SATAM : « Société Anonyme pour Tous Appareillages Mécaniques »

Histoire d’une société créée en 1921 et qui proposa bien plus que des pompes.

Découvrons ICI l'histoire d'une des plus ancienne marque Française de pompes et autres équipements electriques et électroniques

Sommaire

1921, création de la S.A.T.A.M.

La « Société Anonyme pour Tous Appareillages Mécaniques » fut créée le 23 juin 1921 (Registre du commerce de la Seine n°194435), son activité était largement diversifiée. La SATAM fera partie d’un groupe fondée en 1908 par deux ingénieurs polytechniciens français, Alexandre Giros et Louis Loucheur, la SGE (Société générale d’entreprise, future VINCI).

Elle allait de la fabrication de distributeurs d’essence, d’huile et de lait, de pompes, de compresseurs rotatifs, de matériels et installations frigorifiques, d’accessoires et pièces détachées d’automobiles et d’aviation, à la construction de voitures électriques sous sa propre marque.

Sont usine et le siège furent implantés à La Courneuve (63 av du Général Leclerc), en région parisienne. En 1926, son siège social se trouvait (7 rue Ernest Cognacq) à Levallois-Perret et sont capital était de 2,4 millions de francs1. Gaston DUBREUIL en fut le premier dirigeant, Louis RIBSTEIN administrateur à partir de 19282.

Mais qu’elles furent ses activités ?

Part bénéficiaire au porteur

Part bénéficiaire au porteur

Cours au 31 décembre, ou dernier cours connu (en francs) :
  • 1931 : 900.00
Résultats (Mf) :
  • 1961 : (rn) 0.39
Conseil d’Administration :
  • 1970 : Jean-Loup Giros, président; Pierre Beytout, vice-président; Jean Borotra; Robert Dillon-Corneck; Maurice Duflos; Robert Giros; Jean-René Monod; André Poncet; Claude Sarrade-Loucheur; Francis Sarrade.
Découvrons les activités du groupe

Si les pompes à essences vont largement marquer l’activité de la « Société Anonyme pour Tous Appareillages Mécaniques », essayons d’en découvrir l’histoire :

Wayne: Texaco, modèle 628

SATAM leader européen en 1930

La plus importante activité

La station service Les pompes à essence et bien plus

Un leadeur dans le monde de la station 

Des pompes à essence

Parmi les premières grandes marques françaises et européennes, la société au logo en forme de diable, va très largement marquer l’histoire des pompes, de sa création à nos jours.

La première activité connu de la marque fut la fabrication de pompes à essence.

Grâce à son directeur directeur commercial – le champion de tennis Jean Borotra surnommé le « Basque bondissant » – la SATAM vendait des distributeurs de carburants liquides dans tous les pays où se pratiquait le tennis.

Jean BOROTRA

[…] Pantouflard, il a été embauché (en 1924) par la SATAM (pompes à essence) en qualité d’ingénieur commercial, payé à la commission (peut être pas en totalité, mais pour une part importante de sa rémunération). En contrepartie, il était libre d’organiser son programme. Comme il travaillait à l’exportation, il combinait une tournée en Grande-Bretagne avec Wimbledon, ou en Allemagne après Berlin ou Hambourg. Il profitait de sa popularité sportive pour entrer chez les clients et décrocher des contrats.

En outre, les années 20 ont vu un développement considérable de l’automobile, et par conséquent du marché des pompes à essence. Il a bientôt gagné plus que son Président.

Lors du rachat de la SATAM par le groupe de la Générale d’Entreprise (énergie et travaux publics), le plafonnement des appointements de Borotra fit l’objet d’une négociation longue, amicale et délicate entre le nouveau président et l’intéressé. Tous les deux étaient de promotions très voisines (Huvelin X21) . Avant la lettre, Jean Borotra était un « people », un membre de la « jet-set » d’autant qu’il avait beaucoup de charme, et un contact très chaleureux. […]

La société absorbera les marques Hardoll (Suisse) en 1924 et Carbox (France), en 1930 . Cette dernière donnera naissance à un modèle éponyme (voir photos ci-contre).

Rachetée par la Compagnie Générale des Eaux en 1984, la société fut cédée à Tokheim en septembre 1996, lors de l’acquisition de Sofitam pour 107,4 millions de dollars. Cette dernière comprend le prestataire de services de Sofitam, Sogen SA, ainsi que les deux marques distinctes – EIN et Satam.

SATAM devient la division Comptage Industriel du groupe Tokheim, fabriquant des compteurs volumétriques pour le comptage transactionnel des hydrocarbures.

 

Avery-Hardoll

Pour la petite histoire une société, la société anglo-française Avery-Hardoll, vie le jour en 1932 (averyhardoll.com). En décembre 2015, Liquid Controls acquis la gamme de produits Avery-Hardoll et devient le fabricant des produits de mesure Avery-Hardoll.

Silea Liquid Transfer annoncera, le 11 janvier 2021, qu’un accord était signé pour acquérir la marque Avery Hardoll de Liquid Controls LLC (IDEX Group).

La société fabriquait des pompes à essences classique avant de se spécialiser dans les technologies de pointes en fabricant des débitmètres ultra précis (0,1%).

