Logos EXXON / MobilLE GROUPE ExxonMobilLogos EXXON / Mobil

ExxonMobil (ExxonMobil Corporation / société américaine) est le 5ème producteur mondial de pétrole et de gaz. Il explore pétrole et gaz naturel sur six des sept continents. Il est le plus grand détenteur non gouvernemental de réserves de gaz. Les activités d’EXON MOBIL incluent le raffinage et la distribution et le marketing de carburants et des huiles sous les marques Exxon, Mobil et Esso.

Elle possède 45 raffineries dans vingt-cinq pays qui ont une capacité de distillation de 6,3 millions de barils de pétrole par jour. Elle dispose en outre de 42 000 stations-service dans plus de 100 pays sous les marques Exxon, Esso et Mobil. ExxonMobil est aussi un producteur majeur de produits pétrochimiques.

En 2006, la compagnie a consacré 80 millions de dollars (soit deux millièmes de ses profits) à des œuvres philanthropiques aux États-Unis.

Chiffres clefs, données financières, bilans et analyses financières… sont disponibles sur le site : www.andlil.com


Un groupe née d’une longue histoire

Ce texte est issu d’articles Wikipédia : « ExxonMobil » et « Standard Oil », du site www.andlil.com, du site www.voltairenet.org, du site www.rendezvousnationale7.fr, ainsi que du site belge www.exxonmobil.be
Nous vous recommandons de lire les articles « Exxon-Mobil, fournisseur officiel de l’Empire », par Arthur Lepic et « Comment ROCKEFELLER a fondé la médecine moderne et a tuédes remèdes naturels » (version originale)

Dates clés dans l’histoire d’Esso S.A.F
Dates clés dans l’histoire d’Esso S.A.F (France)

De la Standard Oil à la fin d’un monopole
JOHN D. ROCKEFELLER in Talkie Sound Film Standard Oil ...

La société Exxon Mobil Corporation est née de l’ambition du célèbre homme d’affaires, John D. Rockefeller, qui décida d’acquérir des sociétés pétrolières en 1882 avant de les regrouper en une seule compagnie « Standard Oil Trust » en 1900. Ce fut le premier trust pétrolier vertical. Parmi cette compagnie se trouvaient la Standard Oil of New Jersey et la Standard Oil of New York plus tard nommée Socony. Profitant de ce monopole sur la distribution, il fit pression sur les producteurs pour faire baisser le prix de vente. John D. Rockfeller, en utilisant des méthodes peu orthodoxes, ruinera ses concurrents états-uniens et organisera l’évasion fiscale de ses revenus.

Logo Standard Oil Company
Logo Standard Oil Company

Les couleurs du logo de la Standard Oil Company sont le rouge, le blanc et le bleu. Ces couleurs, les trois couleurs du drapeau américain, ont servi à montrer le patriotisme de la Standard Oil. La grande torche au milieu a joué un double rôle. Une torche a besoin de carburant pour brûler, et les fabricants du logo ont cherché à faire remarquer que les Américains avaient besoin de carburant pour prospérer et grandir. La flamme a également servi de symbole pour éclairer le chemin vers l’avenir, ce qui nécessitait aussi du carburant.

En 1904, la Standard Oil contrôle 91 % de la production pétrolière américaine. Elle exporte la moitié sous forme de kérosène.

L’État fédéral, se basant sur les lois antitrust, la condamne en 1911 à se partager en 33 sociétés séparées. De ce fait, plusieurs Standard Oils furent créées. L’existence de deux sociétés portant le nom de Standard Oil a été arbitrée (par un tribunal) par un changement d’enseigne pour les deux sociétés, aucune des deux ne pouvant utiliser le sigle ESSO sur le territoire américain. La Standard Oil of New Jersey deviendra EXXON et la Standard Oil of California (SOCAL) deviendra Chevron. La société Socony fut également créé et connu plusieurs fusions et changements de noms, pour finalement devenir, en 1966, la Mobil Oil Corporation.

Sociétés issus de la dissolution de la Standard Oil Compagny en 1911
Sociétés issus de la dissolution de la Standard Oil Compagny en 1911 (www.dividend.com)

Sociétés issus de la dissolution de la Standard Oil Compagny en 1911 (truthandsatire.files.wordpress.com)
Sociétés issus de la dissolution de la Standard Oil Compagny en 1911 (truthandsatire.files.wordpress.com)

Naissance d’EXXON et ESSO

En 1911, après la division, les activités du Standard Oil Trust en Europe ont été poursuivies par la Jersey Standard et par plusieurs « Baby Standards ». Ces entreprises travaillaient au départ sous la marque Standaard APC (American Petroleum Company), mais dès 1929, elles ont vendu des produits pétroliers sous le nom Esso (dérivé de l’abréviation de Standard Oil, S.O.).

En 1928, la Standard Oil signe l’accord d’Achnacarry. La compagnie faisant ainsi partie dudit « cartel des sept sœurs» jusqu’en 1959.

Seconde Guerre mondiale, financement d’une partie de l’armement d’Hitler (espérant s’emparer des ressources de l’URSS) puis de l’armement des forces britanniques et américaines.

De Standard Oil sera dérivé le nom Esso, formé des deux initiales (SO) interdit d’utilisation aux États-Unis.

