision Picoty.

Guy Picoty créera et adoptera en 1950, la marque AVIA. Il rejoindra ainsi un regroupement européen d’indépendants du pétrole.

Pour soutenir l’essor de son activité historique de distribution et de négoce, et développer ses capacités de stockage, Guy Picoty fait l’acquisition du dépôt pétrolier de La Rochelle en 1969 et en augmente ses capacités, à la fois à la demande du gouvernement pour faire face à la prévision du choc pétrolier et pour accroître la taille de son entreprise.

Picoty une entreprise familiale française

Conscient de l’importance de l’informatique, le groupe crée Gamac en 1965 avec Raymond Sagnol et internalise le traitement de ses données.

Les années 1970, chocs pétroliers et consolidation de l’approvisionnement

Picoty : Notre histoire 1969 / Station autoroutière AVIA à Havrincourt (© picoty.fr)

Dans les années 1970, l’entreprise Picoty continue de grandir et de se structurer pour mieux soutenir l’essor de son activité de distribution et de stockage de produits dans un contexte de crise pétrolière. L’entreprise prend notamment des parts dans des sociétés de pétrole à l’étranger. Cette stratégie s’accompagne également du déploiement de son réseau de stations-service, avec une première station autoroutière AVIA France à Havrincourt.

Cette décennie marque aussi l’engagement politique et social fort de Guy Picoty, qui sera maire de la Souterraine et conseiller général de 1970 à 1977.

PICOTY devient, en 1973, PICOTY SA, une société anonyme contrôlée à 100% par la famille PICOTY, pour mieux appuyer, soutenir et supporter l’essor de l’activité principale et permettre l’organisation de la diversification de ses activités.

En 1974, elle obtient le statut d’importateur de produits pétroliers pour le dépôt de La Rochelle nouvellement inauguré, qui passe de 10 000 à 105 000 m³. Le dépôt de La Souterraine passe, lui, de 6 000 à 25 000 m³.

Avec Guy, Picoty rejoint AVIA

Jean RIDOIRE deviendra Président de la société PICOTY SA, en 1984.

L’entreprise développera, en 1987, ses activités à l’international, en prenant notamment des participations dans des sociétés de pétrole.

En 1991, Picoty démarre des activités de distribution de détail d’énergies. Pour cela, il rachète des fonds de commerce et de distribution de fioul et met en place un réseau de filiales bien maillé sur tout le Grand Ouest de la France.

Entre 2000 et 2005, le groupe Picoty s’attaque au développement de son réseau de stations-service avec une première acquisition de stations autoroutières en 2001, puis de 85 stations en 2004, suivie d’une 3e opération d’acquisition de 66 stations-service hors autoroute ⛽ auprès de la société des Pétroles Shell. AVIA est désormais bien représentée sur l’ensemble du territoire français : autoroutes, villes et campagnes. Pour renforcer ce maillage territorial, Picoty rachète Sonotra en 2003, une flotte de transport de produits pétroliers et de marchandises.

De 2001 à 2006, Picoty accroît également ses capacités de stockage et de production :

  • Achat de 20 000 m³ au dépôt de Lorient ;
  • Achat à La Rochelle de plus de 15 000 m² et du dépôt des Raffineries du Midi pour une capacité totale de 240 000 m³ ;
  • Agrandissement de presque 2 500 m² de bureaux supplémentaires à Gamac.
Camion-citerne AVIA (© picoty.fr)

Parallèlement à ces investissements, le groupe s’engage en 2004 dans une démarche qualité attestant de la conformité de ses process. Pendant cette période, le groupe Picoty passe avec succès les certifications ISO 9001 (système de management de la qualité) et ISO 14001 (système de management environnemental) pour ses activités d’importation, d’achat, de stockage et de distribution de carburants, combustibles et lubrifiants sur le dépôt de La Rochelle. Sur les volets développement durable et responsabilité sociétale des entreprises, Picoty est évalué selon le référentiel ISO 26000 à partir de 2015 et labellisé LUCIE 26000 en décembre 2019 (pour une durée de 3 ans).

Transition énergétique et diversification avec Michel

En 2006, Picoty s’engage dans la transition énergétique avec la création de l’Ecoprime et du coup de pouce Picoty. Ce dispositif créé par l’État un an plus tôt permet à l’entreprise de financer plusieurs centaines de millions de travaux d’amélioration de l’habitat et de rénovation énergétique engagés par les particuliers et les professionnels (Ecoprime transport).

Dans le même temps, le groupe s’appuie sur la force de son réseau de distribution AVIA et de ses filiales pour mettre à disposition des clients des solutions alternatives comme le gaz naturel, l’hydrogène et l’électricité, et valoriser les synergies avec la création de filiales de diversification. Se voulant exemplaire sur les questions de développement durable et de RSE, Picoty propose également à ses clients des solutions alternatives basses émissions (biocarburants, combustibles et équipements de chauffage haute performance énergétique).