  • 1932 : Création au Royaume-Uni de la société privée, Avery-Hardoll, dont W. et T. Avery détenaient une participation substantielle. L’entreprise était responsable de la distribution des pompes à essence [+]
  • 1937 : Exposant inscrit au salon des industries britanniques, le British Industries Fair. Pompes doseuses pour essence et huile. (Stand n ° D.613 et D.512). Dans le cadre de  W. et T. Avery  Advert 599. [2]
  • 1937 : Fabricants de pompes à essence. Pompes à essence “Avery-Hardoll”. [3]
  • Brevet de 1952 : Améliorations apportées aux appareils de mesure et de distribution de liquides ou s’y rapportant.
  • 1953 : Formation d’une joint venture avec Beck and Co appelée Pump Maintenance Ltd., une entreprise nationale de maintenance de pompes à essence.
  • 1961 : Fabricants de pompes à essence et de produits techniques destinés aux industries automobile, aéronautique et auxiliaire. 700 employés. [4]
  • Brevet 1982 : Système de mesure des fluides.

La SATAM et l’Union française de crédit feront partie d’un groupe fondé par le polytechnicien Alexandre Giros, la SGE (Société générale d’entreprise, future VINCI). L’un des ses fils, François, PDG de la SATAM, sera administrateur avec Borotra d’une de ses filiale, la société britannique Avery-Hardoll Ltd19.

Spécialisation dans l'industrie

Fini le distributeur (et divers équipements) que l’on croise sur nos stations services. Depuis 1996 la société sera spécialisée dans le domaine industriel.

Mariage entre MECI et SATAM

En 2009 la société Meci se mariera à Satam, pour contrôler le marché.

La holding COUNTUM S.A.S regroupera les sociétés SATAM et MECIleaders dans le secteur du comptage industriel de type transactionnel pour les hydrocarbures liquides et les gaz. Ce regroupement permit de répondre aux besoins en solutions de comptage des sociétés pétrolières tout le long de la chaîne logistique de transport des produits pétroliers et gaziers ; un savoir faire exercé dans plus de 50 pays. 130 personnes, 20M€ de CA.

MECI rejoindra la société CLEMESSY (Groupe Eiffage). En mai 2018 Meci changera de dénomination sociale et deviendra Eiffage Énergie Systèmes – Meci.

Logo Bleu SATAM

Actuellement

Désormais SATAM, dont le siège social et l’usine se trouve à Falaise (FR -14), est experts en comptage transactions commerciales et développe, fabrique, commercialise, maintien et rénove les compteurs volumétriques et les systèmes de comptage destinés à la chaîne logistique des hydrocarbures.

Depuis le 02 avril 2007, l’entreprise deviendra une SASU (Société par Actions Simplifiée à Associé Unique). Son effectif est compris entre 20 et 49 salariés. Sur l’année 2021 elle réalisera un chiffre d’affaires de 7 825 900,00 €. Le total du bilan aura diminué de 2,24 % entre 2020 et 2021. Societe.com recensera 5 établissements ainsi que 4 mandataires depuis le début de son activité, le dernier événement notable de cette entreprise datant du 05-01-2021. L’entreprise COUNTUM est président de l’entreprise SATAM.[6]

(Photo : Groupe de comptage horizontal ZCE5-H © satam.eu)

Tout le matériel pour station-service

Parallèlement à sont activité dans la distribution de carburant, l’on trouve quelques traces de la fabrication d’équipement pour baie de services (partie garage), ainsi que pour le lavage des véhicules : pont-élévateurs, équipement de graissage, lave-auto, distributeurs d’air et d’eau…

Malheureusement pour nous, il nous est impossible d’en trouver quelque exemplaire en photo.

L'aventure du grand froid

Les machines frigorifiques De la chambre froide à la fabrique de glace

Parmi les nombreuses activités qui marqueront la marque SATAM il y eu la fabrication et l’installation de matériel frigorifique. Une activité qui durera au moins jusque dans les années 60 sous son nom propre.

Matériels et installations frigorifiques

L’activité froid de la marque, après affiliation et rachat, rejoindra divers groupes ( Thompson, EPTA, Carrier…). 

L’entreprise fabriquera et entretiendra une large gamme d’équipement pour professionnel et particulier.

(Photo : Publicité pour les réfrigérateurs SATAM ©delcampe.net)

SATAM Froid

SATAM, « dans son usine ultra-moderne », construira des réfrigérateur sous licence PRESTCOLD G.B. Il s’agira là du seul équipement grand publique encore connu à ce jour. En voici quelques publicités et affiches.

Groupe EPTA

L’histoire d’Epta France naît avec la fusion de marques françaises historiques de la réfrigération commerciale.

Epta : Des systèmes complets pour la réfrigération commerciale.

Bonnet

Bonnet est fondée en 1830 par Nicolas Bonnet, dans la région de Lyon, pour fabriquer des équipements pour les cuisines professionnelles. En 1930, Bonnet entrera dans le secteur des équipements de réfrigération pour la distribution alimentaire. En 1985, elle s’implante et inaugure sa nouvelle usine d’Hendaye, et devient Bonnet Réfrigération.

SATAM Névé

Névé apparaîtra en 1932. En 1962 elle s’affilie à Satam et devient Satam Névé. En 1978, elle entrera dans le Groupe Thompson sous le nom de Froid Satam Brandt.
Les deux marques, entrants dans le nouveau groupe Epta (alors dénommé ELFI[5]) en 1988 (décret du 5 mai 1988), fusionneront en 1993 pour donner naissance à Bonnet Névé . Enfin, se transformant et évoluant au fil des années, Epta France remplacera le nom Bonnet Névé en 2014. Epta France est à ce jour l’unique site français de conception-développement-fabrication et commercialisation de vitrines frigorifiques.
SATAM BRANDT FROID
SATAM BRANDT FROID déposera au total 17 demandes de brevet[4]. Son tout premier brevet a été publié en 1979. Elle déposera ses brevets le plus souvent en France, à l’OEB (Office européen des brevets) et en Espagne. Ses principaux concurrents sur ses marchés de prédilection que sont les procédés thermiques, les meubles et jeux et les technologies environnementales furent LINDE KAELTETECHNIK GMBH, HILL PHOENIX INC et ELECTRO IND INC.