En 1972, le groupe unifie son identité. La « Standard Oil of New Jersey », ESSO, ENCO et HUMBLE fusionnent pour former le groupe Exxon. La marque Exxon remplacera désormais toutes les marques du groupe aux Etats Unis, sauf en Europe et au Canada, où le nom « ESSO » est conservé car issu d’une même filiale, la Standard Oil of New Jersey.

ExxonMobil…

ExxonMobil résulte de la fusion le 30 novembre 1999 des compagnies Exxon Corporation et Mobil Oil, respectivement numéros 2 et 4 mondiaux à l’époque derrière BP (appelée BP-Amoco à l’époque), pour former la plus grande compagnie pétrolière et gazière des États-Unis, pouvant subventionner les think tanks néo-libéraux et les campagnes électorales des Bush. Présent dans 150 pays, le groupe commercialise ses produits en Europe, principalement sous 2 marques : ESSO et MOBIL.

Dès le début des années 2000, la société a mis en place des projets au Canada, au Royaume-Uni, au Qatar, en Angola et en Colombie, en Iran…
La société enregistra, dans les années 2008, un bénéfice record de 45,2 milliards USD, établissant ainsi un nouveau record historique et battant le précédent qu’elle détenait.

Le groupe est associé, avec TOTAL et 4 autres groupes pétroliers, au projet Kashagan, qui a subi plusieurs retards et est très critiqué par certaines ONG environnementales, dont les Amis de la terre (en raison de son caractère très polluant et générateur de risque et de gaz à effet de serre).

En novembre 2013, Exxon vend ses opérations à Hong Kong notamment de productions d’électricités pour 3,4 milliards de dollars.

En août 2014, Exxon vend 322 stations de services de marques Esso situés en France pour 106 millions d’euros, après la vente de 78 en 2012

Une société entaché de scandales

Des scandales ont terni l’image de la compagnie, notamment la marée noire d’Exxon Valdez en 1989, mais aussi les soupçons de financement de scientifiques et de membres du gouvernement américain pour écrire des articles et rejeter les thèses du réchauffement climatique par les émissions de CO2.

Exxon Mobil Corp. a même été soupçonné d’avoir formé un lobby surnommé Carbon Club par ses détracteurs et certains médias (Amis de la Terre, Greenpeace, The Guardian, The Independant…)


Le logo EXXONMOBIL :

En 1998, Exxon et Mobil ont fusionné pour créer ExxonMobil. L’inspiration pour réaliser le logo de cette nouvelle société est assez simple. Ils ont gardé les X croisés du logo d’Exxon, ainsi que son jeu de couleurs, et ont ajouté Mobil sur le côté dans la même police et la même couleur.

Logo ExxonMobil

Pourquoi le logo fonctionne ?

En tant que numéro un de la prestigieuse liste Fortune 500, il ne fait aucun doute que le logo d’ExxonMobil est efficace. Le logo représente deux entreprises qui, même dispersées par le gouvernement, n’ont jamais abandonné. Ces entreprises ont persévéré, fusionné et sont devenues l’une des entreprises les plus puissantes au monde. (Source : www.logaster.com)


ExxonMobil France / ESSO (France)

L’histoire d’ExxonMobil en France et largement liée à l’histoire d’ESSO, à retrouver ici
Le texte qui suit est issus des sites corporate.esso.fr et www.lesechos.fr

ExxonMobil est présent en France depuis plus de 110 ans (2012) sous l’enseigne Esso et 120 ans avec Mobil avec, en 1902, l’implantation de la « Standard Oil of New Jersey ».

Dates clés dans l’histoire d’Esso
Dates clés dans l’histoire d’Esso

En 1929 sera créé la « Société Franco-Américaine de Raffinage » à Paris, 4 ans avant la mise en service de la raffinerie de Port-Jérôme (Seine-Maritime).

L'Economique par Esso (www.rendezvousnationale7.fr)
L’Economique par Esso (www.rendezvousnationale7.fr)

La « Standard Française des Pétroles » devient « Esso Standard S.A.F.», en 1952, avant de changer de nom et de devenir l’actuelle « Esso S.A.F. », 24 ans plus tard. Elle créera la « Esso Raffinage S.A.F. » (1990), en charge des activités de raffinage, et fusionnera-absorbera la « Mobil Oil Française » en 2003.

Esso Express…

En 1976, lancement des Esso Self, premières stations en libre service. en 2006, le réseau Esso Express contrat 320 stations-service.

Esso n’aura plus de stations-service dans l’Hexagone

A la mi-2015, Esso n’aura plus de stations-service dans l’Hexagone. Esso S.A.F finalise la vente de son réseau de 322 stations-service à la société DCC Energy, pour 106 millions d’euros, généralisant ainsi le modèle de revendeur à la marque pour toutes les stations-service à la marque Esso en France.

Pour les consommateurs, l’opération ne sera guère visible : les stations-service continueront à vendre leurs carburants sous l’enseigne Esso. Esso a négocié avec le repreneur un contrat d’approvisionnement de long terme (deux fois cinq ans). Deuxième raffineur français derrière Total avec près d’un quart des parts de marché, Esso assure ainsi un débouché à ses deux raffineries de Gravenchon (Seine-Maritime) et de Fos-sur-Mer (Bouchesdu-Rhône). C’est d’ailleurs là que se concentre aujourd’hui l’essentiel de ses effectifs (1.300 salariés sur 2.000).