L’année 2007 signe l’arrêt d’exploitation du dépôt de la Souterraine et le transfert du stock de réserve sur le site de Guéret.

PICOTY SA deviendra ainsi, en 2014, fournisseur de gaz naturel par agrément ministériel et fournisseur de Gaz Naturel Liquéfié (GNL PORTÉ) par agrément ministériel, l’année suivante.

2019, distributeur d’énergies d’aujourd’hui et de demain

En 2019, Picoty SA devient Picoty SAS. C’est le début de la construction des nouveaux bureaux à La Rochelle. Le groupe affirme son positionnement dans les énergies renouvelables et obtient en septembre 2019 l’agrément de fournisseur d’électricité. En partenariat avec le consortium industriel Ionity (regroupant les constructeurs BMW, Porsche, Volkswagen, Mercedes…), Tesla et Izivia (groupe EDF), il développe un réseau de bornes de recharge électrique sur ses stations-service, intégrant des superchargeurs et des bornes rapides.

Parallèlement, Picoty étend ses activités à l’achat, au stockage, à la commercialisation et à la distribution de gaz naturel réseau, dans la continuité de l’agrément de 2014 concernant la commercialisation de gaz naturel réseau auprès de professionnels et de collectivités locales. L’agrément de fournisseur de gaz naturel liquéfié porté obtenu en janvier 2015 lui permet de construire un réseau de mobilité à base de gaz naturel véhicule (GNV) sous la marque AVIA, en collaboration avec Thevenin & Ducrot à l’échelle nationale et en partenariat avec Primagaz.

L’année 2019 voit aussi l’inauguration de Sostradata, data center à La Croisière.

De 2010 à 2020, les années de croissance

S’appuyant sur son expertise énergétique, Picoty s’investit dans la transition énergétique et la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Dans cette optique, il crée le 2 octobre 2020 Picoty Innovation, filiale de R&D qui a pour objet le développement de la mobilité électrique et hydrogène, un projet soutenu par des partenaires de premier plan.

Pendant cette décennie, Picoty consolide également son activité de distribution de carburants et de lubrifiants sur les grands axes de l’ouest de la France.

Convaincu que le monde de l’entreprise a sa partition à jouer dans la transformation des usages, le groupe crée le Fonds de dotation Picoty. Celui-ci a pour mission de soutenir des projets associatifs responsables, innovants et à fort impact social et environnemental.

En tant qu’entreprise responsable, Picoty démontre ses engagements à travers l’obtention des certifications ISO 9 001 et ISO 14 001 en 2004, puis de la certification ISO 50 001 en 2017 et enfin du label LUCIE 26 000 en 2019.

En 2022, le groupe Picoty a 100 ans (© picoty.fr)
En 2022, le groupe Picoty a 100 ans (© picoty.fr)

Nouveaux concepts de stations

Pour le groupe Picoty, le concept de station-service a changé. Les gens viennent chercher du carburant, mais le lieu multiplie les pleins : plein d’aliments, de saveurs, de produits frais, locaux, naturels… Le plein de rencontres, de convivialité, d’échanges et de discussions… 

Convivialité et produits de qualités sont les moteurs des nouvelles stations-service. 

C’est le concept Honiby que nous verrons cette semaine, explique Jean-Claude Boulesteix sur dans l’article du site francebleu.fr du mardi 9 avril 2019.

Pour Picoty, le concept de station service a changé. - ®Picoty

La station c’est aussi le concept « Nano Station », à découvrir ici. Il s’agit d’une station-service standardisée au design unique, made in France. Compacte, autonome et communicante, qui permet un gain de place et de temps d’installation ainsi qu’une simplification des démarches administratives.

Véhicule publicitaire réalisé par Le Bastard pour AVIA
Véhicule publicitaire sur un châssis Renault 1400 kg (1957)

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Georges Sarre

Georges Sarre, né le  à Chénérailles (Creuse) et mort le  à Paris 18e, est un homme politique français.

Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.

Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • France bleu : Le Creusois Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat de Mitterrand est mort.
  • lemonde.fr : Mort de Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat aux transports.

Pierre Giraudet

Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.

Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.

Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.

Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • lemonde.fr : Pierre Giraudet, figure du service public.
  • whoswho.fr : Biographie Pierre Giraudet, Ingénieur général honoraire des ponts et chaussées.

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Alain Peyrefitte

Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.

Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.

En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de GaulleGeorges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.

Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.

Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.

Source : Wikipédia

Maurice Maunoury

Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.

Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.

Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.

Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.

Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.

Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.