CARRIER : les jours d'après

Le 24 avril 2018, la Nouvelle République.fr nous apprend que la direction du groupe CARRIER a annoncé la fermeture de l’usine de Romorantin.

Les anciens se souviennent surtout de Bonnet-Névé, le nom d’avant Carrier. Il faut dire que l’entreprise du quartier Saint-Marc en a eu un certain nombre, au gré des rachats successifs : Linde, ABC Synergie ou encore Froid Satam Brandt, qui résonne particulièrement dans les mémoires. A commencer dans celle de Philippe Genies. Six jours après l’annonce de la fermeture de son site, le secrétaire du comité d’entreprise se baladait, hier midi, tel un fantôme en blouse bleue dans un atelier au point mort. « Moi, quand je suis arrivé en 1984, c’était Froid Satam Brandt, il y avait plus de 400 salariés et on avait aussi les bâtiments de l’entreprise Itab aujourd’hui », confiait-il en passant sous le grand panneau numérique qui continue malgré tout à indiquer le nombre de commandes prévues et à réaliser par les 88 salariés d’ici juillet.[…]

Quant aux salariés, ils continueront leur grève, devant les grilles, décidés à ne pas quitter l’usine sans sauver ce qui peut l’être. Les primes et l’espoir d’un repreneur, que l’État, qui va piloter la procédure, appelle de ses vœux. En attendant, chez Carrier, on a ressorti une plaque de firme gravée au nom de la société Satam, en 1951, à La Courneuve, quelques années avant la fabrication des premiers meubles réfrigérés locaux dans les années soixante. Un passé à la fois lointain et proche de mémoire de salariés et de Romorantinais.

L'aventure automobile

Une voiture électrique Un véhicule 2 places

Parmi les nombreuses activités qui ne marqueront pas la marque SATAM il y eu la fabrication d’un véhicule électrique. Une activité qui débutera dans les années 40 pour s’achever a peine quelques années plus tard.

L'essence se fait rare, une solution : SATAM ELECTRIQUE

Avant la guerre, la société SATAM (Société Anonyme pour Tous Appareillages Mécaniques) , située dans la ville française de La Courneuve, Seine, se consacrait à la fabrication de pompes à essence.

Pendant l’occupation allemande, l’essence se fait rare et l’entreprise est obligée de rechercher de nouveaux secteurs d’activité, si bien qu’en 1940 elle commence l’étude et le développement d’une petite voiture électrique appelée SATAM. La SATAM a été construit sous la direction du champion de tennis Jean Borotra.

La SATAM avait deux portes et deux sièges, et était capable de parcourir plus de 100 km sans recharge s’il était conduit sur un terrain plat et conduit à une vitesse d’environ 35 km/h. Le 16 septembre 1941, en présence de chefs d’entreprise et sous le contrôle de l’Automobile Club de France, une stricte série SATAM électrique, équipée de batteries Tudor, effectue un essai sur une piste qui entoure l’hippodrome de Longchamp. Le test s’est déroulé sans incident, la voiture a roulé pendant 37 tours, réalisant un record de 134,384 km sans s’arrêter, à une vitesse moyenne de 32,279 kilomètres par heure.

La SATAM a été construit en série, mais on ne sait pas avec certitude combien d’unités ont été fabriquées. Elle aurait été construite entre 1941 et 1943.

(Photo : Publicité pour SATAM ELECTRIQUE)

Photomontage SATM Electrique

L’aventure de la marque SATAM sera un énorme succès dans les années 30 (Leader européen) et les années qui suivirent, dans le domaine de la distribution d’essence. Les autres activités restant plus confidentielles.

Le temps faisant, le groupe séparera ses divers activités avant de les céder à divers groupes internationaux.

Sources et références

satam.eu

Le site de l'actuelle société SATAM

Scriponet

Scriponet, le portail de la scripophilie, vous invite à un voyage dans le temps, dans le monde des affaires et de la bourse et vous propose ainsi sa galerie, sa cote, son forum et sa salle de vente.

jacques-leretrait.blogspot.fr

Sélection de voitures; de camions et de bus de tous les pays. 67599 véhicules; 5143 marques ( constructeurs - carrossiers et concepteurs ) de 91 pays.

averyhardoll.com

Compteurs de carburant Avery-Hardoll...

www.retro-tourisme.com

L’article «Bref historique de la vente d’essence en France», de la revue Route Nostalgie

www.tsg-solutions.com

le Premier fournisseur mondial d’équipements pour les réseaux de distribution d’énergie (carburants traditionnels, gaz naturel, électricité, hydrogène…). TSG est présent en Europe et en Afrique...

EPTA France

EPTA France, une histoire française dans la réfrigération commerciale.

Bonnet Névé

Bonnet Névè, spécialisée dans la réfrigération commerciale.