Réseau de revendeurs à la marque ESSO / ESSO Express

Depuis juin 2015 l’ensemble des stations-service à la marque Esso et Esso Express en France est exploité par des revendeurs, selon les standards d’exigence Esso qui permettent de vous servir au mieux.

Les partenaires revendeurs à la marque ont pour vocation d’assurer un maillage national du réseau de stations-service à la marque Esso et Esso Express. Que ce soit sur autoroute, en ville ou dans les campagnes ils détiennent et opèrent les stations Esso et commercialisent les carburants de qualité Esso partout en France.

Vous trouverez ci-dessous la liste des revendeurs (filiales du groupe DCC) avec leurs coordonnées :
Certas Energy France, EFR France (EG Group), Dubreuil Carburants, Ets Guillemeau, NRC Réseau Corse

Logo Certas Energy France

Certas Energy France
Avenue Edouard Belin
92500 Rueil Malmaison
Tel : 01 55 94 06 00
www.certasenergyretail.fr

Logo EFR

EFR
Immeuble Le Cervier B
12, avenue des Béguines
95800 CERGY SAINT CHRISTOPHE

Dubreuil Carburants
Actipôle85 – BP 42
85170 BELLEVILLE SUR VIE
Tél : 02.51.47.78.02

Camion livraison Ets Guillemeau

Ets Guillemeau

89450 DOMECY sur CURE
04.95.20.85.04 | 03.86.32.32.33
http://www.guillemeau.fr

Logo NRC Réseau Corse

NRC Réseau Corse
Groupe Ferrandi
Tél: 04 95 20 85 04
http://www.groupe-ferrandi.fr


Logo Exxon
Logo Exxon
De la Standard Oil Compagny Ohio à Exxon

Ce texte est issu d’une traduction d’article en anglais : « Our history », sur www.exxon.com

L’histoire d’Exxon à commencé en 1870 avec la naissance de la Standard Oil Company, dissoute en 1911 par la Cour Suprême des Etats-Unis, suite au vote d’une loie anti-trust.

Dans de nombreux États, la marque Jersey Standard a commercialisé ses produits sous la marque «Esso», qui est la prononciation phonétique des initiales «S» et «O» de Standard Oil. Cependant, dans d’autres États, les autres sociétés Standard Oil s’y sont opposées. Dans ces états, la marque Jersey Standard a été commercialisé sous les marques Enco (Energy Company) et Humble (une compagnie pétrolière qu’ils ont acquise).

Jersey Standard devient Exxon Corporation en 1972 puis, en 1999, s’associe à Mobil Oil Corporation, anciennement Socony-Vacuum Oil, pour former Exxon Mobil Corporation.


L’évolution du logo EXXON :
Evolution du logo Exxon
Evolution du logo Exxon

Création d’Exxon Corporation en 1972 ; les couleurs bleues, blanches et rouges rappellent le drapeau américain, tandis que les effets de ligne (rectangle bleu en bas, diagonales entrecroisées des « X ») véhiculent la sûreté, l’efficacité.

Logo Exxon

Logo Exxon
Logo Mobil
Mobil

Ce texte est largement issu du site : « MOBILGAS », sur www.norman-rockwell-france.com

Mobil fut une importante compagnie pétrolière américaine qui a fusionné en 1999 avec Exxon Co pour former le no 1 mondial du secteur ExxonMobil. Aujourd’hui encore, Mobil est une division importante de cette entreprise.

En 1859, le « colonel » Edwin Drake fore le premier puits de pétrole à Titusville, dans l’état de Pennsylvanie.
Six ans plus tard, un charpentier, Matthew Ewing, qui était aussi inventeur, trouva une méthode pour raffiner le pétrole en kérosène. Il persuada un épicier, Hiram Bond Everest, d’investir dans son projet. Mais la méthode de Ewing n’avait pas un meilleur rendement que les méthodes concurentes. Mais Everest remarqua que les résidus formait une huile de bonne qualité qui pourrait faire un bon lubrifiant. Aussi, les deux associés brevetèrent leur découverte et créèrent la « Vacuum Oil Company » à Rochester, dans l’état de New York.

La compagnie fut vendue en 1879 à John D. Rockefeller, président de la Standard Oil Company.

En 1911, le gouvernement américain ayant scindé les actifs de la Standard Oil, la Standard Oil Company of New York ou Socony fut créée.

La société d’Ewing continua à vendre ses propres produits sous le nom de Socony – The Standard Oil COmpaNY – à partir de 1922, et leurs produits s’appelaient Mobiloil, marque déposée en 1920.

La réputation de Mobiloil ne fit que grandir, car leur produit avaient étaient mêlés à nombre d’évènements, comme le record de vitesse de Barney Oldfield à Daytona, la victoire de Ralph De Palma à Indianapolis en 1915, le survol du Pôle Nord par l’amiral Richard Byrd en 1926, la lubrification du moteur de Charles Lindbergh lors de sa traversée de l’Atlantique en 1927, et la première traversée de l’Atlantique en avion par une femme, Amelia Earhart en 1928.

En 1931, la fusion entre la Socony avec la Vacuum Oil crée la Socony-Vacuum Co.