Le palmarès de J-C Daunat

1962 - amateur Helyett

11 victoires dont :
  • 1er de l'éliminatoire régionale du Premier Pas Dunlop du Limousin
  • 1er de l'éliminatoire du Premier Pas Dunlop de la Dordogne
  • 1er à Garat
  • 1er à Saint-Cyr la Roche
  • 1er à Gouts-Rossignol
  • 1er à Villetoureix
  • 1er à Ruffec
  • 1er à Limoges

1963 - amateur Helyett

13 victoires dont :
  • 1er à Garat
  • 1er à Ladiville
  • 1er à Fouquebrune
  • 1er à La Roche-Chalais
  • 1er à Saint-Alvère
  • 1er à Saint-Lheurine
Passe 2ème Catégorie le 14 septembre

1964 - amateur

  • Champion d'Aquitaine
Passe 1ère Catégorie le 7 juin

1965

  • Championnat du Poitou des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et H.Parinet
  • 1er à Sireuil
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Meuzac
  • 1er à Palais
  • 1er à Saint-Sulpice des Feuilles
  • 1er à Milhac-de-Nontron
  • 1er à Couze-St Front
  • 2ème à Vigeois
  • 2ème aux Salles-Lavauguyon
  • 2ème à Archiac
  • 2ème du Prix de Sardent
  • 2ème du Prix du Mas-Neuf à Limoges
  • 2ème à Séreilhac
  • 3ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 3ème à Marsac
  • 4ème à Goûts-Rossignol
  • 4ème du Prix Toubard à Tulle
  • 5ème à Saint-Mathieu
  • 5ème à Rochechouart
  • 5ème à Grand-Bourg
  • 6ème à Brive
  • 6ème de Limoges-St Léonard
  • 6ème du Championnat de France des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et J.P.Senamaud
  • 6ème du Prix Charles Clément à Limoges
  • 7ème du Tour du Jura
  • 7ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 2ème étape (b)
  • 8ème du Tour du Languedoc
  • 9ème à Cenon

1966 - amateur senior HC - Peugeot

  • 1er du Tour du Béarn
    _ 5ème de la 2ème étape
  • 1er de la 2ème étape de la Route des Cîmes
  • 1er à Treignac
  • 1er à La Tour-Blanche
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Pestrin-Payan
  • 1er à Gerzat
  • 1er à Chaniers
  • 1er à Egletons
  • 1er à Feniers
  • 1er à Marsac
  • 1er des 3 jours du VC La souterraine
    _ 1er de la 2ème étape
  • 1er à Aigueperse
  • 1er à Hennebont
  • 1er à Querrin
  • 2ème du Championnat du Limousin
  • 2ème à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Lafat
  • 2ème à Châteaugay
  • 2ème à Meuzac
  • 2ème à Ciry-le-Noble
  • 2ème à Auch
  • 2ème du Prix Philips à Brive
  • 3ème à Lavaveix-les-Mines
  • 3ème du Critérium de Flavignac
  • 3ème à Mérinchal
  • 3ème à Bellan
  • 3ème à Merlines
  • 4ème du Championnat de France senior
  • 4ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 4ème à Meymac
  • 5ème à Saint-Amandin
  • 6ème à Grand-Bourg
  • 6ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 1ère étape
  • 7ème de la finale des Trophées Peugeot à Valentigney
  • 7ème à Pleaux
  • 8ème du G.P de la Route des Vins
    _ 1er de la 1ère étape
  • 8ème du Prix Martini à Felletin

Passe professionnel le 9 octobre chez PEUGEOT
  • 2ème à Gourin
  • 5ème à Puteaux
  • 5ème à Rouffignac
  • 31ème du Giro di Lombardia
  • 55ème de Paris-Tours

1967 - Peugeot

  • 1er du Critérium de Saint-Brieuc
  • 4ème du G.P d'Aix
  • 4ème à Saint-Cloud
  • 7ème des Boucles du Bas-Limousin
  • 18ème du G.P du Midi Libre
  • 22ème des Boucles de la Seine
  • 26ème du G.P de la Bicicleta Eibaresa :
    _ 9ème de la 4ème étape
  • 46ème du Giro di Sardegna
  • 47ème de Paris-Luxembourg
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • 62ème

1968 - Peugeot

  • 1er de la Ronde d'Issoire
  • 1er à Plemet
  • 2ème à Meymac
  • 2ème du G.P de Menton
  • 2ème à Hennebont
  • 2ème à Pléherel
  • 2ème à Massiac
  • 3ème au Faouet
  • 3ème à Saint-Amandin
  • 3ème à St Caradec-Trégomel
  • 4ème à Saint-Claud
  • 12ème du Critérium National
  • 12ème du Championnat de Zürich
  • 23ème de Gênes-Nice
  • 24ème du Tour de l'Hérault
  • 34ème du G.P de Fourmies
  • 45ème de Liège-Bastogne-Liège
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • abandon
Championnat de France :
  • 16ème

1969 - Peugeot

  • 2ème à La Couronne
  • 2ème à Pluvigné
  • 2ème à Callac
  • 2ème à Pleyber-Christ
  • 2ème à Saint-Clet
  • 3ème à Curac
  • 3ème à Châteauneuf-la-Forêt
  • 3ème à Valence-sur-Baïse
  • 4ème à Lagorce-Laguirande
  • 6ème du Tour du Morbihan
  • 15ème du G.P de Monaco
  • 15ème des Boucles de la Seine
  • Abandon au Critérium National
Championnat de France :
  • 16ème
Tour d'Espagne (Vuelta a España) :
  • hors délais (12ème étape)

1970 - Peugeot

  • 1er à Querrien
  • 2ème à Huelgoat
  • 2ème à Maël-Carhaix
  • 2ème à La Clayette
  • 2ème à Meymac
  • 4ème des Boucles de la Seine
  • 4ème du G.P de Nantes
  • 9ème du Tour du Var
  • 10ème du G.P de Plouay
  • 12ème de Paris-Camembert
  • 13ème du Critérium National
  • 14ème de Nice-Seillans
  • 18ème du G.P d'Isbergues
  • 34ème du Tour du Nord
Championnat de France :
  • 22ème

1971 - Hoover - De Gribaldy

  • 1er à Plélan-le-Petit
  • 3ème du Circuit de l'aulne à Châteaulin
  • 3ème à Bourbriac
  • 3ème à Plancoët
  • 3ème à Plumeliau
  • 3ème à Pleyber-Christ
  • 5ème des Boucles de la Seine
  • 6ème du G.P de Plouay
  • 6ème à Bessèges
  • 9ème du Championnat de France
  • 16ème du Championnat de Zürich
  • 18ème de Nice-Seillans
  • 18ème de Paris-Bourges
  • 24ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • 24ème du Tour de Corse :
    _ 3ème de la 1ère étape (a)
  • 30ème de Paris-Camembert
  • 33ème de l'Etoile des Espoirs
  • 33ème du Critérium National
  • 35ème du G.P du Midi Libre
  • 54ème des 4 jours de Dunkerque
Tour de France :
  • 46ème

1972 - Gitane

  • 1er à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Excideuil
  • 3ème à Bain-de-Bretagne
  • 3ème à Lamballe
  • 3ème au Quillio
  • 3ème à Plélan-le-Petit
  • 4ème du G.P de Plouay
  • 8ème du Trophée des Grimpeurs
  • 16ème de la Polymultipliée
  • 21ème de Paris-Camembert
  • 23ème de la Route Nivernaise
  • 36ème du Critérium National
  • 38ème du G.P du Midi Libre
  • 51ème du Tour d'Indre-et-Loire
  • 66ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • Tour de France :
    • 72ème
    Paris-Nice :
    • 76ème

1973

17 victoires dont :
  • 1er des Boucles du Trégor à Lannion
  • 1er à Rostrenen
  • 1er à Saint-Caradec
  • 2ème à Plélan-le-Petit
  • 7ème de l'Etoile des Espoirs
  • 1re étape du Tour d'Émeraude
  • Deux Jours cyclistes de Machecoul (Trophée Gitane) :
    _ 1er au classement général
    _ 2ème étape
  • 2ème du Grand Prix de Fougères
  • 3ème du Tour d'Émeraude
  • 3ème du Grand Prix de la Trinité

1974 - amateur senior HC

23 victoires dont :
  • 1er à Broon
  • 1er à Moncontour
  • 1er à Evreux
  • 1er à Gourin
  • 1er à Juillac
  • 1er à Querrien
  • 1er du Circuit de la Saint-Michel à Quimperlé
  • 1er du Trophée du Granit à Louvigné-du-Désert
  • 2ème à Saillat
  • 3ème du Circuit de la Bretagne Sud
  • Grand Prix des Foires d'Orval
  • 3ème du Prix des Vins Nouveaux

1975

37 victoires dont :
  • 1 er du Circuit de la Bretagne Sud :
    _ 1er de la 1ère étape
    _ 1er de la 3ème étape (b)
  • 4ème étape du Tour d'Ille-et-Vilaine
  • 3ème des Deux Jours cyclistes de Machecoul

1976 - amateur senior HC

  • 1er de la Flèche finistérienne
  • 1er à Trégastel
  • 1er à Trélevern
  • 1er du Trophée du Meilleur Grimpeur
  • 6ème du Tour d'Armor
    _ 2ème de la 2ème étape (a)
  • 11ème de Manche-Atlantique

1977 et 1978 - amateur senior HC

Suspendu pour dopage.

1979 - amateur senior HC - Meubles Le Berre-Marcarini

12 victoires dont :
  • 3ème du Circuit de Bretagne Sud

Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme

Le palmarès de J-C Daunat

1962 - amateur Helyett

11 victoires dont :
  • 1er de l'éliminatoire régionale du Premier Pas Dunlop du Limousin
  • 1er de l'éliminatoire du Premier Pas Dunlop de la Dordogne
  • 1er à Garat
  • 1er à Saint-Cyr la Roche
  • 1er à Gouts-Rossignol
  • 1er à Villetoureix
  • 1er à Ruffec
  • 1er à Limoges

1963 - amateur Helyett

13 victoires dont :
  • 1er à Garat
  • 1er à Ladiville
  • 1er à Fouquebrune
  • 1er à La Roche-Chalais
  • 1er à Saint-Alvère
  • 1er à Saint-Lheurine
Passe 2ème Catégorie le 14 septembre

1964 - amateur

  • Champion d'Aquitaine
Passe 1ère Catégorie le 7 juin

1965

  • Championnat du Poitou des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et H.Parinet
  • 1er à Sireuil
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Meuzac
  • 1er à Palais
  • 1er à Saint-Sulpice des Feuilles
  • 1er à Milhac-de-Nontron
  • 1er à Couze-St Front
  • 2ème à Vigeois
  • 2ème aux Salles-Lavauguyon
  • 2ème à Archiac
  • 2ème du Prix de Sardent
  • 2ème du Prix du Mas-Neuf à Limoges
  • 2ème à Séreilhac
  • 3ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 3ème à Marsac
  • 4ème à Goûts-Rossignol
  • 4ème du Prix Toubard à Tulle
  • 5ème à Saint-Mathieu
  • 5ème à Rochechouart
  • 5ème à Grand-Bourg
  • 6ème à Brive
  • 6ème de Limoges-St Léonard
  • 6ème du Championnat de France des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et J.P.Senamaud
  • 6ème du Prix Charles Clément à Limoges
  • 7ème du Tour du Jura
  • 7ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 2ème étape (b)
  • 8ème du Tour du Languedoc
  • 9ème à Cenon