En 1955, la Socony-Vacuum est renommée Socony Mobil Oil Company, puis la Mobil Oil Corporation en 1955, et finalement Mobil Corporation en 1976.

En 1998, Mobil et Exxon trouvent un accord, et fusionnent dans ExxonMobil.

Encore aujourd’hui, Mobiloil lubrifie les sous marins nucléaires et les avions de ligne.


L’évolution du logo MOBIL :
Evolution du logo "MOBIL" au fil des ans  - www.norman-rockwell-france.com
Evolution du logo « MOBIL » au fil des ans – www.norman-rockwell-france.com

Pégase, le cheval ailé

Mobil fut longtemps associé au Pégase (cheval ailé). Elle utilisa un logo avec son nom à côté duquel se trouve un Pégase en vol. Cette image a servi à représenter leur dévouement au voyage.
Retrouver ici quelques exemple de logos Mobil ainsi que des variantes plus ou moins officiels.
Vous pouvez également retrouver une galerie photos, avec le fameux Pégase, en cliquant ici. Retrouvez ici série de portes clefs « Mobil et Pégase » en vente sur Ebay.

Logo Mobil avec un PégaseLogo Mobilgas avec un Pégase

Dans les années 40, le logo de Mobil représentait un cheval ailé, et en 1941, Rockwell fut sollicité pour illustrer une publicité pour la compagnie.
Ce classique de la pub représentant une jument en admiration devant son héros, sorte de Pégase moderne, apparut dans le magazine Life du 1941 05 26 et dans le Post, le 1941 06 14.

Logo Mobil

Logos Mobil / Huiles Mobil

Logo Mobil
Logo Mobil 1Logo Huile Mobil Delvac

Logo Esso
Logo Esso
Esso

En 1911, le démantèlement de la Standard Oil fondée par John D. Rockefeller, pour cause de monopole, conduit à la formation de 34 sociétés [33 suivant d’autres sources] indépendantes (Mobil, Chevron) dont certaines gardent le droit d’utiliser la marque Standard Oil dans certains États américains ou pays, telle la Standard Oil of New Jersey qui prend progressivement le nom d’Eastern States Standard Oil ou Esso (contraction phonétique de SO. ou acronyme de la Eastern States SO)1.

En 1972, cette marque a été en grande partie remplacée aux États-Unis par la marque Exxon après avoir acheté la Humble Oil, tandis que Esso est resté largement utilisée ailleurs dans le monde.


L’évolution du logo Esso :
Evolution logo Esso
Evolution logo Esso

En 1939, l’ovale Esso devient l’emblème du groupe.

Logo Esso

Nous remercions les personnes, et sites internet, pour les informations ayant servies à la création du document.

Le palmarès de J-C Daunat

1962 - amateur Helyett

11 victoires dont :
  • 1er de l'éliminatoire régionale du Premier Pas Dunlop du Limousin
  • 1er de l'éliminatoire du Premier Pas Dunlop de la Dordogne
  • 1er à Garat
  • 1er à Saint-Cyr la Roche
  • 1er à Gouts-Rossignol
  • 1er à Villetoureix
  • 1er à Ruffec
  • 1er à Limoges

1963 - amateur Helyett

13 victoires dont :
  • 1er à Garat
  • 1er à Ladiville
  • 1er à Fouquebrune
  • 1er à La Roche-Chalais
  • 1er à Saint-Alvère
  • 1er à Saint-Lheurine
Passe 2ème Catégorie le 14 septembre

1964 - amateur

  • Champion d'Aquitaine
Passe 1ère Catégorie le 7 juin

1965

  • Championnat du Poitou des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et H.Parinet
  • 1er à Sireuil
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Meuzac
  • 1er à Palais
  • 1er à Saint-Sulpice des Feuilles
  • 1er à Milhac-de-Nontron
  • 1er à Couze-St Front
  • 2ème à Vigeois
  • 2ème aux Salles-Lavauguyon
  • 2ème à Archiac
  • 2ème du Prix de Sardent
  • 2ème du Prix du Mas-Neuf à Limoges
  • 2ème à Séreilhac
  • 3ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 3ème à Marsac
  • 4ème à Goûts-Rossignol
  • 4ème du Prix Toubard à Tulle
  • 5ème à Saint-Mathieu
  • 5ème à Rochechouart
  • 5ème à Grand-Bourg
  • 6ème à Brive
  • 6ème de Limoges-St Léonard
  • 6ème du Championnat de France des sociétés
    _ avec J.Pradeau, D.Samy, A.Peter et J.P.Senamaud
  • 6ème du Prix Charles Clément à Limoges
  • 7ème du Tour du Jura
  • 7ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 2ème étape (b)
  • 8ème du Tour du Languedoc
  • 9ème à Cenon