1966 - amateur senior HC - Peugeot

  • 1er du Tour du Béarn
    _ 5ème de la 2ème étape
  • 1er de la 2ème étape de la Route des Cîmes
  • 1er à Treignac
  • 1er à La Tour-Blanche
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Pestrin-Payan
  • 1er à Gerzat
  • 1er à Chaniers
  • 1er à Egletons
  • 1er à Feniers
  • 1er à Marsac
  • 1er des 3 jours du VC La souterraine
    _ 1er de la 2ème étape
  • 1er à Aigueperse
  • 1er à Hennebont
  • 1er à Querrin
  • 2ème du Championnat du Limousin
  • 2ème à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Lafat
  • 2ème à Châteaugay
  • 2ème à Meuzac
  • 2ème à Ciry-le-Noble
  • 2ème à Auch
  • 2ème du Prix Philips à Brive
  • 3ème à Lavaveix-les-Mines
  • 3ème du Critérium de Flavignac
  • 3ème à Mérinchal
  • 3ème à Bellan
  • 3ème à Merlines
  • 4ème du Championnat de France senior
  • 4ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 4ème à Meymac
  • 5ème à Saint-Amandin
  • 6ème à Grand-Bourg
  • 6ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 1ère étape
  • 7ème de la finale des Trophées Peugeot à Valentigney
  • 7ème à Pleaux
  • 8ème du G.P de la Route des Vins
    _ 1er de la 1ère étape
  • 8ème du Prix Martini à Felletin

Passe professionnel le 9 octobre chez PEUGEOT
  • 2ème à Gourin
  • 5ème à Puteaux
  • 5ème à Rouffignac
  • 31ème du Giro di Lombardia
  • 55ème de Paris-Tours

1967 - Peugeot

  • 1er du Critérium de Saint-Brieuc
  • 4ème du G.P d'Aix
  • 4ème à Saint-Cloud
  • 7ème des Boucles du Bas-Limousin
  • 18ème du G.P du Midi Libre
  • 22ème des Boucles de la Seine
  • 26ème du G.P de la Bicicleta Eibaresa :
    _ 9ème de la 4ème étape
  • 46ème du Giro di Sardegna
  • 47ème de Paris-Luxembourg
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • 62ème

1968 - Peugeot

  • 1er de la Ronde d'Issoire
  • 1er à Plemet
  • 2ème à Meymac
  • 2ème du G.P de Menton
  • 2ème à Hennebont
  • 2ème à Pléherel
  • 2ème à Massiac
  • 3ème au Faouet
  • 3ème à Saint-Amandin
  • 3ème à St Caradec-Trégomel
  • 4ème à Saint-Claud
  • 12ème du Critérium National
  • 12ème du Championnat de Zürich
  • 23ème de Gênes-Nice
  • 24ème du Tour de l'Hérault
  • 34ème du G.P de Fourmies
  • 45ème de Liège-Bastogne-Liège
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • abandon
Championnat de France :
  • 16ème

1969 - Peugeot

  • 2ème à La Couronne
  • 2ème à Pluvigné
  • 2ème à Callac
  • 2ème à Pleyber-Christ
  • 2ème à Saint-Clet
  • 3ème à Curac
  • 3ème à Châteauneuf-la-Forêt
  • 3ème à Valence-sur-Baïse
  • 4ème à Lagorce-Laguirande
  • 6ème du Tour du Morbihan
  • 15ème du G.P de Monaco
  • 15ème des Boucles de la Seine
  • Abandon au Critérium National
Championnat de France :
  • 16ème
Tour d'Espagne (Vuelta a España) :
  • hors délais (12ème étape)

1970 - Peugeot

  • 1er à Querrien
  • 2ème à Huelgoat
  • 2ème à Maël-Carhaix
  • 2ème à La Clayette
  • 2ème à Meymac
  • 4ème des Boucles de la Seine
  • 4ème du G.P de Nantes
  • 9ème du Tour du Var
  • 10ème du G.P de Plouay
  • 12ème de Paris-Camembert
  • 13ème du Critérium National
  • 14ème de Nice-Seillans
  • 18ème du G.P d'Isbergues
  • 34ème du Tour du Nord
Championnat de France :
  • 22ème

1971 - Hoover - De Gribaldy

  • 1er à Plélan-le-Petit
  • 3ème du Circuit de l'aulne à Châteaulin
  • 3ème à Bourbriac
  • 3ème à Plancoët
  • 3ème à Plumeliau
  • 3ème à Pleyber-Christ
  • 5ème des Boucles de la Seine
  • 6ème du G.P de Plouay
  • 6ème à Bessèges
  • 9ème du Championnat de France
  • 16ème du Championnat de Zürich
  • 18ème de Nice-Seillans
  • 18ème de Paris-Bourges
  • 24ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • 24ème du Tour de Corse :
    _ 3ème de la 1ère étape (a)
  • 30ème de Paris-Camembert
  • 33ème de l'Etoile des Espoirs
  • 33ème du Critérium National
  • 35ème du G.P du Midi Libre
  • 54ème des 4 jours de Dunkerque
Tour de France :
  • 46ème

1972 - Gitane

  • 1er à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Excideuil
  • 3ème à Bain-de-Bretagne
  • 3ème à Lamballe
  • 3ème au Quillio
  • 3ème à Plélan-le-Petit
  • 4ème du G.P de Plouay
  • 8ème du Trophée des Grimpeurs
  • 16ème de la Polymultipliée
  • 21ème de Paris-Camembert
  • 23ème de la Route Nivernaise
  • 36ème du Critérium National
  • 38ème du G.P du Midi Libre
  • 51ème du Tour d'Indre-et-Loire
  • 66ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • Tour de France :
    • 72ème
    Paris-Nice :
    • 76ème