1966 - amateur senior HC - Peugeot

  • 1er du Tour du Béarn
    _ 5ème de la 2ème étape
  • 1er de la 2ème étape de la Route des Cîmes
  • 1er à Treignac
  • 1er à La Tour-Blanche
  • 1er à Tarnac
  • 1er à Pestrin-Payan
  • 1er à Gerzat
  • 1er à Chaniers
  • 1er à Egletons
  • 1er à Feniers
  • 1er à Marsac
  • 1er des 3 jours du VC La souterraine
    _ 1er de la 2ème étape
  • 1er à Aigueperse
  • 1er à Hennebont
  • 1er à Querrin
  • 2ème du Championnat du Limousin
  • 2ème à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Lafat
  • 2ème à Châteaugay
  • 2ème à Meuzac
  • 2ème à Ciry-le-Noble
  • 2ème à Auch
  • 2ème du Prix Philips à Brive
  • 3ème à Lavaveix-les-Mines
  • 3ème du Critérium de Flavignac
  • 3ème à Mérinchal
  • 3ème à Bellan
  • 3ème à Merlines
  • 4ème du Championnat de France senior
  • 4ème à Saint-Yrieix le Dejalat
  • 4ème à Meymac
  • 5ème à Saint-Amandin
  • 6ème à Grand-Bourg
  • 6ème du Tour de Corrèze
    _ 2ème de la 1ère étape
  • 7ème de la finale des Trophées Peugeot à Valentigney
  • 7ème à Pleaux
  • 8ème du G.P de la Route des Vins
    _ 1er de la 1ère étape
  • 8ème du Prix Martini à Felletin

Passe professionnel le 9 octobre chez PEUGEOT
  • 2ème à Gourin
  • 5ème à Puteaux
  • 5ème à Rouffignac
  • 31ème du Giro di Lombardia
  • 55ème de Paris-Tours

1967 - Peugeot

  • 1er du Critérium de Saint-Brieuc
  • 4ème du G.P d'Aix
  • 4ème à Saint-Cloud
  • 7ème des Boucles du Bas-Limousin
  • 18ème du G.P du Midi Libre
  • 22ème des Boucles de la Seine
  • 26ème du G.P de la Bicicleta Eibaresa :
    _ 9ème de la 4ème étape
  • 46ème du Giro di Sardegna
  • 47ème de Paris-Luxembourg
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • 62ème

1968 - Peugeot

  • 1er de la Ronde d'Issoire
  • 1er à Plemet
  • 2ème à Meymac
  • 2ème du G.P de Menton
  • 2ème à Hennebont
  • 2ème à Pléherel
  • 2ème à Massiac
  • 3ème au Faouet
  • 3ème à Saint-Amandin
  • 3ème à St Caradec-Trégomel
  • 4ème à Saint-Claud
  • 12ème du Critérium National
  • 12ème du Championnat de Zürich
  • 23ème de Gênes-Nice
  • 24ème du Tour de l'Hérault
  • 34ème du G.P de Fourmies
  • 45ème de Liège-Bastogne-Liège
Tour d'Italie (Giro d'Italia) :
  • abandon
Championnat de France :
  • 16ème

1969 - Peugeot

  • 2ème à La Couronne
  • 2ème à Pluvigné
  • 2ème à Callac
  • 2ème à Pleyber-Christ
  • 2ème à Saint-Clet
  • 3ème à Curac
  • 3ème à Châteauneuf-la-Forêt
  • 3ème à Valence-sur-Baïse
  • 4ème à Lagorce-Laguirande
  • 6ème du Tour du Morbihan
  • 15ème du G.P de Monaco
  • 15ème des Boucles de la Seine
  • Abandon au Critérium National
Championnat de France :
  • 16ème
Tour d'Espagne (Vuelta a España) :
  • hors délais (12ème étape)

1970 - Peugeot

  • 1er à Querrien
  • 2ème à Huelgoat
  • 2ème à Maël-Carhaix
  • 2ème à La Clayette
  • 2ème à Meymac
  • 4ème des Boucles de la Seine
  • 4ème du G.P de Nantes
  • 9ème du Tour du Var
  • 10ème du G.P de Plouay
  • 12ème de Paris-Camembert
  • 13ème du Critérium National
  • 14ème de Nice-Seillans
  • 18ème du G.P d'Isbergues
  • 34ème du Tour du Nord
Championnat de France :
  • 22ème

1971 - Hoover - De Gribaldy

  • 1er à Plélan-le-Petit
  • 3ème du Circuit de l'aulne à Châteaulin
  • 3ème à Bourbriac
  • 3ème à Plancoët
  • 3ème à Plumeliau
  • 3ème à Pleyber-Christ
  • 5ème des Boucles de la Seine
  • 6ème du G.P de Plouay
  • 6ème à Bessèges
  • 9ème du Championnat de France
  • 16ème du Championnat de Zürich
  • 18ème de Nice-Seillans
  • 18ème de Paris-Bourges
  • 24ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • 24ème du Tour de Corse :
    _ 3ème de la 1ère étape (a)
  • 30ème de Paris-Camembert
  • 33ème de l'Etoile des Espoirs
  • 33ème du Critérium National
  • 35ème du G.P du Midi Libre
  • 54ème des 4 jours de Dunkerque
Tour de France :
  • 46ème

1972 - Gitane

  • 1er à Lescouet-Jugon
  • 2ème à Excideuil
  • 3ème à Bain-de-Bretagne
  • 3ème à Lamballe
  • 3ème au Quillio
  • 3ème à Plélan-le-Petit
  • 4ème du G.P de Plouay
  • 8ème du Trophée des Grimpeurs
  • 16ème de la Polymultipliée
  • 21ème de Paris-Camembert
  • 23ème de la Route Nivernaise
  • 36ème du Critérium National
  • 38ème du G.P du Midi Libre
  • 51ème du Tour d'Indre-et-Loire
  • 66ème du Critérium du Dauphiné Libéré
  • Tour de France :
    • 72ème
    Paris-Nice :
    • 76ème

1973

17 victoires dont :
  • 1er des Boucles du Trégor à Lannion
  • 1er à Rostrenen
  • 1er à Saint-Caradec
  • 2ème à Plélan-le-Petit
  • 7ème de l'Etoile des Espoirs
  • 1re étape du Tour d'Émeraude
  • Deux Jours cyclistes de Machecoul (Trophée Gitane) :
    _ 1er au classement général
    _ 2ème étape
  • 2ème du Grand Prix de Fougères
  • 3ème du Tour d'Émeraude
  • 3ème du Grand Prix de la Trinité

1974 - amateur senior HC

23 victoires dont :
  • 1er à Broon
  • 1er à Moncontour
  • 1er à Evreux
  • 1er à Gourin
  • 1er à Juillac
  • 1er à Querrien
  • 1er du Circuit de la Saint-Michel à Quimperlé
  • 1er du Trophée du Granit à Louvigné-du-Désert
  • 2ème à Saillat
  • 3ème du Circuit de la Bretagne Sud
  • Grand Prix des Foires d'Orval
  • 3ème du Prix des Vins Nouveaux

1975

37 victoires dont :
  • 1 er du Circuit de la Bretagne Sud :
    _ 1er de la 1ère étape
    _ 1er de la 3ème étape (b)
  • 4ème étape du Tour d'Ille-et-Vilaine
  • 3ème des Deux Jours cyclistes de Machecoul

1976 - amateur senior HC

  • 1er de la Flèche finistérienne
  • 1er à Trégastel
  • 1er à Trélevern
  • 1er du Trophée du Meilleur Grimpeur
  • 6ème du Tour d'Armor
    _ 2ème de la 2ème étape (a)
  • 11ème de Manche-Atlantique

1977 et 1978 - amateur senior HC

Suspendu pour dopage.

1979 - amateur senior HC - Meubles Le Berre-Marcarini

12 victoires dont :
  • 3ème du Circuit de Bretagne Sud

Palmarès, toute compétition confondue, de 1962 à 1979.
Wikipédia Jean-Claude Daunat et Mémoire du cyclisme

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Le véhicule électrique
Quelques dates

  • 1834 : Thomas Davenport inventeur du moteur électrique à courant continu en Amérique du Nord*, qui utilisait un balai et un commutateur, a construit le premier train électrique et visualisé l’utilisation de moteurs électriques en remplacement des moteurs à vapeur.
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
1834, le premier moteur électrique. © Edison Tech Center
  • Vers 1830 :
  • 1892 : William Morrison, à Chicago, présente la première voiture électrique des États-Unis.
  • 1893/94 : Charles Jeantaud (FRANCE) présente la première voiture électrique en Europe. Il en produira de 1893 à 1906.
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
Voiture électrique Charles Jeantaud,1894
  • 1896 : Waverly en Inde présente une voiture électrique
  • 1897 : le pape lance sa voiture électrique
  • 1899 : Camille Jenatzy présente The Ontent, une voiture électrique au style aérodynamique et à carrosserie en feuille. Un record d’environ 100 km/h.
  • 1907 : The Electric Vehicle Company cesse ses activités, car la voiture électrique a peu progressé depuis le début et coûte plus cher à construire et à utiliser que l’essence voitures (et ressemble encore aux vieilles voitures tirées par des chevaux)
  • 1997 : Toyota commence à vendre une voiture électrique hybride, la Prius.

Georges Sarre

Georges Sarre, né le  à Chénérailles (Creuse) et mort le  à Paris 18e, est un homme politique français.

Après avoir participé à la fondation du Parti socialiste à Épinay en 1971, il fut secrétaire d’État dans divers gouvernements socialistes entre 1988 et 1993. En 1992, il fut cofondateur, avec Jean-Pierre Chevènement, du Mouvement des citoyens. Il fut maire du 11e arrondissement de Paris de 1995 à 2008. En 2008, il devint adjoint au maire de Paris, chargé de la sécurité et de la prévention, fonction qu’il quitta en 2010.

Georges Sarre est connu également pour être le père du permis à points. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • France bleu : Le Creusois Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat de Mitterrand est mort.
  • lemonde.fr : Mort de Georges Sarre, ancien secrétaire d’Etat aux transports.

Pierre Giraudet

Pierre Giraudet et né le 25 décembre 1919 à Koléa en Algérie et mort le 11 avril 2007. Il fut chef d’entreprise français et père d’un rapport sur la sécurité routière qui fera date.

Il commence sa carrière d’ingénieur des travaux publics dans l’hydraulique, en Algérie. Devenu ingénieur des ponts et chaussées, il dirige les ports d’Alger puis du Havre, avant de rejoindre Aéroports de Paris, où il dirige notamment la construction du nouvel aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle1,2.

Il est de 1972 à 1975, directeur général de la RATP puis PDG d’Air France de 1975 à 19843. Il est l’un des pères de la carte Orange et du contrôle automatique des billets.