1973

17 victoires dont :
  • 1er des Boucles du Trégor à Lannion
  • 1er à Rostrenen
  • 1er à Saint-Caradec
  • 2ème à Plélan-le-Petit
  • 7ème de l'Etoile des Espoirs
  • 1re étape du Tour d'Émeraude
  • Deux Jours cyclistes de Machecoul (Trophée Gitane) :
    _ 1er au classement général
    _ 2ème étape
  • 2ème du Grand Prix de Fougères
  • 3ème du Tour d'Émeraude
  • 3ème du Grand Prix de la Trinité

1974 - amateur senior HC

23 victoires dont :
  • 1er à Broon
  • 1er à Moncontour
  • 1er à Evreux
  • 1er à Gourin
  • 1er à Juillac
  • 1er à Querrien
  • 1er du Circuit de la Saint-Michel à Quimperlé
  • 1er du Trophée du Granit à Louvigné-du-Désert
  • 2ème à Saillat
  • 3ème du Circuit de la Bretagne Sud
  • Grand Prix des Foires d'Orval
  • 3ème du Prix des Vins Nouveaux

1975

37 victoires dont :
  • 1 er du Circuit de la Bretagne Sud :
    _ 1er de la 1ère étape
    _ 1er de la 3ème étape (b)
  • 4ème étape du Tour d'Ille-et-Vilaine
  • 3ème des Deux Jours cyclistes de Machecoul

1976 - amateur senior HC

  • 1er de la Flèche finistérienne
  • 1er à Trégastel
  • 1er à Trélevern
  • 1er du Trophée du Meilleur Grimpeur
  • 6ème du Tour d'Armor
    _ 2ème de la 2ème étape (a)
  • 11ème de Manche-Atlantique

1977 et 1978 - amateur senior HC

Suspendu pour dopage.

1979 - amateur senior HC - Meubles Le Berre-Marcarini

12 victoires dont :
  • 3ème du Circuit de Bretagne Sud

Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Les catégories de permis de conduire, telles qu’elles résultent de la nouvelle organisation à partir de 2013, sont définies dans le tableau suivant :

Catégorie de permis Type de véhicule Âge minimum requis52 Durée de validité53 Diplôme requis54 Équivalences55,Note 2
AMNote 3 Cyclomoteur 14 ans Pour tout conducteur né après le 31 décembre 1987 : Brevet de sécurité routière ou titre européen équivalent ou tout permis de conduire d’une autre catégorie qu’AM
Permis-France-2013-A1.svg Motocyclettes avec ou sans side-car, d’une cylindrée maximale de 125 cm3, d’une puissance n’excédant pas 11 kW et dont le rapport puissance/poids ne dépasse pas 0,1 kW/kg ; 16 ans 15 ans
Tricycles à moteur d’une puissance maximale de 15 kW.
Permis-France-2013-A2.svg Motocyclette avec ou sans side-car d’une puissance n’excédant pas 35 kW (47,5 ch) et dont le rapport puissance/poids n’excède pas 0,2 kW/kg. De plus, la puissance ne peut résulter du bridage d’un véhicule développant plus de 70 kW (95 ch)56. 18 ans 15 ans
Permis-France-2013-A.svg Motocyclettes avec ou sans side-car ; >20 ans 15 ans Permis A2 + 2ans Les titulaires du permis A peuvent conduire cyclomoteurs, motocyclettes légères, motocyclettes, tricycles à moteur et quadricycles légers à moteur.
Tricycles à moteur d’une puissance supérieure à 15 kW.
Permis-France-2013-B1.svg Véhicules de la catégorie L7e (véhicule à moteur à quatre roues dont la puissance maximale nette du moteur est inférieure ou égale à 15 kW, le poids à vide n’excède pas 550 kg pour les quadricycles affectés au transport de marchandises et 400 kg pour les quadricycles destinés au transport de personnes, et qui n’est pas de catégorie L6e) 16 ans 15 ans
Permis-France-2013-B.svg * Véhicules automobiles ayant un poids total autorisé en charge (PTAC) qui n’excède pas 3,5 tonnes, affectés au transport de personnes et comportant, outre le siège du conducteur, huit places assises au maximum ou affectés au transport de marchandises ainsi que les véhicules qui peuvent être assimilés aux véhicules précédents et dont la liste est fixée par arrêté du ministre chargé de la sécurité routière. * Véhicules mentionnés à l’alinéa précédent attelés d’une remorque lorsque le PTAC de la remorque est inférieur ou égal à 750 kg. * Mêmes véhicules attelés d’une remorque lorsque le Poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kg, sous réserve que la somme des PTAC (véhicule + remorque) n’excède pas 3 500 kg. Si le PTAC cumulé est égal au plus à 4 250 kg pas de nécessité du permis BE mais nécessité de la formation B96 (mention 96 obtenue après une formation de sept heures)57,58A noter : il était exigé avant 1998, que le poids à vide du véhicule tracteur soit inférieur au PTAC de la remorque (lorsque son PTAC était supérieur à 750 kg) pour que le conducteur ne passe pas en catégorie E (désormais BE cf. infra) cette condition est supprimée. 18 ans 15 ans Pour tout candidat né à compter du 1er janvier 1988, l’attestation scolaire de sécurité routière de second niveau ou l’attestation de sécurité routière est obligatoire Les titulaires du permis B peuvent conduire les cyclomoteurs et les quadricycles à moteur (véhicules des catégories L6e et L7e).