Président de la Fondation de France de 1983 à 1991. Il rédige en 1988 à la demande du premier ministre d’alors, Michel Rocard, un rapport sur la sécurité routière qui fera date. Il propose des mesures qui seront peu à peu adoptées par les gouvernements : installation de ceintures de sécurité à l’arrière, création d’un apprentissage à la conduite dès 16 ans et généralisation du freinage ABS. []

Source : Wikipédia

Pour aller plus loin :

  • lemonde.fr : Pierre Giraudet, figure du service public.
  • whoswho.fr : Biographie Pierre Giraudet, Ingénieur général honoraire des ponts et chaussées.

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Étienne Pinte

Étienne Pinte, né le 19 mars 1939 à Ixelles (Belgique), est un homme politique français.

Il commence sa carrière politique comme suppléant du député Alain Peyrefitte. Celui-ci étant nommé au gouvernement en 1973, il lui succède à l’Assemblée nationale. Il y est constamment réélu jusqu’en 2012. Il est également maire de Versailles de 1995 à 2008. []
Source : Wikipédia

Alain Peyrefitte

Alain Peyrefitte, né le 26 août 1925 à Najac dans l’Aveyron et mort le 27 novembre 1999 à Paris, est un homme politique, diplomate et écrivain français, membre de l’Académie française.

Après l’École normale supérieure, il intègre la première promotion de l’ENA, et choisit à sa sortie la carrière diplomatique. Celle-ci le mène en Allemagne de l’Ouest, alors en plein redressement économique, puis en Pologne, où il est nommé consul général au moment où s’affermit l’emprise soviétique.

En 1958, il est élu député et fait partie de la génération d’hommes qui entrent en politique avec le retour au pouvoir du général de Gaulle. Il en devient un des proches collaborateurs, puis est nommé ministre et porte-parole du gouvernement en 1962. À ce titre, il noue avec le chef de l’État une relation privilégiée, et il tirera de nombreux entretiens particuliers le recueil « C’était de Gaulle », qui fait référence. Ministre dans de nombreux gouvernements sous les présidences de Charles de GaulleGeorges Pompidou puis Valéry Giscard d’Estaing, il fait des passages notables et parfois critiqués aux ministères de l’Information, où il crée l’ORTF, de la Recherche scientifique, où il accélère le programme de dissuasion nucléaire français, et de la Justice, où il fait voter la loi liberté et sécurité. Élu député dans toutes les législatures de la Ve République entre 1958 et 1995, puis sénateur en 1995, c’est alors une des figures majeures de la droite. Il cultive en même temps un ancrage local en Seine-et-Marne, où il est élu député, conseiller général, et maire de Provins de 1965 à 1997.

Il publie en 1976 un essai dans lequel il revient sur les résistances aux réformes qu’il a entreprises comme ministre, et cherche à comprendre les causes profondes de ce qu’il nomme Le Mal français, et qui connaît un grand succès de librairie. La question centrale à laquelle il cherche à répondre est celle de la cause première du développement et du sous-développement, qu’il identifie non pas dans les causes matérielles habituellement avancées mais dans un « tiers facteur immatériel », la confiance. Ces réflexions initiées dans Le Mal français sont développées dans son maître ouvrage, La Société de confiance, et ont fait l’objet de leçons au Collège de France intitulées Du Miracle en économie. Fasciné par la Chine, il est aussi l’auteur de deux essais sur le renouveau de l’empire du Milieu, dont le premier de prospective Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera connaît un grand succès de librairie.

Collaborateur régulier de nombreux journaux, il devient président du comité éditorial du Figaro en 1983. Il est élu à l’Académie française le 10 février 1977.

Source : Wikipédia

Maurice Maunoury

Maurice Maunoury, né le 16 octobre 1863 à Alexandrie (Égypte), mort le 16 mai 1925 à Paris, est un homme politique français, député d’Eure-et-Loir de 1910 à 1924, ministre de l’Intérieur de 1922 à 1924.

Maurice Maunoury est le fils de Pol Maunoury, lui-même député d’Eure-et-Loir de 1876 à 1889, militant républicain de longue date, qui avait quitté la France après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte pour aller travailler en Égypte. Il fit des études d’ingénieur à l’École centrale Paris (promotion 1887)1.

Maurice Maunoury est ministre des Colonies du 9 au 13 juin 1914 dans le gouvernement Alexandre Ribot. Il est amputé de la jambe droite en mai 19212.

Il est nommé ministre de l’Intérieur du 15 janvier 1922 au 29 mars 1924 dans le gouvernement Raymond Poincaré.

Cousin du maréchal Michel Joseph Maunoury, il prononce son éloge funèbre au nom du gouvernement, le 2 avril 1923, lors de ses obsèques nationales. Maurice Maunoury est également le grand-père maternel de Maurice Bourgès-Maunoury.

Nicole Duplan, son épouse, est morte en mai 1942. Il a deux enfants : Jean et Geneviève, épouse de Maurice Bourgès-Maunoury.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Yves Le Trocquer

Yves Le Trocquer, né à Pontrieux (Côtes-du-Nord) le 4 octobre 1877 et mort à Paris le 21 février 1938, est un ingénieur et homme politique français.

Il suit ses études secondaires au Collège Stanislas à Paris, est présenté au Concours général en 1894 et obtient le 1er accessit en physique-chimie. Il entre à Polytechnique en 1895 sur les traces d’un père officier de marine, Yves Le Trocquer devient ingénieur des Ponts et Chaussées et mène sa carrière au sein de cette administration.

Directeur technique de cabinet du Ministre des travaux publics Louis Puech en 1910, il le reste jusqu’en janvier 1912. En 1914, il est appelé par Jean-Victor Augagneur comme membre de son cabinet lorsqu’il est ministre de l’Instruction publique, puis de la Marine (juin 1914- octobre 1915).

Il retourne alors dans l’administration, dirigeant notamment l’Office national de la navigation, jusqu’en novembre 1917, lorsqu’il prend la direction du cabinet de Jean Cels-Couybes, sous-secrétaire d’État à la Marine Marchande.

En 1919, à peine élu député des Côtes-du-Nord avec l’étiquette républicain de gauche, il entre au gouvernement comme sous-secrétaire d’État aux finances chargé de la Liquidation des stocks. Il est ensuite nommé Ministre des Travaux publics par Alexandre Millerand, en janvier 1920, et occupe ce portefeuille pendant plus de quatre ans, ce qui est très rare en cette période d’instabilité ministérielle.

L’essentiel de son action se concentra sur la reconstruction, notamment dans les régions libérées ou particulièrement touchées par la guerre. À ce titre, il fut élu président de l’Union douanière européenne, et Lucien Coquet désigné rapporteur général.

Réélu député en 1924 et 1928, siégeant au centre-droit, il rejoint le Sénat en 1929. Il décède en cours de mandat, en 1938, à l’âge de 61 ans.

Source : Wikipédia

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Bertha Benz Route, Le tracée de 1888

Avec sa Motorcar n°3, Bertha Benz a dû emprunter des routes qui ne méritaient pas d’être appelées routes. Après tout, les charrettes et les chariots tirés par des chevaux à l’époque roulaient normalement sur de simples pistes cahoteuses. Elle a donc suivi la rue romaine droite et morte de Ladenburg à Heidelberg. Mais aussi son itinéraire de Heidelberg à Karlsruhe suivait la « Via Montana », une ancienne rue romaine qui a légué son nom à l’actuelle « Bergstrasse » (« Mountain Street »).

Les villes et les villages étaient beaucoup plus petits qu’aujourd’hui. Par conséquent, les quelques charrettes qui les passaient traversaient directement les centres – les routes de contournement n’étaient pas nécessaires à l’époque. Peu avant d’atteindre Karlsruhe, Bertha bifurque dans la vallée du Pfinztal la menant à Pforzheim, sa ville natale, où elle souhaite rendre visite à sa mère.

Pour son voyage de retour, elle préféra alors la route par Bretten afin de ne pas avoir à descendre les pentes raides qu’elle avait dû gravir pour se rendre à Pforzheim. De Bruchsal, elle a conduit à Schwetzingen et est revenue à Mannheim, en suivant à nouveau une rue romaine sur plusieurs kilomètres près de Kirrlach, qui mène encore aujourd’hui directement à travers la forêt.

Un monument de l’histoire industrielle

En tant que monument de l’histoire industrielle, la route commémorative Bertha Benz réveillera des souvenirs de l’exploit courageux de Bertha Benz non seulement dans les limites du nord de Baden, mais même dans le monde entier, et le rendra inoubliable.

L’itinéraire authentique emprunté par Bertha Benz relie non seulement des sites originaux presque oubliés qu’elle a croisés sur son chemin, mais mène également à l’une des plus belles régions de vacances du monde.

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

Éther de pétrole

L’éther de pétrole (appelé aussi gazolinebenzine ou ligroïne) est un mélange d’alcanes plus ou moins complexe. L’appellation vient du fait qu’il s’agit de la fraction de distillation du pétrole ayant le même point d’ébullition (35 °C) que l’éther éthylique. Par extension, il s’agit de toutes les coupes de bas point d’ébullition ; elles sont encore appelées « essences ». L’éther de pétrole le plus usité est la fraction 40 à 65 °C, appelée essence G.

L’éther de pétrole est un solvant apolaire et aprotique, inflammable. C’est un produit dangereux pour l’environnement ; il possède quatre1 pictogrammes de danger du système général harmonisé de classification et d’étiquetage des produits chimiques (SGH | GHS) :

  • GHS02 : Inflammable;
  • GHS07 : Toxique, irritant, sensibilisant, narcotique;
  • GHS08 : Danger pour homme;
  • GHS09 : Danger pour l’environnement.

 

Avec les mentions de danger :

  • H225 Liquide et vapeurs très inflammables;
  • H304 Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires;
  • H315 Provoque une irritation cutanée;
  • H336 Peut provoquer somnolence ou vertiges;
  • H411 Toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.
Source : Wikipédia

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.

1886, Carl Benz inventa l’automobile

Le brevet numéro 37435 déposé le 29 janvier 1886 est généralement considéré comme le certificat de naissance de l’automobile telle que nous la connaissons. Il concerne un « véhicule à moteur à gaz » (Fahrzeug mit Gasmotorenbetrieb) et a été enregistré à Mannheim, en Allemagne, par un fonctionnaire qui n’a probablement pas saisi l’importance historique de son coup de tampon.