Mention 96. Véhicules relevant de la catégorie B auxquels est attelée une remorque le Poids total autorisé en charge (PTAC) de la remorque est supérieur à 750 kg, sous réserve que la somme des PTAC de l’ensemble n’excède pas 4 250 kg. (formation « B96 » : d’une durée de sept heures, en auto-école, sans visite médicale, sans examen théorique ou pratique)

Mention 78. Véhicules à changement de vitesse automatique59

Permis-France-2013-C1.svg * Véhicules automobiles autres que ceux de la catégorie D et D1 dont le PTAC est supérieur à 3 500 kg sans excéder 7 500 kg et qui sont conçus et construits pour le transport de huit passagers au plus outre le conducteur. Le permis C1 code 97 est pour la conduite des véhicules non affectés au transport de marchandises (donc l’examen est simplifié). Ce permis C1 code 97 est pour restreindre la conduite des ambulances, des véhicules adaptés pour les personnes à mobilité réduite et des camping-cars dont le PTAC est supérieur à 3 500 kg. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 18 ans 5 ans Permis B Les permis C1 obtenus entre le 20 janvier 1975 et le 31 décembre 1984 autorisent la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60.
Permis-France-2013-C.svg Véhicules automobiles autres que ceux des catégories D et D1, dont le PTAC excède 3,5 tonnes et qui sont conçus et construits pour le transport de huit passagers au plus outre le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 21 ans 5 ans Permis B Le permis C obtenu avant le 20 janvier 1975 ou entre le 1er janvier 1985 et le 1er juillet 1990 autorise la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60. Les permis C obtenus avant le 19 janvier 2013 autorisent la conduite de véhicules automobiles isolés autres que ceux de la catégorie D et dont le poids total autorisé en charge (PTAC) excède 3,5 tonnes60.
Permis-France-2013-D1.svg Véhicules automobiles conçus et construits pour le transport de personnes comportant, outre le siège du conducteur, seize places assises maximum et d’une longueur n’excédant pas huit mètres. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 21 ans 5 ans Permis B
Permis-France-2013-D.svg Véhicules automobiles conçus et construits pour le transport de personnes comportant plus de huit places assises outre le siège du conducteur ou transportant plus de huit personnes, non compris le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le PTAC n’excède pas 750 kg. 24 ans 5 ans Permis B Les permis D obtenus avant le 20 janvier 1975, lorsque l’examen a été subi sur un véhicule d’un poids total autorisé en charge (PTAC) de plus de 3,5 tonnes, autorise la conduite de tous les véhicules affectés au transport de marchandises ainsi que celle des véhicules affectés au transport en commun sur des parcours de ligne dépassant 50 km sous réserve, pour ces derniers, des conditions relatives à l’expérience de conduite ou à la formation du conducteur fixées par arrêté du ministre chargé des transports60. Les permis D obtenus avant le 19 janvier 2013 autorisent la conduite de véhicules automobiles affectés au transport de personnes comportant plus de huit places assises outre le siège du conducteur ou transportant plus de huit personnes, non compris le conducteur. Aux véhicules de cette catégorie peut être attelée une remorque dont le poids total autorisé en charge (PTAC) n’excède pas 750 kg60.
Permis-France-2013-BE.svg Véhicules relevant de la catégorie B auxquels est attelée une remorque (ou une semi-remorque) dont le PTAC est supérieur à 750 kg et inférieur ou égal à 3 500 kg lorsque le cumul des PTAC du véhicule tracteur et de la remorque (ou semi) est supérieur à 4 250 kg (entre 3 500 kg et 4 250 kg, B avec mention 96 suffisant cf. permis B) Les droits acquis des détenteurs d’un permis de la catégorie EB obtenu avant le 19 janvier 2013 sont maintenus par l’apposition de la mention additionnelle 79.06 (permettant de tracter une remorque d’un PTAC supérieur à 3 500 kg)61. 18 ans 15 ans Permis B
Permis-France-2013-C1E.svg * Véhicules relevant de la catégorie C1 ou C1 code 97 attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 750 kg ; * Véhicules relevant de la catégorie B attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 3 500 kg. Le PTRA des ensembles de véhicules relevant de la catégorie C1E ne peut excéder 12 000 kg. 18 ans 5 ans Permis C1 Les titulaires du permis C1E peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE et ceux de la catégorie D1E, sous réserve d’être titulaire du permis D1.
Permis-France-2013-CE.svg Véhicules relevant de la catégorie C attelés d’une remorque ou d’une semi-remorque dont le PTAC excède 750 kg. 21 ans 5 ans Permis C Les titulaires du permis CE peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie DE, sous réserve d’être titulaire du permis D.
Permis-France-2013-D1E.svg Véhicules relevant de la catégorie D1 attelés d’une remorque dont le PTAC excède 750 kg. 21 ans 5 ans Permis D1 Les titulaires du permis D1E peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE.
Permis-France-2013-DE.svg Véhicules relevant de la catégorie D attelés d’une remorque dont le PTAC excède 750 kg. 24 ans 5 ans Permis D Les titulaires du permis DE peuvent conduire les véhicules relevant de la catégorie BE.

Par ailleurs, une Voiture sans permis est soit AM (50 cm3), soit B1 (< 550 kg, pour un usage normal, < 400 kg pour un usage professionnel). C’est-à-dire qu’une « Voiture sans permis » nécessite soit le Brevet de sécurité routière, soit le permis B1.

Georges Sarre

Georges Sarre, né le  à Chénérailles (Creuse) et mort le  à Paris 18e, est un homme politique français.

Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.

Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • France bleu : Le Creusois Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat de Mitterrand est mort.
  • lemonde.fr : Mort de Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat aux transports.

Pierre Giraudet

Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.

Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.

Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.

Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • lemonde.fr : Pierre Giraudet, figure du service public.
  • whoswho.fr : Biographie Pierre Giraudet, Ingénieur général honoraire des ponts et chaussées.

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Alain Peyrefitte

Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.

Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.

En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de GaulleGeorges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.

Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.

Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.

Source : Wikipédia

Maurice Maunoury

Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.

Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.

Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.

Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.

Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.

Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

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Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.